samedi 30 mai 2015

Tous mes pools en déroute

Avec cette défaite en sept rencontres des Rangers aux mains du Lightning de Tampa Bay, tous mes pools des séries sont maintenant en déroute. À moins que Chicago ne me permette de garder la tête hors de l'eau un instant...

mercredi 20 mai 2015

Mike Babcock à Toronto

24 heures après que Todd McLellan ait craqué pour relever le défi que représentent les Oilers, Mike Babcock, l'entraîneur (autonome) le plus convoité dans la LNH dirigera les Maple Leafs de Toronto. L'équipe de la Ville Reine espère se sortir de la médiocrité indigne des fans de Toronto. Pas de Coupe depuis 1967, mais surtout une seule participation aux séries depuis 2004. C'est mauvais.

Le président des Leafs, Brendan Shanahan, a donc tout misé sur le réputé entraîneur avant même d'embaucher un nouveau dg, c'est quand même incroyable. C'est donc dire que le vrai boss à Toronto, ce sera Mike Babcock.

Bien hâte de voir ce qu'il adviendra des Phil Kessel et Dion Phaneuf. Surtout, quels sont les joueurs qui sauront apporter un nouveau souffle à cette équipe. Il est clair que le coach ne met pas la puck dans le net, mais il sait presser les bons boutons afin que son équipe gagne les matchs cruciaux.

Mais je ne vois aucun signe de Coupe à Toronto avant longtemps, à moins de visiter le Temple de la renommée.

BASEBALL IS LIFE

Est-ce que le ciel est la limite? L'été qui s'en vient s'annoncera tout en baseball pour ma famille, mes amis et moi. Tout d'abord, la ville d'Ottawa est de nouveau dotée d'une équipe professionnelle dans son stade de la rue Coventry.

En effet, les Champions d'Ottawa de la Ligue indépendante Can Am débutent leur première saison vendredi le 22 mai prochain au stade RCGT (l'ancien Jet Form Park). Je ne suis pas certain d'y être pour le match d'ouverture, mais il est clair que je ne tarderai pas à y amener ma petite famille.

Plus tard en juin, nous avons deux matchs des Blue Jays au programme, le 6 juin face aux Astros et le 20 juin. Un petit aller-retour dans la Ville Reine? Oui monsieur! J'espère que d'ici là, le mauvais gérant qu'est John Gibbons aura pris le bord pour qu'un vrai homme de baseball compétent gère finalement cette équipe en perdition depuis le départ de Cito Gaston.

Par la suite, ce sera le voyage annuel de baseball entre copains les 1er, 2, 3 et 4 juillet. Les villes de Philadelphie (vs Milwaukee), Baltimore (vs Texas) et Washington (vs San Francisco) seront visitées. Outre les matchs de baseball, nous comptons faire un peu de villégiature dans ces villes américaines où l'histoire des États-Unis s'est jouée. Mais comme nous n'avons pas énormément de temps, on ne pourra pas tout voir.

La cerise sur le sundae est prévue pour le mois d'août. Nous retournons en Floride trois ans après notre premier voyage familial de 2012. La dernière fois, nous n'avons pas pu voir les Rays en action. Qu'à cela ne tienne, cette fois-ci, nous pourrons y être. Selon toutes vraisemblances, nous assisterons à la rencontre du dimanche 9 août au Tropicana Field. Plusieurs se demandent si je vais me promener dans les rues de Tampa avec mon chandail des Canadiens? Je me propose de rendre visite à Jon Cooper, entraîneur du Lighting.

Ma blonde s'en va à Las Vegas au moins du juillet. Je crois que je vais secrètement amener les enfants au McDo tous les jours.

Ce sera donc un été assez rempli côté voyages.

mercredi 13 mai 2015

BILAN DE SAISON DU CANADIEN

50 victoires et 110 points, une saison exceptionnelle pour le Canadien de Montréal. Bien que des doutes subsistaient au sujet de l'offensive et de la défensive, les prouesses de Carey Price mettaient en confiance les partisans et les experts. Mais dans le détour les attendaient les Sénateurs d'Ottawa et le Lightning de Tampa Bay, les deux véritables bêtes boires du Canadien. Si la troupe de Michel Therrien a réussi à disposer des Sénateurs en six rencontres, ils se sont fait jouer le même tour face au Lightning, une équipe jeune, rapide, extrêmement talentueuse et surtout très bien dirigée.

Dans cette série face à Tampa Bay, le Canadien avait le Lightning dans les câbles dès le premier match. On voyait les Floridiens essoufflés de leur longue série face à Detroit. Mais après avoir manqué des chances en or constamment devant un Ben Bishop chancelant, le CH a vu le Lightning gagner en deuxième prolongation. Après un départ canon lors du second match, le CH a prêché par une odieuse indiscipline et s'est pulvériser 6-2. Par la suite, lors de la troisième rencontre, les hommes de Therrien ont contrôlé le match pendant 59 minutes et 59 secondes avant de perdre avec une seconde à jouer. On pensait que c'était la fin. Non!!! Le CH est revenu en force le lendemain avec une victoire sans équivoque de 6-2 puis a triomphé dans un Centre Bell survolté samedi soir par la marque de 2-1. Les chances étaient du côté de Montréal, Tampa Bay ne jouait pas du bon hockey. Et puis Jon Cooper a bien préparé ses joueurs pour le match # 6. Les espoirs d'une remontée spectaculaire et inoubliable se sont évanouis.

Quand on fait le bilan de la saison et des séries, on s'aperçoit que les meilleurs des Canadiens n'ont pas été meilleurs que ceux de Tampa Bay. Ou peut-être qu'en fait, les meilleurs des Canadiens ont été meilleurs que ceux de Tampa Bay, mais que le support attendu par le deuxième trio ne s'est pas matérialisé. Qui plus est, tant en avantage numérique qu'en désavantage numérique, le CH n'a pas été à la hauteur, contre Ottawa et contre Tampa Bay. Quand tu as autant de buts en avantage numérique (2) qu'en désavantage numérique (2), c'est pas fameux.

Ce qu'on remarque, c'est que plusieurs joueurs de la Flanelle sont efficaces en saison régulière, mais sont incapables de hausser leur jeu d'un cran lorsque vient le printemps? On n'a qu'à penser à Tomas Plekanec et Andrei Markov. Les deux vétérans connaissent de forts baisses de régime en séries, ce qui est malheureux, car on aurait besoin d'eux à leur meilleur. Plekanec est un as en désavantage numérique et Markov en est un en avantage numérique. Regardez les résultats...

L'été s'annonce chargé pour Marc Bergevin. Il doit améliorer sa ligne du centre, parce que visiblement, Plekanec, Desharnais et Eller ne sont pas la solution. Aucun d'entre eux n'est un centre # 1 dans la LNH. Oui, Desharnais a aidé Pacioretty à marquer 37 buts cette saison, mais il doit faciliter la tâche un peu plus en séries pour l'as marqueur. Plekanec, lui, est un bon joueur de saison à qui on ne peut mettre les mêmes ailiers pendant une saison complète. Finalement, Eller est inconstant, il connaît de grands matchs puis il peut disparaître pendant des lustres.

Ailleurs en attaque, l'éclosion exponentielle d'Alex Galchenyuk se fait attendre. Il devrait être le gros ailier qui terrorise les gardiens avec Max Pacioretty. On a eu la preuve qu'il pouvait très bien s'acquitter de sa tâche au centre. Durant l'été, une décision doit être prise à son sujet: c'est au centre ou à l'aile. Si c'est un centre, ça règle un problème à cette position. Imaginez une ligne Pacioretty-Galchenyuk-Gallagher. Wow!

Chez les joueurs de soutien, on ne peut avoir que de bons mots pour un gars comme Dale Weise. Il est fiable, car il peut jouer sur n'importe quel trio. Que de bons mots aussi pour Torrey Mitchell qui pourrait bien voir son séjour avec le CH se prolonger d'une saison ou deux. Du côté de Devante Smith-Pelly, nul doute qu'il pourra accomplir un peu plus. Il est jeune, mais il devra être plus impliqué dans toutes les facettes du jeu. Brandon Prust devient quant à lui joueur autonome sans compensation. Il veut sûrement demeurer à Montréal, mais il voudra probablement un contrat de quelques années, ce qui risque de ne pas être ce que Bergevin lui offrira.

Côté défensive, que faire avec Markov? Il est un général en saison, mais un caporal en séries. Ça ne marche pas! Deux autres années à son contrat avant une retraite probable. Est-ce que les jours d'Alexei Emelin sont réellement comptés à Montréal? Je suis d'avis que Markov ou Emelin devra quitter pour libérer un brin d'espace sur la masse salariale, particulièrement si Marc Bergevin désire retenir les services de Jeff Petry. Il sera aussi le temps de donner la place qu'il mérite à Nathan Beaulieu et donner une chance ou pas à Jarred Tinordi et Greg Pateryn. Bien sûr, Sergei Gonchar et Mike Weaver ne seront plus dans le portrait.

Bon, je n'ai pas parlé de Price. Pauvre de lui, quand même, sans sarcasme, il ne peut quand même pas marquer de buts!

Oui, la tâche s'annonce lourde pour le patron du CH, mais depuis son arrivée, il a pesé sur les bons boutons afin que son équipe soit parmi les meilleures de la LNH. L'heure est maintenant venue de construire une équipe faite pour gagner la Coupe. Il est clair maintenant qu'après trois saisons où l'équipe a terminé parmi les formations de tête, Bergevin sait qui peut le faire gagner et qui ne le peut pas.

lundi 11 mai 2015

TOUJOURS VIVANTS!

À force de rater des chances en or et de frapper des poteaux, le Canadien a été incapable de soutirer une victoire au Lightning dans les trois premiers matchs. La défaite crève-coeur du troisième match aurait pu les anéantir, mais au contraire, ils sont sortis très fort lors du numéro 4, ce qui leur a permis de lessiver Tampa Bay par la marque sans équivoque de 6-2. Deux jours plus tard, dans un Centre Bell survolté, le Canadien a réussi a rétrécir l'écart dans la série avec une victoire de 2-1.

Dans la mesure où le CH a bien joué dans quatre des cinq rencontres, on peut croire à une remontée historique. Jamais les hommes de Michel Therrien ne semblent habités par le découragement. Au contraire, lorsqu'on les croit acculés au pied du mur, ils jouent avec une énergie du désespoir qui les amène à la victoire. Avec un Carey Price qui joue comme un candidat du trophée Hart, toutes les chances sont du côté du Canadien.

Mais n'oublions pas que le Lightning possède la meilleure attaque de la LNH. C'est vrai, mais c'est une formation qui n'a pas nécessairement explosé en séries. Ils ont été blanchis ou réduit à un ou deux buts par rencontre. On sait que Steven Stamkos ne joue pas à la hauteur de son talent, visiblement incommodé par une blessure à une main. Leurs autres marqueurs de talent sont aussi très bien surveillés par les attaquants et défenseurs du CH. On pourrait par contre dire la même chose de Max Pacioretty qui peine à se démarquer.

Samedi soir, on n'attendait sûrement pas Pierre-Alexandre Parenteau qui a marqué le but gagnant lors du match # 6. Mais le natif de Hull a joué possiblement son meilleur match depuis qu'il est dans l'uniforme du Canadien. Il a fait sentir sa présence en attaque, il a été menaçant et il a été volé par un poteau pendant un avantage numérique. Pas surprenant alors qu'il ait marqué le but qui faisait la différence.

Seulement quatre équipes dans l'histoire de la LNH ont réussi l'impossible, soit remonter la pente après un déficit de 0-3. Dans sa glorieuse histoire, jamais le Canadien n'a réussi cet exploit. Il est temps que ça change.

jeudi 7 mai 2015

LES VACANCES APPROCHENT POUR NOS CANADIENS

Cette série pourrait bien être menée par 2 à 1 par le Canadien, mais le Lightning domine 3-0. La différence? Le jeu de puissance anémique du Canadien bien sûr, mais aussi l'incapacité des hommes de Michel Therrien à marquer, peu importe la situation.

Autant vendredi soir que hier, le Canadien a joué un fort match, a laissé tout sur la glace. Mais le gros but n'arrive pas. Oui, Brendan Gallagher y est allé d'un effort colossal pour créer l'égalité, mais où sont les autres stars du CH? Pacioretty? Galchenyuk? Plekanec? Subban? Markov? Ils menacent constamment, ils passent proches, mais ne marquent pas. C'est très décevant.

Le 4e match est ce soir. Je ne me fais pas d'illusion. La défaite d'hier à la toute fin fut cruelle. Et comment remonter la pente face à une équipe capable de capitaliser en temps opportun? Je dirais que le Canadien gagne normalement les matchs comme celui de mercredi soir, mais il n'est pas en temps normal, il est en séries.

Combler un déficit de 0-3 n'est arrivé que quatre fois dans l'histoire de la LNH, en 1942, en 1975, en 2010 et 2014. Ça n'arrivera pas en 2015. Évidemment, j'espère me tromper lourdement.

lundi 4 mai 2015

MAD MAX

La trilogie Mad Max a mis l'acteur Mel Gibson sur la mappe et en a fait l'un des acteurs les plus en vue d'Hollywood pendant près de vingt ans. En plus d'une filmographie impressionnante, l'acteur australo-américain s'est démarqué derrière la caméra avec entre autres Braveheart. En 2003, Mel Gibson a failli reprendre le rôle, mais le tournage n'a jamais débuté en raison de la guerre en Irak. Puis, après La Passion du Christ, l'étoile de Gibson a pâli en raison de propos antisémites et de violence conjugale. Le grand acteur et réalisateur qu'il était a cessé de dominer le box-office et le personnage de Mad Max est disparu dans le désert australien.

Sauf que le réalisateur George Miller, l'homme derrière les trois Mad Max (ainsi que les films Babe et Happy Feet), avait toujours dans la tête un autre Mad Max, celui qui devait être fait avec Mel Gibson. Abandonné pendant six ans, jusqu'en 2009, le projet a repris vie et nous verrons le résultat dès le 15 mai prochain. En attendant, je vous propose une rétrospective bien personnelle des films de la série.

MAD MAX (1979)

Réalisé par George Miller. Avec Mel Gibson (Mad Max), Joanne Samuel (Jessie), Hugh Keays-Byrne (Toecutter), Steve Bisley (Goose), Tim Burns (Johnny the Boy). Dans un futur proche en Australie, où le monde est en crise énergétique et où la société se détériore à vue d'oeil, des motards criminalisés sèment la terreur sur les routes. N'ayant pas de quartier, ils éliminent tous ceux qui leur barrent la route. Les autorités policières sont quant à elles l'affaire d'hommes sans peur et casse-cou qui opèrent à bord de voitures et de motos puissantes. L'un de ces hommes est Max Rockatansky, jeune père de famille. Lorsque son meilleur ami et collègue ainsi que sa famille sont assassinés, le policier se livre à une vengeance sans merci. Véritable succès en Australie, il n'a été reconnu aux États-Unis qu'à la sortie de sa suite en 1981. Tourné pour à peine 1 million de dollars, le film regorge de scènes spectaculaires qui ont influencé plusieurs productions cinématographiques dans les années qui ont suivi. De plus, le style vestimentaire du protagoniste a également inspiré des groupes musicaux.

MAD MAX 2 - THE ROAD WARRIOR (1981)

Réalisé par George Miller. Avec Mel Gibson (Mad Max), Bruce Spence (The Gyro Captain), Michael Preston (Pappagallo), Max Phipps (The Toadie), Vernon Wells (Wez), Kjell Nilsson (Humungus), Emil Minty (The Feral Kid). La Troisième Guerre mondiale a tout ravagé sur son passage, la société présentée dans Mad Max n'est plus et ceux qui restent se livrent une guerre pour les rares gouttes de carburant disponibles. Max est toujours là, avec son chien, et il aide une petite communauté opérant un raffinerie de pétrole, excessivement convoitée par les chiens de guerre du puissant Humungus. Ayant reçu un ultimatum par ce dernier, la communauté se voit obligée de quitter vers l'inconnu, mais le guerrier de la route en a vu d'autres. Encore une fois, la qualité des cascades est incroyable et plusieurs considèrent ce film comme le meilleur de la série. C'est d'ailleurs lui qui a permis aux Américains de découvrir la première partie. Il est vrai que les personnages peuvent paraître excentriques, complètement fous ou désabusés, mais dans ce monde ravagé parla guerre, qui ne le serait pas?

MAD MAX BEYOND THUNDERDOME (1985)

Réalisé par George Miller et George Ogilvie. Avec Mel Gibson (Mad Max), Tina Turner (Aunty Entity), Bruce Spencer (Jedediah the Pilot), Adam Cockburn (Jedediah Jr.), Frank Thring (The Collector), Angelo Rossitto (The Master), Helen Buday (Savannah Nix). Une guerre nucléaire a effacé les dernières traces de la civilisation, mais des hommes et des femmes résistent encore à la terreur. Max se retrouve à Bartertown, ville gérée par Aunty Entity. Celle-ci propose à Max de livrer un combat dans une arène à Master Blaster, une association particulière entre un colosse débile et un génie de petite taille. Même s'il gagne le duel, Max est expulsé de la communauté, car il n'a pas liquidé son adversaire et il se retrouve dans le désert. Au terme de son périple, il rencontre une colonie d'enfants, survivants d'un crash d'avion. Ceux-ci voient en Max leur libérateur vers la terre promise. Explorant une avenue quelque peu différente des films précédents, ce troisième opus démontre encore tout le charisme incroyable de l'acteur principal, mais aussi de son personnage. La trame sonore, jumelée à des scènes d'action encore époustouflantes, font de ce Mad Max 3 un film inoubliable.

Comme mentionné plus haut, Mel Gibson devait reprendre du service après le troisième Mad Max. En 2003, le projet Mad Max Fury Road était sur les rails avec un tournage au Namibie, Toutefois, des problèmes divers et le début de la guerre en Irak ont mis temporairement aux espoirs du réalisateur George Miller.

Le temps ayant fait son oeuvre, Mel Gibson a quitté le projet et c'est l'acteur Tom Hardy qui a été embauché pour reprendre le rôle du guerrier de la route. Par la suite, l'actrice sud-africaine Charlize Theron est engagée ainsi que Nicholas Hoult, bien connu pour son rôle de Marcus dans About a Boy et de Hank McCoy (Le Fauve) dans la nouvelle trilogie X-Men. Finalement, l'acteur interprétant Toecutter dans le premier film revient dans la peau du vilain principal.

MAD MAX: FURY ROAD (2015)

Réalisé par George Miller. Avec Tom Hardy (Mad Max), Charlize Theron (Imperator Furiosa), Nicholas Hoult (Nux), Rosie Huntington-Whitely (Splendid), Zoë Kravitz (Toast), Hugh Keays-Byrne (Immortan Joe). Max erre dans le désert, seul parmi les hordes de fous furieux, cannibales, sectes ou autres gangs de motards. Il se retrouve au beau milieu d'une chasse menée par le cruel Immortan Joe qui poursuit Furiosa. Cette dernière s'est échappée avec les trésors de Immortan Joe, de jeunes femmes lui servant d'esclaves et de «ventres». Déjà les bandes annonces font saliver devant des scènes d'action qui s'annoncent plus spectaculaires les unes que les autres. Le budget alloué est cependant colossal, on parle de 150 millions. Si l'entreprise s'avère un échec, on pourra dire adieu à une quelconque suite déjà imaginée par George Miller. Sortie le 15 mai.