mardi 28 juin 2016

BUD SPENCER (1929-2016)


Le célèbre acteur italien Bud Spencer connu pour ses duos avec Terence Hill durant les années 60, 70 et 80 est décédé hier à Rome à l'âge vénérable de 86 ans.

Après une carrière de nageur au cours de laquelle il a participé aux Jeux olympiques de 1952 et 1956, Carlo Pedersoli (de son vrai nom) a débuté sa carrière d'acteurs dans les années 50, mais elle a vraiment pris son envol en 1967 avec Dieu pardonne... pas moi! en compagnie de Terence Hill. Les deux ont enchaîné les duos à 18 reprises, mais aussi en solo, jusqu'au milieu des années 80. Spencer a partagé l'écran une dernière fois avec Hill en 1994.

Spencer avait pris la décision de changer son nom afin de l'américaniser en 1967. Son prénom est devenu Bud en raison de son appréciation pour la bière Budweiser et Spencer provient du nom de son acteur favori, Spencer Tracy. L'Italien avait l'habitude de camper le rôle d'un géant bourru au coeur tendre, tandis que Terence Hill était le playboy séducteur.

Il s'était plus récemment impliqué en politique et devient entraîneur de natation et de water-polo en 2007. Il était très actif sur Facebook, publiant régulièrement des photos de lui et proposant même des concours.

Bud Spencer est un acteur qui m'a marqué parce que je regardais ses films avec mon père lorsque j'étais jeune. Les célèbres bagarres dans lesquelles il était impliqué étaient toujours à se tordre de rire.

mardi 21 juin 2016

THE SUMMER IS MAGIC, IS MAGIC, OH OH OH

Les vacances arrivent à grands pas. Plus qu'une semaine de dure labeur et nous serons sur la route des vacances. Une année difficile où mes collègues et moi ont dû faire face à des négociations qui ont traîné en longueur et où mes précieux collègues ont connu divers problèmes personnels. Mais maintenant, on oublie tout ça, car c'est un minimum de trois voyages qui sont prévus pour ma famille et moi.

UN ÉTÉ SUR LA ROUTE

BASEBALL

Premièrement, je pars avec quelques compères de travail sur les traces du réseau complet (ou presque) des Red Sox de Boston. Nous nous arrêterons tout d'abord à Portland dans le Maine pour voir le programme double entre Hartford et les Sea Dogs, filiale AA des Red Sox. Le lendemain, nous serons à Pawtucket pour assister à la rencontre des Red Sox (surnommés les Paw Sox) et Columbus. Finalement, le dimanche, nous serons finalement dans les estrades du Fenway Park pour la rencontre entre les Angels et les Red Sox. Trois ans après avoir visité le stade des Red Sox, on pourra ENFIN voir un match. On se souviendra qu'en 2013, notre ami «Chef» n'avait pas voulu sortir quelques billets verts pour s'asseoir dans le stade vert de Boston. Petit ajout cette année, le fils de Marc Béland, Charles-Antoine, se joindra à l'expédition.

NOUVEAU-BRUNSWICK


J'aurai à peine le temps de défaire mes bagages et de laver mon linge sale que je repartirai sur la galère, mais cette fois avec la petite famille. Direction Nouveau-Brunswick. On couchera une nuit à Rivière-du-Loup, histoire de séparer cette longue route en deux parties. Nous avons bien hâte de manger des homards pêchés directement dans l'Atlantique, probablement la journée même. Il est fort possible que nous traînions nos savates à Moncton, Shediac et à l'Île-du-Prince-Édouard. Je suis allé à quelques reprises au Nouveau-Bruswick: 1986, 1990, 2001 et 2003. Pour sa part, ma conjointe a également visité la province, mais plus dans le coin d'Edmundston, Madawaska et St-Basile. Elle a même failli voir Roch Voisine, mais elle a eu peur! Autre chose très intéressante, mon cousin vit là-bas avec sa conjointe. Nous aurons l'occasion de faire quelques barbecues et mangers des homards avec eux.

SAGUENAY

Pour mes 40 ans, nous irons au Saguenay. En fait, peut-être que nous ne serons pas exactement au Saguenay le jour de mes 40 ans, mais ce n'est pas grave. Nous irons prendre quelques bières dans belles microbrasseries et nous visiterons quelques attraits touristiques pour toute la famille. Un surprise party se dessine peut-être à l'horizon.

TORONTO

Oui, nous comptons aller voir les Blue Jays en août. Plus de détails à venir.

samedi 18 juin 2016

TRISTESSE EN FLORIDE

Les mauvaises nouvelles ont secoué le monde entier récemment.

À Orlando, en Floride, un tireur fou a décidé de jeter son fiel sur des homosexuels faisant la fête dans le bar gai Pulse. 50 morts et plusieurs autres blessés. Les armes sont toujours vendues n'importe où et pour n'importe qui aux États-Unis.

Toujours en Floride, toujours à Orlando, quelques jours plus tard, un garçon s'amusant près d'un étang au complexe hôtelier de Walt Disney est happé par un alligator. Il meurt noyé. Peut-être qu'en voyant la bête, il a voulu jouer avec elle.

Prions que Donald Trump voudra maintenant enrayer le droit d'entrée des alligators aux États-Unis.

#misère


mercredi 8 juin 2016

LES PENGUINS À UNE VICTOIRE DE LA COUPE

Les Penguins raviront-ils la Coupe Stanley demain soir à leur domicile? Il y a de fortes tendances à croire que oui. Menés par le leadership de Sidney Crosby, la troupe de Mike Sullivan est à la veille de remporter la quatrième Coupe Stanley de leur histoire, les autres étant 1991, 1992 et 2009.

En 2008-2009, les Penguins avaient effectué un changement d'entraîneur en cours de saison. Alors que l'équipe peinait à faire les séries, on avait limogé Michel Therrien pour le remplacer par Dan Bylsma. Cette année, on a fait le même manège en montrant la porte à Mike Johnston et en nommant Mike Sullivan à sa place. C'était un pari risqué, car la seule expérience en tant qu'entraîneur-chef dans la LNH pour Sullivan n'avait pas été concluante à Boston. Il a su saisir sa seconde chance.

La conquête probable des Penguins est aussi celle du jeune gardien de 21 ans Matt Murray. Il a pris le poste de Marc-André Fleury, victime d'une commotion cérébrale en mars, et il a mené les Penguins jusqu'où ils sont rendus en ce moment. On a quelques fois douté de sa présence, les médias québécois voulant voir Marc-André parce que le filet lui revenait supposément de droit. On comprend aujourd'hui pour les entraîneurs entraînent et que les journaleux journalisent.

S'il fallait que les Sharks remontent le courant, ce texte ne vaudrait plus rien.