mercredi 27 janvier 2010

Dès vendredi au cinéma

Le box-office mondial est en pleine ébullition grâce à des super succès, dont Avatar, le dernier bijou de James Cameron. Les performances monétaires de cette science-fiction en 3D couleront celles de Titanic et relègueront les chiffres du grand bateau de Cameron au 2ème rang. Rien de mieux que de battre nos propres records.

Ce vendredi, quelques nouveautés prendront l'affiche et pour une première fois depuis le début de mes billets, je donnerai mes impressions sur les films à venir. Je deviendrai donc VOTRE référence en cinéma.

LUCKY LUKE

Une réalisation de James Huth, mettant en vedette Jean Dujardin dans le rôle du cowboy qui tire plus vite que son ombre. Sorti le 21 octobre dernier en France, les critiques ont été plutôt mitigées. Il faut rappeler que ce n'est pas la première tentative de porter les aventures du cowboy au grand écran en chair et en os. On se souviendra de l'ennuyeux et infidèle Lucky Luke en 1991 réalisé et interprété par Terence Hill. En 2004, les Français proposaient Les Dalton, mettant l'accent sur les 4 frères avec le duo d'humoristes français Eric et Ramzy ainsi que l'acteur allemand Til Schweiger dans le rôle de Luke et aussi Dujardin dans un petit rôle. Encore là, critiques négatives, mais box-office convenable. Jean Dujardin est le comédien de l'heure en France, les résultats peuvent être au rendez-vous.

WHEN IN ROME (C'était à Rome)

Une comédie sentimentale avec Kristin Bell et Josh Duhamel. Les films romantiques sont remplis de clichés incalculables et impossibles. Cette histoire d'une jeune femme désabusée de l'amour qui part à Rome afin d'y trouver une fontaine d'amour entrera sûrement dans ce lot, tout comme le film Année bissextile paru il y a trois semaines. Mais même si ces films sont d'ordinaire plutôt ordinaires, ils font plus de bien que de mal... mais pas pour moi. Parions que les femmes traîneront les hommes de force au cinéma.

EDGE OF DARKNESS (La frontière des ténèbres)

Première présence de Mel Gibson devant la caméra depuis son caméo en 2004 dans Paparazzi, mais première tête d'affiche depuis Signes en 2002 !!! Bien de l'eau a coulé sous les ponts depuis ce temps; super succès avec The Passion, arrestation, divorce, nouvelle flamme, autre enfant. Ici, Gibson tient le rôle d'un policier qui a vu sa fille être assassinée. Menant l'enquête, il découvre bien des complots... Les mauvais films de Mel Gibson se comptent sur le bout des... des... ils sont rares en tout cas.

Les gens devraient courir les cinémas en fin de semaine prochaine. Par contre, dans celle qui suivra, il y a fort à parier que le Super Bowl volera la vedette.

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