Bon, bon, bon, je sais, j'ai oublié de publier la liste des nouveautés au cinéma de la semaine dernière. Mais je me suis dit que tout le monde savait que le film Dragons 3D sortait au cinéma, alors je me suis abstenu. Mais bon, j'aurais dû quand même prendre quelques minutes, je ne suis parfait les amis ! Sauf que vous ne vous plaigniez pas assez ! Alors, faites vos commentaires !
Donc, cette semaine les nouveautés au cinéma sont:
THE LAST SONG (La Dernière chanson)
Sixième comédie romantique de l'année (nous ne sommes qu'en mars), The Last Song met en vedette la coqueluche des jeunes, la fille de Billy Ray Cyrus, Miley Cyrus. Voulant imiter les Hilary Duff, Briney Spears et toutes les autres chanteuses voulant étendre leur manque de talent de façon plus large, Cyrus y va d'un premier grand rôle (en espérant que ce soit le dernier) au cinéma. Ici, elle est jeune fille rebelle qui doit renouer avec son papounet et qui trouvera l'amour. Miley Cyrus ne peut pas interpréter de rôle, elle ne pourra être crédible, elle sera toujours elle-même. Au moins, elle est bien accompagnée par Greg Kinnear. Je ne verrai jamais ce film.
THE CLASH OF THE TITANS (Le Choc des Titans) en 3D
Voici finalement le remake tant attendu du film de 1981 du même nom. Trame narrative semblable tournant autour de la mythologie grecque, mais avec deux grandes différences: des effets visuels qui promettent d'être renversants et une présentation en 3D. Ce sera sûrement le succès de la semaine, mais je suis d'avis que les effets techniques dépasseront la qualité de l'histoire et que le film sombrera dans l'oubli, contrairement à Avatar. La distribution est quand même intéressante avec Sam Worthington, Liam Neeson et Ralph Fiennes.
Gainsbourg (Vie héroïque)
Quelques semaines après la sortie québécoise de la vie de Coluche, un autre icône de la France voit sa vie portée à l'écran; celle de Serge Gainsbourg. Celui-ci a autant marqué la colonie artistique par son talent que par son «léger» manque de classe. L'acteur français Éric Elmosnino interprète le chanteur tandis que Laetitis Casta joue le rôle de Brigitte Bardot.
La semaine prochaine: La Cité avec Claude Legault.
mercredi 31 mars 2010
vendredi 26 mars 2010
Latendresse vs Pouliot: 4 mois plus tard
Quand Bob Gainey a échangé Guillaume Latendresse au Wild en retour de Benoit Pouliot, il avait mentionné qu'il arrivait parfois qu'un jeune joueur ne pouvait trouver la façon de bien démarrer sa carrière avec l'équipe qui l'avait repêché. À ce moment, ni Latendresse, ni Pouliot, n'avaient joué une seule partie dans leur nouvelle équipe. 4 mois plus tard, les paroles de Gainey ont pu être vérifiées: les deux ont réussi !
On se demandait bien comment Latendresse ferait pour marquer des buts, pour impressionner. On lui a donné du temps de glace au Minnesota et il s'est mis à produire, mettant à contribution toutes ses qualités d'athlète. Son physique, ses surprenantes mains agiles et en améliorant son médiocre coup de patin. Résultat: 36 points, dont 25 buts marqués en 49 parties. Une moyenne d'un but aux deux matchs. Pourquoi un tel redressement ? Parce que Latendresse a senti la pression le quitter et il pouvait exercer tout son talent loin des projecteurs. Lui-même l'a constamment répété, un peu trop même, lorsqu'il a quitté Montréal.
Celui que les Canadiens ont reçu était aussi un jeune homme rempli d'avenir, mais qui tardait à éclore. Placé avec deux joueurs aguerris, Gionta et Gomez, l'attaquant originaire de St-Isidore dans l'Est Ontarien a lui aussi surpris, épatant la galerie avec sa vitesse et ses bonnes mains. En 32 parties avec le Canadien, il a amassé 23 points, dont 15 buts. En faisant une projection sur 82 matchs, il frôlerait les 40 buts. Évidemment, ce n'est qu'une projection. Même si Pouliot chaussait les patins dans un contexte où la pression médiatique et fanatique est forte, il était en quelque sorte libéré des espoirs constants de ses premiers patrons. Le stress parti, on repart à zéro.
Si l'on établit une comparaison entre Latendresse et Pouliot, les deux patineurs ont sensiblement la même moyenne de point et de but par match, 0,51 pour Latendresse et 0,46 pour Pouliot. Si certains s'arrachent les cheveux et hurlent contre Bob Gainey quand ils voient les performances de Guillaume aux nouvelles du sport, ils peuvent se contenter en se disant que Pouliot offre ce que Latendresse n'a jamais offert aux Canadiens.
On se demandait bien comment Latendresse ferait pour marquer des buts, pour impressionner. On lui a donné du temps de glace au Minnesota et il s'est mis à produire, mettant à contribution toutes ses qualités d'athlète. Son physique, ses surprenantes mains agiles et en améliorant son médiocre coup de patin. Résultat: 36 points, dont 25 buts marqués en 49 parties. Une moyenne d'un but aux deux matchs. Pourquoi un tel redressement ? Parce que Latendresse a senti la pression le quitter et il pouvait exercer tout son talent loin des projecteurs. Lui-même l'a constamment répété, un peu trop même, lorsqu'il a quitté Montréal.
Celui que les Canadiens ont reçu était aussi un jeune homme rempli d'avenir, mais qui tardait à éclore. Placé avec deux joueurs aguerris, Gionta et Gomez, l'attaquant originaire de St-Isidore dans l'Est Ontarien a lui aussi surpris, épatant la galerie avec sa vitesse et ses bonnes mains. En 32 parties avec le Canadien, il a amassé 23 points, dont 15 buts. En faisant une projection sur 82 matchs, il frôlerait les 40 buts. Évidemment, ce n'est qu'une projection. Même si Pouliot chaussait les patins dans un contexte où la pression médiatique et fanatique est forte, il était en quelque sorte libéré des espoirs constants de ses premiers patrons. Le stress parti, on repart à zéro.
Si l'on établit une comparaison entre Latendresse et Pouliot, les deux patineurs ont sensiblement la même moyenne de point et de but par match, 0,51 pour Latendresse et 0,46 pour Pouliot. Si certains s'arrachent les cheveux et hurlent contre Bob Gainey quand ils voient les performances de Guillaume aux nouvelles du sport, ils peuvent se contenter en se disant que Pouliot offre ce que Latendresse n'a jamais offert aux Canadiens.
jeudi 25 mars 2010
Le chemin de croix de Price
À la demande générale, j'ai créé un poème en l'honneur (ou le déshonneur) de Carey Price. Le voici, en toute modestie.
Le chemin de croix de Price
Repêché en 2005 par Gainey
Tout le monde l’a vu comme le Messie
Mais il ne vaut pas un bol de riz
Ça prendrait un miracle pour le réincarner
Après une première victoire contre Crosby
Tous ont cru revoir le Roy des Roy
Sauf qu’il est loin de faire la loi
C’est plutôt d’une tristesse sans merci
Pourquoi ne s’inspire-t-il pas de son collègue magique
Qui grâce à ses prouesses athlétiques
Repousse les attaques ennemies
Aux confins de l’infini
Mais comment croire en cet athlète
Je ne veux pas être un prophète
Mais chaque fois qu’il est dans le net
Ça sent la défaite
Le chemin de croix de Price
Repêché en 2005 par Gainey
Tout le monde l’a vu comme le Messie
Mais il ne vaut pas un bol de riz
Ça prendrait un miracle pour le réincarner
Après une première victoire contre Crosby
Tous ont cru revoir le Roy des Roy
Sauf qu’il est loin de faire la loi
C’est plutôt d’une tristesse sans merci
Pourquoi ne s’inspire-t-il pas de son collègue magique
Qui grâce à ses prouesses athlétiques
Repousse les attaques ennemies
Aux confins de l’infini
Mais comment croire en cet athlète
Je ne veux pas être un prophète
Mais chaque fois qu’il est dans le net
Ça sent la défaite
mercredi 24 mars 2010
La magie de Halak en poésie
La magie de Halak
Ah! ce Jaroslav Halak
Quel excellent gardien Slovaque
Il bloque le caoutchouc
Comme les voitures sont arrêtées par un garde-fou
Ses performances sont magiques
Car il est un homme masqué dynamique
Grâce à ses prestations éclectiques
Personne ne le considère comme un 2 de pique
Heureusement que l’entraîneur a reconnu son talent
Qui ne fait aucun doute pour les partisans
Malgré quelques réticences
Tous finissent par apprécier sa présence
Il aura finalement tassé Price l’espoir
Qui ne s’est pas battu avec l’énergie du désespoir
Le 41 s’est bagarré pour le statut de favori
Et ce sera lui qui nous rendra en séries
Et en séries
Grâce à sa magie
Il sera un mur d’acier
Qui ira chercher la Coupe Stanley
Ah! ce Jaroslav Halak
Quel excellent gardien Slovaque
Il bloque le caoutchouc
Comme les voitures sont arrêtées par un garde-fou
Ses performances sont magiques
Car il est un homme masqué dynamique
Grâce à ses prestations éclectiques
Personne ne le considère comme un 2 de pique
Heureusement que l’entraîneur a reconnu son talent
Qui ne fait aucun doute pour les partisans
Malgré quelques réticences
Tous finissent par apprécier sa présence
Il aura finalement tassé Price l’espoir
Qui ne s’est pas battu avec l’énergie du désespoir
Le 41 s’est bagarré pour le statut de favori
Et ce sera lui qui nous rendra en séries
Et en séries
Grâce à sa magie
Il sera un mur d’acier
Qui ira chercher la Coupe Stanley
TVA revient à la charge avec Joannie Rochette
JOANNIE ROCHETTE
Ahh, la splendide Joannie Rochette qui nous a fait vibrer. Maintenant que les Jeux et les funérailles de sa mère sont derrière elle, on la surexpose au maximum, histoire d'attirer des cotes d'écoute et des balivernes. Voici d'ailleurs le texte de Michelle Coudé-Lord, revu et corrigé, traitant de l'entrevue Rochette-Snyder jeudi dernier.
«Un témoignage d'une grande distinction» Malheureusement, seulement 50% des deux femmes étaient d'une grande distinction.
«Joannie Rochette se raconte et les téléspectateurs veulent l'entendre.» Non, non, les téléspectateurs sont crochetés à TVA, ce qui trafique les chiffres.
«Vous étiez en moyenne 936 000 fidèles devant le petit écran pour écouter son témoignage jeudi soir, alors qu'elle se confiait à l'animatrice et productrice Julie Snyder.» Animatrice, productrice, mais surtout, femme de Pierre-Karl.
«C'est une Joannie Rochette émouvante, sensible et vraie que nous a présentée Julie Snyder.» Il aurait été surprenant qu'elle se présente déguisée en banane.
«On sentait le respect entre les deux femmes et la jeune athlète qui doit vivre en quelque sorte la douloureuse perte de sa mère sous les feux de la rampe s'est fort bien tirée d'affaire.» Se tirer d'affaire ? C'était une game ou quoi ? Un respect entre les deux femmes? Sûrement pas avec une question comme échangerais-tu ta médaille pour ta mère ?
«Joannie Rochette est une fille déterminée, même si elle se demande encore comment elle a pu réaliser cet exploit aux Jeux olympiques avec une si grande peine.» Nous, on se demande comment vous pouvez réaliser cet exploit d'être aussi iconoclaste en matière de télé.
«Un des moments forts de cette entrevue fut lorsqu'elle nous a parlé de sa visite à l'hôpital pour voir le corps de sa mère.» Dis-le que tu as versé une larme !
«Elle a été touchante et d'une grande distinction, et les gens qui la respectent et l'aiment déjà la respecteront encore plus après cette entrevue très bien réussie de la productrice Julie Snyder, qui a su laisser toute la place à son invitée.» Plus je lis les textes de Michelle Coudé-Lord, plus je sens la répétition et le léchage bien serré envers son employeur. Julie Snyder aurait même pu laisser la place à son invitée et quitter le plateau.
Ce flagrant manque d'objectivité de la journaliste envers son propre employeur prouve encore le manque de transparence dans les médias, euh... chez tous les médias Québécor.
Ahh, la splendide Joannie Rochette qui nous a fait vibrer. Maintenant que les Jeux et les funérailles de sa mère sont derrière elle, on la surexpose au maximum, histoire d'attirer des cotes d'écoute et des balivernes. Voici d'ailleurs le texte de Michelle Coudé-Lord, revu et corrigé, traitant de l'entrevue Rochette-Snyder jeudi dernier.
«Un témoignage d'une grande distinction» Malheureusement, seulement 50% des deux femmes étaient d'une grande distinction.
«Joannie Rochette se raconte et les téléspectateurs veulent l'entendre.» Non, non, les téléspectateurs sont crochetés à TVA, ce qui trafique les chiffres.
«Vous étiez en moyenne 936 000 fidèles devant le petit écran pour écouter son témoignage jeudi soir, alors qu'elle se confiait à l'animatrice et productrice Julie Snyder.» Animatrice, productrice, mais surtout, femme de Pierre-Karl.
«C'est une Joannie Rochette émouvante, sensible et vraie que nous a présentée Julie Snyder.» Il aurait été surprenant qu'elle se présente déguisée en banane.
«On sentait le respect entre les deux femmes et la jeune athlète qui doit vivre en quelque sorte la douloureuse perte de sa mère sous les feux de la rampe s'est fort bien tirée d'affaire.» Se tirer d'affaire ? C'était une game ou quoi ? Un respect entre les deux femmes? Sûrement pas avec une question comme échangerais-tu ta médaille pour ta mère ?
«Joannie Rochette est une fille déterminée, même si elle se demande encore comment elle a pu réaliser cet exploit aux Jeux olympiques avec une si grande peine.» Nous, on se demande comment vous pouvez réaliser cet exploit d'être aussi iconoclaste en matière de télé.
«Un des moments forts de cette entrevue fut lorsqu'elle nous a parlé de sa visite à l'hôpital pour voir le corps de sa mère.» Dis-le que tu as versé une larme !
«Elle a été touchante et d'une grande distinction, et les gens qui la respectent et l'aiment déjà la respecteront encore plus après cette entrevue très bien réussie de la productrice Julie Snyder, qui a su laisser toute la place à son invitée.» Plus je lis les textes de Michelle Coudé-Lord, plus je sens la répétition et le léchage bien serré envers son employeur. Julie Snyder aurait même pu laisser la place à son invitée et quitter le plateau.
Ce flagrant manque d'objectivité de la journaliste envers son propre employeur prouve encore le manque de transparence dans les médias, euh... chez tous les médias Québécor.
lundi 22 mars 2010
Les matins radiophoniques
Depuis un mois à Gatineau, le 104.7 FM radiodiffuse l'émission matinale montréalaise de Paul Arcand. Il en est de même pour quelques autres régions du Québec. Le premier matin de l'entrée en ondes de Arcand à Gatineau, je suis tombé sur son énervent acolyte, le difficilement endurable Jean Lapierre. Ai-je besoin d'entendre ses insignifiances politiques ? Ses critiques sont tellement criardes qu'on se demande réellement à qui il s'adresse. Si Paul Arcand a d'autres bons collaborateurs, force est d'admettre que les nouvelles de Montréal à Gatineau, ça ne nous intéresse pas du tout. Mais le réseau Corus voulait sauver de l'argent, donc il a coupé où ça coûte le moins cher !
L'autre option est le Snooze, produit matinal de NRJ avec Martin Trenblay, Renée Germain le Coach Aubé, sans oublier le gars qui est au téléphone en direct de sa maison. J'oublie son nom, mais on dirait qu'il dort pendant plusieurs minutes et tout à coup, il se réveille et il passe un commentaire. On croyait qu'il était mort ! Plus énervés et énervants les uns que les autres, on arrive au travail quasiment sur le gros nerf. Il me semble que j'ai un grand besoin de concentration le matin et ce ne sont eux qui me le donneront.
Ce matin, pour la première depuis que Radio-Canada diffusait les parties du Canadien à la radio, j'ai décidé de synthoniser La première chaîne de la SRC, 90.7. L'animateur est Carl Bernier, ancienne tête d'affiche de la même station, mais au Saguenay. En seulement quelques minutes, j'ai apprécié le calme et la douceur de l'émission ce qui m'a permis d'arriver au travail plutôt serein. Je préfére nettement les émissions d'informations le matin et je crois que je suis tombé sur la bonne depuis le départ de Louis-Philippe Brûlé à 104.7 FM.
À vos radios !
L'autre option est le Snooze, produit matinal de NRJ avec Martin Trenblay, Renée Germain le Coach Aubé, sans oublier le gars qui est au téléphone en direct de sa maison. J'oublie son nom, mais on dirait qu'il dort pendant plusieurs minutes et tout à coup, il se réveille et il passe un commentaire. On croyait qu'il était mort ! Plus énervés et énervants les uns que les autres, on arrive au travail quasiment sur le gros nerf. Il me semble que j'ai un grand besoin de concentration le matin et ce ne sont eux qui me le donneront.
Ce matin, pour la première depuis que Radio-Canada diffusait les parties du Canadien à la radio, j'ai décidé de synthoniser La première chaîne de la SRC, 90.7. L'animateur est Carl Bernier, ancienne tête d'affiche de la même station, mais au Saguenay. En seulement quelques minutes, j'ai apprécié le calme et la douceur de l'émission ce qui m'a permis d'arriver au travail plutôt serein. Je préfére nettement les émissions d'informations le matin et je crois que je suis tombé sur la bonne depuis le départ de Louis-Philippe Brûlé à 104.7 FM.
À vos radios !
samedi 20 mars 2010
Boules Sweet Mary
Hey! Hey! Vous vous demandiez pourquoi je n'avais pas proposé de recette depuis un bout ? Ne vous inquiétez pas, je suis toujours à la cuisine en train de chercher les recettes les plus succulentes du moment. Voici ma dernière trouvaille, un petit dessert pas piqué des vers.
Boules Sweet Mary
1. 1 tasse de sirop de maïs (faire bouillir avec le sucre et la vanille, mais pas de grosses bulles)
2. 1/2 tasse de sucre blanc
3. 1 c. à thé de vanille
4. Ajouter 1 tasse de beurre d'arachides au liquide chaud
5. Dans un grand bol, mélanger ensemble:
- 3 1/2 tasses de Corn Flakes
- 2 tasses de Rice Krispies
- 1 tasse de coconut
6. Mélanger le tout ensemble
7. Faire des petites boules
8. Faire fondre le chocolat au micro-ondes (Wafers au Bulk Barn)
9. Tremper les boules dans le chocolat
10. Mettre au congélateur
11. Dégustez !
Des questions ? N'hésitez pas à me les poser !
Boules Sweet Mary
1. 1 tasse de sirop de maïs (faire bouillir avec le sucre et la vanille, mais pas de grosses bulles)
2. 1/2 tasse de sucre blanc
3. 1 c. à thé de vanille
4. Ajouter 1 tasse de beurre d'arachides au liquide chaud
5. Dans un grand bol, mélanger ensemble:
- 3 1/2 tasses de Corn Flakes
- 2 tasses de Rice Krispies
- 1 tasse de coconut
6. Mélanger le tout ensemble
7. Faire des petites boules
8. Faire fondre le chocolat au micro-ondes (Wafers au Bulk Barn)
9. Tremper les boules dans le chocolat
10. Mettre au congélateur
11. Dégustez !
Des questions ? N'hésitez pas à me les poser !
jeudi 18 mars 2010
Demain au cinoche
Pendant que le règne d'Alice au pays des merveilles s'abat sur le monde entier, des nouveautés cinématographiques prendront quand même l'affiche demain. Seulement qu'en regardant les bandes annonces, ça sent le cliché à plein nez.
THE BOUNTY HUNTER (Le chasseur de primes)
Vous pensez qu'il s'agit d'un nouveau film d'action mettant en vedette Vin Diesel ? Non, c'est Gerard Butler et Jennifer Aniston qui sont à l'avant-scène de cette comédie romantique (la 5ème depuis janvier). Butler est un chasseur de primes qui déprime lorsqu'on lui propose de retrouver son ex-femme journaliste. Mais comme son emploi prime (héhé) sur tout, il en fera voir de toutes les couleurs à son ex. Je vous prédis que ces deux tourtereaux finiront l'histoire ensemble. La bande annonce promet quelques rires, mais aussi une multitude de clichés plus ridicules propres aux romances hollywoodiennes.
REPO MEN (Repreneurs)
Des agents de recouvrement armés jusqu'aux dents font cracher la monnaie à des mauvais payeurs jusqu'au jour où notre agent principal se voit dans l'obligation de payer. Jude Law est entouré de deux acteurs meilleurs que lui en Forest Whitaker et Liev Schreiber. Pourront-ils sauver cette aventure qui semble prévue au désastre ? Le film a été tourné il y a deux ans, ce qui n'est pas bon signe.
DIARY OF A WIMPY KID (Journal d'un dégonflé)
C'est sûrement le film américain qui m'intéresse le plus cette semaine. Le film s'articule autour des tribulations d'un jeune homme et de sa relation avec ses camarades de classe. Un 1981 à l'américaine. Zachary Gordon joue le rôle du dégonflé.
LUCIDITÉ PASSAGÈRE
Film québécois de la semaine. Ce n'est que dans la lucidité que l'on peut voir la vie comme elle est vraiment. Maxim Roy et Mario St-Amand (futur Gerry Boulet) sont en vedette.
Autres sorties: L'écrivain fantôme de Roman Polanski avec Ewan McGregor et Pierce Brosnan. Coluche, l'histoire d'un mec, production biographique française portant sur le regretté acteur et humoriste français du même nom. La merditude des choses, film belge apprécié durant le FFO. Finalement, The Runaways avec Kristen Stewart et Dakota Fanning. Bio de Joan Jett avec deux stars de Twilight.
THE BOUNTY HUNTER (Le chasseur de primes)
Vous pensez qu'il s'agit d'un nouveau film d'action mettant en vedette Vin Diesel ? Non, c'est Gerard Butler et Jennifer Aniston qui sont à l'avant-scène de cette comédie romantique (la 5ème depuis janvier). Butler est un chasseur de primes qui déprime lorsqu'on lui propose de retrouver son ex-femme journaliste. Mais comme son emploi prime (héhé) sur tout, il en fera voir de toutes les couleurs à son ex. Je vous prédis que ces deux tourtereaux finiront l'histoire ensemble. La bande annonce promet quelques rires, mais aussi une multitude de clichés plus ridicules propres aux romances hollywoodiennes.
REPO MEN (Repreneurs)
Des agents de recouvrement armés jusqu'aux dents font cracher la monnaie à des mauvais payeurs jusqu'au jour où notre agent principal se voit dans l'obligation de payer. Jude Law est entouré de deux acteurs meilleurs que lui en Forest Whitaker et Liev Schreiber. Pourront-ils sauver cette aventure qui semble prévue au désastre ? Le film a été tourné il y a deux ans, ce qui n'est pas bon signe.
DIARY OF A WIMPY KID (Journal d'un dégonflé)
C'est sûrement le film américain qui m'intéresse le plus cette semaine. Le film s'articule autour des tribulations d'un jeune homme et de sa relation avec ses camarades de classe. Un 1981 à l'américaine. Zachary Gordon joue le rôle du dégonflé.
LUCIDITÉ PASSAGÈRE
Film québécois de la semaine. Ce n'est que dans la lucidité que l'on peut voir la vie comme elle est vraiment. Maxim Roy et Mario St-Amand (futur Gerry Boulet) sont en vedette.
Autres sorties: L'écrivain fantôme de Roman Polanski avec Ewan McGregor et Pierce Brosnan. Coluche, l'histoire d'un mec, production biographique française portant sur le regretté acteur et humoriste français du même nom. La merditude des choses, film belge apprécié durant le FFO. Finalement, The Runaways avec Kristen Stewart et Dakota Fanning. Bio de Joan Jett avec deux stars de Twilight.
mercredi 17 mars 2010
Les entrevues et Big Brother
Afin de participer à une émission de télé-réalité, il faut se démarquer parmi plusieurs milliers de candidats. Dans le cas de Big Brother, ils étaient 5000 à espérer pénétrer dans la maison. Pour épater la galerie, ils ont fait valoir leurs talents, qualités, défauts, petits secrets. Et peut-être même que malgré eux, ils ont vu la chance les frapper et être choisis.
Je prends le cas de Amélie, une préposée aux bénéficiares de 24 ans. Quelques heures seulement après avoir mis les pieds dans la maison, elle est devenue angoissée et n'a cessé de pleurer. Pourquoi ? Le fait d'être isolée parmi des inconnus pendant 63 jours, c'est intimidant et c'est difficile de s'y préparer. Tu peux faire une impression incroyable en entrevue, mais quand tu commences l'aventure, c'est une toute autre game.
La comparaison est fameuse avec la vie au travail. Je me souviens d'avoir postulé pour de nombreux emplois lorsque j'étais plus jeune et d'avoir eu quelques entrevues. Peut-être étais-je mal à l'aise ou peut-être que je ne répondais pas bien aux questions, mais la réalité est que je n'ai pas eu beaucoup de chance. Pendant ce temps, des gens performants en entrevue en mettaient plein la vue à des employeurs et étaient engagés... Mais quelques semaines plus tard, ils étaient remerciés en raison d'un travail insatisfaisant.
L'entrevue et la performance en milieu de travail sont deux choses complètement différentes et j'en voudrai toujours aux employeurs de se baser sur des simples entrevues pour sélectionner du personnel. Imaginer, il faut trois entrevues pour rentrer chez Walmart ! Un travail d'étudiant à 8$ de l'heure. Voyons donc ! La meilleure façon d'évaluer, c'est d'essayer un jeune et de voir ce qu'il peut réaliser dans le feu de l'action.
Je me souviens d'avoir performé de belle façon dans une entrevue alors que je désirais travailler dans une épicerie. Malheureusement, après une solide performance, je n'ai pas été choisi. La dame m'avait quand même mentionné ma bonne performance. Toutefois, lorsque j'ai su qui avait été engagé, une déception grandiose m'est apparue au visage. C'était un gars que je connaissais depuis le secondaire, un vendeur de drogue. Et plus tard, un autre était engagé, consommateur de drogue. Wow ! Heureusement, j'ai eu ma chance en travaillant à temps plein pour la ville pendant 5 mois cet été là.
Le message à travers tout cela est destiné aux jeunes qui recherchent un emploi. N'hésitez pas à bien vendre votre salade, soyez honnête dans vos propos et demandez d'avoir votre chance. Votre patron ne pourra le regretter.
Je prends le cas de Amélie, une préposée aux bénéficiares de 24 ans. Quelques heures seulement après avoir mis les pieds dans la maison, elle est devenue angoissée et n'a cessé de pleurer. Pourquoi ? Le fait d'être isolée parmi des inconnus pendant 63 jours, c'est intimidant et c'est difficile de s'y préparer. Tu peux faire une impression incroyable en entrevue, mais quand tu commences l'aventure, c'est une toute autre game.
La comparaison est fameuse avec la vie au travail. Je me souviens d'avoir postulé pour de nombreux emplois lorsque j'étais plus jeune et d'avoir eu quelques entrevues. Peut-être étais-je mal à l'aise ou peut-être que je ne répondais pas bien aux questions, mais la réalité est que je n'ai pas eu beaucoup de chance. Pendant ce temps, des gens performants en entrevue en mettaient plein la vue à des employeurs et étaient engagés... Mais quelques semaines plus tard, ils étaient remerciés en raison d'un travail insatisfaisant.
L'entrevue et la performance en milieu de travail sont deux choses complètement différentes et j'en voudrai toujours aux employeurs de se baser sur des simples entrevues pour sélectionner du personnel. Imaginer, il faut trois entrevues pour rentrer chez Walmart ! Un travail d'étudiant à 8$ de l'heure. Voyons donc ! La meilleure façon d'évaluer, c'est d'essayer un jeune et de voir ce qu'il peut réaliser dans le feu de l'action.
Je me souviens d'avoir performé de belle façon dans une entrevue alors que je désirais travailler dans une épicerie. Malheureusement, après une solide performance, je n'ai pas été choisi. La dame m'avait quand même mentionné ma bonne performance. Toutefois, lorsque j'ai su qui avait été engagé, une déception grandiose m'est apparue au visage. C'était un gars que je connaissais depuis le secondaire, un vendeur de drogue. Et plus tard, un autre était engagé, consommateur de drogue. Wow ! Heureusement, j'ai eu ma chance en travaillant à temps plein pour la ville pendant 5 mois cet été là.
Le message à travers tout cela est destiné aux jeunes qui recherchent un emploi. N'hésitez pas à bien vendre votre salade, soyez honnête dans vos propos et demandez d'avoir votre chance. Votre patron ne pourra le regretter.
mardi 16 mars 2010
Domino est parti
Vendredi dernier, une grosse décision devait être prise quant à l'avenir du petit chien vivant avec nous. Son état de santé, son caractère et son âge nous ont forcés à l'envoyer à son dernier repos, au paradis des petits chiens.
L'énergumène noir et blanc qu'il était ne donnait pas sa place quand venait le temps de protéger, de bouffer ou de japper. Mais c'était aussi un compagnon comique que j'ai pu connaître pendant presque deux ans. Il n'a laissé personne indifférent pendant son passage un peu partout dans la famille.
Né en août 1999, Domino était un épagneul papillon acheté en Ontario. Rapidement, ma blonde lui a appris la langue de Molière afin qu'il soit bien compris. Malgré cet apprentissage, il était confronté chaque jour à des étrangers venus de partout dans le monde, dont les têtes à turban, qu'il détestait souverainement. Peut-être se disait-il que leur couverture était à lui. Il lui fallait déménager; de la jungle de Brampton, Domino fit le saut à Gatineau.
Dans sa grande cour, il était à l'affut des marmottes et des écureuils. Malheureusement pour lui, il n'en a jamais pogné un seul. Il était d'ailleurs leur ami, particulièrement les insectes qu'il refusait de manger. Hé ! Hé ! Moi qui avais essayé de lui passer une mouche dans son déjeuner, il avait retourné mon repas assez vite.
Fervent amateur de bouffe, ce fin gastronome préférait nettement la nourriture de ses maîtres à sa propre nourriture. Sa préférance: une grosse pomme verte bien coupée ou quelques frites du McDonalds. Cependant, il ne refusait jamais un petit biscuit. Dans les derniers mois de son existence, il faisait exprès de se sauver lors de ses besoins pour qu'on lui offre un biscuit aux arachides. Comme il l'a déjà dit en langage de chien: «Pourquoi me contenter de moulée quand je peux avoir des pommes, du poulet, du steak, des frites. Voyons !»
Mais entre toutes les activités, il préférait les promenades à voiture, surtout celles qui l'emmenait à Toronto. Sage comme une image, il regardait le paysage et faisait de la grande villégiature. C'était tout le contraire lorsqu'il mettait le pied à terre.
Grognon est donc parti vers un monde meilleur de chien et il aura laissé sa trace; il faut encore nettoyer ses traces de pattes crottées et son poil qu'il perdait sans cesse.
Hasta la vista !
L'énergumène noir et blanc qu'il était ne donnait pas sa place quand venait le temps de protéger, de bouffer ou de japper. Mais c'était aussi un compagnon comique que j'ai pu connaître pendant presque deux ans. Il n'a laissé personne indifférent pendant son passage un peu partout dans la famille.
Né en août 1999, Domino était un épagneul papillon acheté en Ontario. Rapidement, ma blonde lui a appris la langue de Molière afin qu'il soit bien compris. Malgré cet apprentissage, il était confronté chaque jour à des étrangers venus de partout dans le monde, dont les têtes à turban, qu'il détestait souverainement. Peut-être se disait-il que leur couverture était à lui. Il lui fallait déménager; de la jungle de Brampton, Domino fit le saut à Gatineau.
Dans sa grande cour, il était à l'affut des marmottes et des écureuils. Malheureusement pour lui, il n'en a jamais pogné un seul. Il était d'ailleurs leur ami, particulièrement les insectes qu'il refusait de manger. Hé ! Hé ! Moi qui avais essayé de lui passer une mouche dans son déjeuner, il avait retourné mon repas assez vite.
Fervent amateur de bouffe, ce fin gastronome préférait nettement la nourriture de ses maîtres à sa propre nourriture. Sa préférance: une grosse pomme verte bien coupée ou quelques frites du McDonalds. Cependant, il ne refusait jamais un petit biscuit. Dans les derniers mois de son existence, il faisait exprès de se sauver lors de ses besoins pour qu'on lui offre un biscuit aux arachides. Comme il l'a déjà dit en langage de chien: «Pourquoi me contenter de moulée quand je peux avoir des pommes, du poulet, du steak, des frites. Voyons !»
Mais entre toutes les activités, il préférait les promenades à voiture, surtout celles qui l'emmenait à Toronto. Sage comme une image, il regardait le paysage et faisait de la grande villégiature. C'était tout le contraire lorsqu'il mettait le pied à terre.
Grognon est donc parti vers un monde meilleur de chien et il aura laissé sa trace; il faut encore nettoyer ses traces de pattes crottées et son poil qu'il perdait sans cesse.
Hasta la vista !
lundi 15 mars 2010
Le Casinono de Hull
Vous voulez voir un spectacle en famille au théâtre du Casino du Lac-Leamy ? Assister au lancement du Festival du Film de l'Outaouais ? Malheureusement pour votre petite famille, les membres en bas de 18 ans ne sont pas admis ! La raison ? On «force» les spectateurs à passer par le Casino, dans l'espérance qu'ils jouent, avant qu'ils ne se rendent à la salle de spectacle. Et comme le jeu est pour les 18 ans et +, pas question de voir des enfants.
Je croyais avoir vu le summum de la pègre dans le film Casino où on saignait à blanc tous les gagnants, les forçant à ne pas quitter l'endroit pour qu'ils crachent l'argent qu'ils ont gagné. Mais à Hull, on est plus gentil... un peu, mais ce n'est pas du cinéma.
Quel plaisir du fou que de s'installer aux côtés de maniaques de jeu, de personnes assises sur leur banc depuis tôt le matin, qui voient leur pipi leur monter jusqu'aux yeux tellement ils ne peuvent plus quitter leur machine. Tsss ! Est-ce que j'ai envie de passer trente secondes près de madame Larose et de ses 78 ans qui espèrent gagner le million avec une machine à cennes noires ?
J'ai mis les pieds trois fois au Casinono de Hull. Une première fois, pendant 5 minutes. Le resto où nous voulions boire une palette de portos était fermé. Une deuxième fois, le resto était ouvert. Succulente palette de portos. Troisième fois, le spectacle Get Up! Pas une seule fois j'ai eu le goût de m'asseoir et de perdre mon temps devant une machine.
Il y a ce son psychédélique qu'on entend constamment, comme pour ensorceler les joueurs compulsifs ou pas compulsifs. Pensez-vous que je voudrai me stationner dans l'aire de jeux avant d'aller voir un spectacle ? Pantoute! J'aime bien mieux me claquer une grosse bière. Mais encore là, il n'y en a même pas. On préfère vendre des échantillons à 6$ la bouteille.
J'aimerais bien que notre maire prenne position dans ces situations, mais il n'a pas le temps, trop occupé à négocier avec les policiers ou avec la livraison du centre sportif.
Je croyais avoir vu le summum de la pègre dans le film Casino où on saignait à blanc tous les gagnants, les forçant à ne pas quitter l'endroit pour qu'ils crachent l'argent qu'ils ont gagné. Mais à Hull, on est plus gentil... un peu, mais ce n'est pas du cinéma.
Quel plaisir du fou que de s'installer aux côtés de maniaques de jeu, de personnes assises sur leur banc depuis tôt le matin, qui voient leur pipi leur monter jusqu'aux yeux tellement ils ne peuvent plus quitter leur machine. Tsss ! Est-ce que j'ai envie de passer trente secondes près de madame Larose et de ses 78 ans qui espèrent gagner le million avec une machine à cennes noires ?
J'ai mis les pieds trois fois au Casinono de Hull. Une première fois, pendant 5 minutes. Le resto où nous voulions boire une palette de portos était fermé. Une deuxième fois, le resto était ouvert. Succulente palette de portos. Troisième fois, le spectacle Get Up! Pas une seule fois j'ai eu le goût de m'asseoir et de perdre mon temps devant une machine.
Il y a ce son psychédélique qu'on entend constamment, comme pour ensorceler les joueurs compulsifs ou pas compulsifs. Pensez-vous que je voudrai me stationner dans l'aire de jeux avant d'aller voir un spectacle ? Pantoute! J'aime bien mieux me claquer une grosse bière. Mais encore là, il n'y en a même pas. On préfère vendre des échantillons à 6$ la bouteille.
J'aimerais bien que notre maire prenne position dans ces situations, mais il n'a pas le temps, trop occupé à négocier avec les policiers ou avec la livraison du centre sportif.
dimanche 14 mars 2010
Big Brother débarque au Québec
Concept adopté dans 42 pays, Big Brother fait rage aux États-Unis depuis 11 ans. Au Québec, sa variante était Loft Story depuis 2003. La grande différence ? Un couple d'amoureux devait être créé pour espérer repartir avec les grands honneurs. Mais comme on avait fait le tour de la question avec Loft Story, on revient avec le concept propre de Big Brother.
15 candidats sont donc retenus dans une maison pendant 63 jours. Ils doivent s'apprivoiser, gérer des conflits de personnalité, gagner des épreuves pour mettre la main sur des beaux dollars à la fin. Mais comme le budget de V n'est pas le même qu'aux États-Unis, le grand gagnant n'aura pas 500,000$. Mais il en sortira plus riche... peut-être, parce qu'avec les sous perdus en étant loin de leur travail, ils devront tout en mettre en oeuvre pour rentabiliser leur séjour.
Dimanche soir, c'était le gala d'ouverture. Moins de budget que TVA, mais moins d'émotion cul-cul aussi. Les candidats se présentent eux-mêmes; âge, métier, famille, qualités, défauts, etc. Ouf, on n'a pas interviewé la grand-maman ou le voisin d'enfance des candidats. Les matantes vont être déçues. Pas grave, elles iront voir à TVA le Banquier et pleurer pour Rock Roy à Montréal-Québec.
C'est un melting-pot plutôt curieux de personnes: un homme de 56 ans, une femme de 49 ans, une jeune étudiante en génie de 21 ans ou même une actrice de film pour adultes. Hé! Hé! Marrant ! Surtout que je ne l'écouterai pas souvent, mais ma blonde me fera un compte-rendu détaillé chaque semaine.
Je dis cela, mais je me suis surpris à regarder Big Brother USA l'été dernier jusqu'à la fin de la saison. Je dirais même plus, en plein Mexique, dans notre chambre d'hôtel, je regardais Big Brother. Je me suis questionné à savoir si j'allais devenir un groupie fini des télé-réalités. Non, heureusement, je sais que je ne suis pas malade ni accro, comme certaines matantes.
Le plus malheureux sera que certains participants tenteront de profiter de ce passage pour devenir des vedettes, d'être invités à des émissions de télévision, d'être acteur, musicien, etc. Malheureusement pour eux, on est loin du concept Star Académie où au moins, ça prend un minimum de talent pour y entrer.
On se reconnecte plus tard...
15 candidats sont donc retenus dans une maison pendant 63 jours. Ils doivent s'apprivoiser, gérer des conflits de personnalité, gagner des épreuves pour mettre la main sur des beaux dollars à la fin. Mais comme le budget de V n'est pas le même qu'aux États-Unis, le grand gagnant n'aura pas 500,000$. Mais il en sortira plus riche... peut-être, parce qu'avec les sous perdus en étant loin de leur travail, ils devront tout en mettre en oeuvre pour rentabiliser leur séjour.
Dimanche soir, c'était le gala d'ouverture. Moins de budget que TVA, mais moins d'émotion cul-cul aussi. Les candidats se présentent eux-mêmes; âge, métier, famille, qualités, défauts, etc. Ouf, on n'a pas interviewé la grand-maman ou le voisin d'enfance des candidats. Les matantes vont être déçues. Pas grave, elles iront voir à TVA le Banquier et pleurer pour Rock Roy à Montréal-Québec.
C'est un melting-pot plutôt curieux de personnes: un homme de 56 ans, une femme de 49 ans, une jeune étudiante en génie de 21 ans ou même une actrice de film pour adultes. Hé! Hé! Marrant ! Surtout que je ne l'écouterai pas souvent, mais ma blonde me fera un compte-rendu détaillé chaque semaine.
Je dis cela, mais je me suis surpris à regarder Big Brother USA l'été dernier jusqu'à la fin de la saison. Je dirais même plus, en plein Mexique, dans notre chambre d'hôtel, je regardais Big Brother. Je me suis questionné à savoir si j'allais devenir un groupie fini des télé-réalités. Non, heureusement, je sais que je ne suis pas malade ni accro, comme certaines matantes.
Le plus malheureux sera que certains participants tenteront de profiter de ce passage pour devenir des vedettes, d'être invités à des émissions de télévision, d'être acteur, musicien, etc. Malheureusement pour eux, on est loin du concept Star Académie où au moins, ça prend un minimum de talent pour y entrer.
On se reconnecte plus tard...
C'est le temps des sucres
Dans sept jours, ce sera officiellement le printemps, même si la température extérieure le veut depuis quelques semaines. Qui dit printemps, dit temps des sucres. Cette année, avec le doux climat qui est survenu dès le mois de février, les érables ont commencé à couler beaucoup plus tôt, ce qui a permis aux cabanes à sucre d'ouvrir hâtivement. Et nous, pour une deuxième année consécutive, avons visité la cabane à sucre de la famille Constantin à St-Eustache.
La famille Constantin peut accueillir pas moins de 450 personnes pour le repas et à la vitesse où ça roule, ils doivent bien servir pas moins de 2000 repas par jour ! Et on le voit, les jeunes serveurs et serveuses sont dévoués, on ne manque jamais de rien à notre table. D'ailleurs le repas contient soupe aux pois, salade de choux, pain, creton, omelette, jambon, saucisses, patates, oreilles de crisse, fèves au lard et comme dessert, tarte au sucre ou pouding chômeur avec une bonne petite crème glacée à la vanille.
Pour manger sur place, la famille Constantin propose différents tarifs. Pour déjeuner (de 10 à 10h45) le tarif est de 15,50$, pour dîner (de 11h à 15h) c'est 18,50$ et pour souper, à partir de 16h, le tarif est de 20$ (17$ le dimanche par contre). Mais qu'arrive-t-il lorsqu'on arrive à 10h45 et que l'on fait la file ? On paiera sûrement plus cher, mais «ils» disent qu'ils attendent 5 minutes pour laisser la chance à tout le monde.
Donc, il y a un pompon qui sort vérifier où en est la file, il rentre et décide sûrement de prendre une décision de cabochon. À 10h52, on achète notre billet et le pompon nous dit: 18,50$ ! Quoi ????????? On fait la file depuis 10h45, l'heure à laquelle on paie pour un déjeuner et vous faites payer le tarif de dîner ? En plus, il n'est même pas 11h. Le gars, sûrement souvent pris d'une crampe au cerveau, nous dit donc qu'ils attendent 5 minutes avant de changer le tarif. Le 5 minutes est passé, c'est plein prix. On lui propose donc de donner des billets aux gens qui font la file pour marquer une différence entre le déjeuner et le dîner. Sa tête de noeud est maintenant à «off» et il ne répond pas. Pour deux minutes, c'est 3$ chacun. Idiot !
Mais nous n'en restons pas là, on se plaint et un autre homme vient nous voir à la table. Il répète les mêmes choses que le cabochon de l'entrée, même qu'il va lui demander comment ça s'est passé. Notre ami cabochon avait encore raison, mais l'autre homme est plus conciliant et nous donne 10$ pour couvrir les frais payés de trop. En agissant ainsi, il a acheté notre silence, notre satisfaction, mais il a aussi rendu coupable son bon ami cabochon. Merci beaucoup à l'autre homme pour avoir été compréhensif et nous avoir ÉCOUTÉS, même s'il croyait son collègue.
Cessons de chialer et passons à la suite. Notre billet donne accès également à la tire d'érable. Hummmmm! Sucré au possible, mais délicieux comme jamais. C'est un péché annuel qu'on se plaît à répéter. Donc, ma blonde se gave de tire d'érable car c'est succulent pour le bébé. Moi, j'en prends un peu moins, car je suis trop plein. Après cette petite dégustation remarquable, nous passons à la prochaine étape du voyage: Intermiel.
Situé quelques kilomètres plus loin, Intermiel est une petite entreprise familiale où l'on vend des produits à base de miel et d'érable. Comme je le mentionnais, c'est une entreprise familiale, une père, une mère et une fille originaires de France. On fait souvent affaire avec la dame qui est plutôt drôle. Mais c'est une autre femme, essayant d'y aller d'un accent français pour impressionner sa patronne, qui nous propose une dégustation de délicieux portos. Hummmmmmm ! Une nouveauté, l'hydromel Médiéval, une sorte de Porto avec une bouteille en céramique très originale. Succulent ! J'en prends deux bouteilles dont une qui sera un cadeau pour un lecteur. Donc, je tairai son nom. Seulement 25$ pour cet hydromel, mais à partir de la semaine prochaine, il sera en vente à 37$ dans les SAQ. On fait l'essaie de deux autres boissons, mais elles ne battent pas la qualité de l'autre. On repart, heureux.
Dernier arrêt chez Beau's à Vankleek Hill. Une cruche et un gilet capine plus tard, nous revenons à la maison.
La famille Constantin peut accueillir pas moins de 450 personnes pour le repas et à la vitesse où ça roule, ils doivent bien servir pas moins de 2000 repas par jour ! Et on le voit, les jeunes serveurs et serveuses sont dévoués, on ne manque jamais de rien à notre table. D'ailleurs le repas contient soupe aux pois, salade de choux, pain, creton, omelette, jambon, saucisses, patates, oreilles de crisse, fèves au lard et comme dessert, tarte au sucre ou pouding chômeur avec une bonne petite crème glacée à la vanille.
Pour manger sur place, la famille Constantin propose différents tarifs. Pour déjeuner (de 10 à 10h45) le tarif est de 15,50$, pour dîner (de 11h à 15h) c'est 18,50$ et pour souper, à partir de 16h, le tarif est de 20$ (17$ le dimanche par contre). Mais qu'arrive-t-il lorsqu'on arrive à 10h45 et que l'on fait la file ? On paiera sûrement plus cher, mais «ils» disent qu'ils attendent 5 minutes pour laisser la chance à tout le monde.
Donc, il y a un pompon qui sort vérifier où en est la file, il rentre et décide sûrement de prendre une décision de cabochon. À 10h52, on achète notre billet et le pompon nous dit: 18,50$ ! Quoi ????????? On fait la file depuis 10h45, l'heure à laquelle on paie pour un déjeuner et vous faites payer le tarif de dîner ? En plus, il n'est même pas 11h. Le gars, sûrement souvent pris d'une crampe au cerveau, nous dit donc qu'ils attendent 5 minutes avant de changer le tarif. Le 5 minutes est passé, c'est plein prix. On lui propose donc de donner des billets aux gens qui font la file pour marquer une différence entre le déjeuner et le dîner. Sa tête de noeud est maintenant à «off» et il ne répond pas. Pour deux minutes, c'est 3$ chacun. Idiot !
Mais nous n'en restons pas là, on se plaint et un autre homme vient nous voir à la table. Il répète les mêmes choses que le cabochon de l'entrée, même qu'il va lui demander comment ça s'est passé. Notre ami cabochon avait encore raison, mais l'autre homme est plus conciliant et nous donne 10$ pour couvrir les frais payés de trop. En agissant ainsi, il a acheté notre silence, notre satisfaction, mais il a aussi rendu coupable son bon ami cabochon. Merci beaucoup à l'autre homme pour avoir été compréhensif et nous avoir ÉCOUTÉS, même s'il croyait son collègue.
Cessons de chialer et passons à la suite. Notre billet donne accès également à la tire d'érable. Hummmmm! Sucré au possible, mais délicieux comme jamais. C'est un péché annuel qu'on se plaît à répéter. Donc, ma blonde se gave de tire d'érable car c'est succulent pour le bébé. Moi, j'en prends un peu moins, car je suis trop plein. Après cette petite dégustation remarquable, nous passons à la prochaine étape du voyage: Intermiel.
Situé quelques kilomètres plus loin, Intermiel est une petite entreprise familiale où l'on vend des produits à base de miel et d'érable. Comme je le mentionnais, c'est une entreprise familiale, une père, une mère et une fille originaires de France. On fait souvent affaire avec la dame qui est plutôt drôle. Mais c'est une autre femme, essayant d'y aller d'un accent français pour impressionner sa patronne, qui nous propose une dégustation de délicieux portos. Hummmmmmm ! Une nouveauté, l'hydromel Médiéval, une sorte de Porto avec une bouteille en céramique très originale. Succulent ! J'en prends deux bouteilles dont une qui sera un cadeau pour un lecteur. Donc, je tairai son nom. Seulement 25$ pour cet hydromel, mais à partir de la semaine prochaine, il sera en vente à 37$ dans les SAQ. On fait l'essaie de deux autres boissons, mais elles ne battent pas la qualité de l'autre. On repart, heureux.
Dernier arrêt chez Beau's à Vankleek Hill. Une cruche et un gilet capine plus tard, nous revenons à la maison.
jeudi 11 mars 2010
2012: le film le plus exagéré de tous les temps !
Hier soir, j'ai décidé de me faire plaisir en louant trois films. Cependant, n'ayant pas le temps de tous les regarder, j'ai décidé de pirater (légalement) Up in the Air (Haut dans les airs) et Law Abiding Citizen (Un honnête citoyen). Le troisième était non piratable: 2012 ! L'histoire raconte la fin du monde le 21 décembre 2012 prédite par les Mayas. On le sait, leur calendrier s'arrête à cette date et selon plusieurs hurluberlus, ce sera la fin du monde. D'ailleurs dans 2012, on en voit plein d'hurluberlus.
L'histoire commence en 2009 lorsque notre petit chercheur s'en va en Inde chez un ami géologue qui découvre que le noyau terrestre en a plus que marre. Constatant tout cela, il va voir un politicien stéréotypé qui ne veut pas le voir. Cependant, à la lumière du rapport qu'il lui propose, il l'engage tout de suite. Parrallèlement, John Cusack se réveille en retard pour aller chercher ses enfants et les emmener à Yellowstone. Par hasard, notre père divorcé rencontre notre petit chercheur. Et comme par hasard, notre petit chercheur a lu un bouquin de notre père divorcé. Pendant ce temps, Woody Harrelson est un animateur de radio hurluberluesque qui diffuse directement de Yellowstone. Hasards et coïncidences, quand vous nous tenez !
À un moment donné, tout pète ! Donc, le père divorcé (qui avait retourné préalablement ses enfants à son ex) revient chercher ses mouflets, son ex et le chum de son ex. Le papa divorcé a loué un avion, mais le pilote est mort. MAIS, le chum de l'ex sait piloter... un planeur. Pas grave, il décolle parmi le feu et les intempéries. De néo-pilote, il devient un super pilote. Pas de sens. Mais là, ils doivent atterrir à Yellowstone pour savoir où se trouvent les vaisseaux décrits par l'animateur hurluberlu. Le père divorcé s'en sort de façon impossible et la famille reconstituée échappe encore à la mort par un cheveu, tout en défiant la logique physique, chimique, nucléaire et celle du cerveau.
Pendant ce temps, notre petit chercheur rencontre la fille du Président. Curieusement, elle est célibataire et noire en plus. Hasard, hasard, hasard... Et après quelques entourloupes, ils s'en vont en Chine là où se trouvent les arches (anciennement les vaisseaux). Mais notre père divorcé n'a pas fini, il se joint à un vilain Russe et la gang s'envole dans un avion plus gros et plus lourd que 10 statues de la Liberté. Mais, grâce à la magie du ridicule, ils réussissent à décoller. Qui plus est, grâce à la dérive des continents, même s'ils manquent de kérosène, ils se retrouvent à l'endroit voulu. Hé! Hé! Vaut mieux en rire.
Bon, je ne vous raconterai pas la fin, elle est trop exagérée. Mais la teneur du film va avec le style du réalisateur Roland Emmerich: scénario exagéré, dialogues vides, personnage principal divorcé qui reprend avec son ex, personnages débiles dans un contexte sérieux et effets époustoufflants. Souvent du copier/coller dans différents contextes, ce qui sauve du plagiat. Emmerich a d'ailleurs mentionné que c'était dernier film-catastrophe, pour ainsi peut-être se sauver de la catastrophe. Si au moins ses films impliquaient légèrement plus de sérieux au niveau de la scénarisation, on serait plus éblouis encore.
Dommage aussi de mettre des mots aussi stupides dans la bouche d'acteurs de qualité comme John Cusack, Woody Harrelson, Chiwetel Ejiofor, Danny Glover ou Thandie Newton. Mais peut-être aussi que ça paie bien et qu'après tout, c'est une véritable partie de plaisir ce tournage. Mais quand même, ça doit être tout un contraste que de jouer dans un Woody Allen tout de suite après.
Au fait 2012, est-ce l'année de la destruction du monde ou bien le nombre d'exagérations dans le film ?
L'histoire commence en 2009 lorsque notre petit chercheur s'en va en Inde chez un ami géologue qui découvre que le noyau terrestre en a plus que marre. Constatant tout cela, il va voir un politicien stéréotypé qui ne veut pas le voir. Cependant, à la lumière du rapport qu'il lui propose, il l'engage tout de suite. Parrallèlement, John Cusack se réveille en retard pour aller chercher ses enfants et les emmener à Yellowstone. Par hasard, notre père divorcé rencontre notre petit chercheur. Et comme par hasard, notre petit chercheur a lu un bouquin de notre père divorcé. Pendant ce temps, Woody Harrelson est un animateur de radio hurluberluesque qui diffuse directement de Yellowstone. Hasards et coïncidences, quand vous nous tenez !
À un moment donné, tout pète ! Donc, le père divorcé (qui avait retourné préalablement ses enfants à son ex) revient chercher ses mouflets, son ex et le chum de son ex. Le papa divorcé a loué un avion, mais le pilote est mort. MAIS, le chum de l'ex sait piloter... un planeur. Pas grave, il décolle parmi le feu et les intempéries. De néo-pilote, il devient un super pilote. Pas de sens. Mais là, ils doivent atterrir à Yellowstone pour savoir où se trouvent les vaisseaux décrits par l'animateur hurluberlu. Le père divorcé s'en sort de façon impossible et la famille reconstituée échappe encore à la mort par un cheveu, tout en défiant la logique physique, chimique, nucléaire et celle du cerveau.
Pendant ce temps, notre petit chercheur rencontre la fille du Président. Curieusement, elle est célibataire et noire en plus. Hasard, hasard, hasard... Et après quelques entourloupes, ils s'en vont en Chine là où se trouvent les arches (anciennement les vaisseaux). Mais notre père divorcé n'a pas fini, il se joint à un vilain Russe et la gang s'envole dans un avion plus gros et plus lourd que 10 statues de la Liberté. Mais, grâce à la magie du ridicule, ils réussissent à décoller. Qui plus est, grâce à la dérive des continents, même s'ils manquent de kérosène, ils se retrouvent à l'endroit voulu. Hé! Hé! Vaut mieux en rire.
Bon, je ne vous raconterai pas la fin, elle est trop exagérée. Mais la teneur du film va avec le style du réalisateur Roland Emmerich: scénario exagéré, dialogues vides, personnage principal divorcé qui reprend avec son ex, personnages débiles dans un contexte sérieux et effets époustoufflants. Souvent du copier/coller dans différents contextes, ce qui sauve du plagiat. Emmerich a d'ailleurs mentionné que c'était dernier film-catastrophe, pour ainsi peut-être se sauver de la catastrophe. Si au moins ses films impliquaient légèrement plus de sérieux au niveau de la scénarisation, on serait plus éblouis encore.
Dommage aussi de mettre des mots aussi stupides dans la bouche d'acteurs de qualité comme John Cusack, Woody Harrelson, Chiwetel Ejiofor, Danny Glover ou Thandie Newton. Mais peut-être aussi que ça paie bien et qu'après tout, c'est une véritable partie de plaisir ce tournage. Mais quand même, ça doit être tout un contraste que de jouer dans un Woody Allen tout de suite après.
Au fait 2012, est-ce l'année de la destruction du monde ou bien le nombre d'exagérations dans le film ?
Les coups à la tête légaux dans la LNH
Dimanche dernier, l'ailier Matt Cooke des Penguins de Pittsburgh assommait littéralement Marc Savard des Bruins de Boston. Une mise en échec tellement sévère que le centre originaire d'Ottawa a dû quitter la patinoire sur une civière et probablement qu'il ne reviendra pas au jeu cette saison. Devant ces gestes répétés des joueurs de la LNH, les dirigeants ont décidé de se pencher sur le dossier.
Réunis comme des pachas en Floride, ils ont étudié la question et décidé d'en venir à un consensus: l'an prochain, ces pénalités pourront être punies par des 2 ou 5 minutes. Pourront ? Si l'arbitre voit le geste j'imagine. Donc, cette année, les hockeyeurs peuvent s'arracher la tête, les arbitres ne pourront pas sévir. Complètement insensé ! Ça va avec le manque de logique de la LNH.
Qui plus est, cette décision allait sûrement faire en sorte que Matt Cooke mériterait une sentence importante. Mais non ! Parce que Mike Richards n'a pas été suspendu plus tôt cette saison en raison d'un geste sur David Booth des Panthers, Colin Campbell (crétin devant l'éternel) a décidé que c'était injuste pour Cooke de le suspendre ! Esti d'épais !!!!! Est-ce juste pour Booth et Savard de manquer plusieurs matchs ? De voir le sort de leur cerveau entre les mains de la science ? Est-ce juste pour leur équipe de voir leur meilleur joueur sur la liste des blessés pendant que les coupables se promènent allégrement ? Quand je pense à Maxim Lapierre qui a été suspendu 4 matchs la semaine dernière pour une mise en échec illégale, mais qui n'a pas été décriée par la victime.
Comme mise en échec débile, il ne faut pas oublier la tentative d'assassinat d'Andrew Ladd aux dépens de Matt D'Agostini en octobre dernier. Évidemment, le coupable s'en tire avec une médaille et la victime sur le carreau pendant des mois. La carrière de Matt D'Agostini sera peut-être bouleversée à jamais suite à ce geste. La tête est ce qu'il y a de plus précieux chez un athlète ou chez n'importe quel être humain, pourquoi donc permettre une telle aberration ?
Le mot va se passer dans la LNH et je souhaite que le chaos règne pour que les dirigeants voient en pleine face les conséquences de leurs décisions complètement imbéciles. Un jambon de la pire espèce comme Cooke, sachant que ses gestes sont tolérés, n'hésitera pas à détruire un joueur vedette. Et peut-être aussi qu'un goon de ce monde ira refaire le portrait de Cooke lui-même. Le message est clair pour tous: les coups à la tête sont légaux et tolérés !
Et quand on a un Benoit Brunet comme analyste qui est incapable de juger de la légalité d'une mise en échec parce qu'il les voit toutes légales, qui défend souvent l'agresseur au lieu de l'agressé, l'amateur moyen aura de la difficulté à faire sa propre opinion.
Réunis comme des pachas en Floride, ils ont étudié la question et décidé d'en venir à un consensus: l'an prochain, ces pénalités pourront être punies par des 2 ou 5 minutes. Pourront ? Si l'arbitre voit le geste j'imagine. Donc, cette année, les hockeyeurs peuvent s'arracher la tête, les arbitres ne pourront pas sévir. Complètement insensé ! Ça va avec le manque de logique de la LNH.
Qui plus est, cette décision allait sûrement faire en sorte que Matt Cooke mériterait une sentence importante. Mais non ! Parce que Mike Richards n'a pas été suspendu plus tôt cette saison en raison d'un geste sur David Booth des Panthers, Colin Campbell (crétin devant l'éternel) a décidé que c'était injuste pour Cooke de le suspendre ! Esti d'épais !!!!! Est-ce juste pour Booth et Savard de manquer plusieurs matchs ? De voir le sort de leur cerveau entre les mains de la science ? Est-ce juste pour leur équipe de voir leur meilleur joueur sur la liste des blessés pendant que les coupables se promènent allégrement ? Quand je pense à Maxim Lapierre qui a été suspendu 4 matchs la semaine dernière pour une mise en échec illégale, mais qui n'a pas été décriée par la victime.
Comme mise en échec débile, il ne faut pas oublier la tentative d'assassinat d'Andrew Ladd aux dépens de Matt D'Agostini en octobre dernier. Évidemment, le coupable s'en tire avec une médaille et la victime sur le carreau pendant des mois. La carrière de Matt D'Agostini sera peut-être bouleversée à jamais suite à ce geste. La tête est ce qu'il y a de plus précieux chez un athlète ou chez n'importe quel être humain, pourquoi donc permettre une telle aberration ?
Le mot va se passer dans la LNH et je souhaite que le chaos règne pour que les dirigeants voient en pleine face les conséquences de leurs décisions complètement imbéciles. Un jambon de la pire espèce comme Cooke, sachant que ses gestes sont tolérés, n'hésitera pas à détruire un joueur vedette. Et peut-être aussi qu'un goon de ce monde ira refaire le portrait de Cooke lui-même. Le message est clair pour tous: les coups à la tête sont légaux et tolérés !
Et quand on a un Benoit Brunet comme analyste qui est incapable de juger de la légalité d'une mise en échec parce qu'il les voit toutes légales, qui défend souvent l'agresseur au lieu de l'agressé, l'amateur moyen aura de la difficulté à faire sa propre opinion.
mercredi 10 mars 2010
FFO - Part 12
Le Festival du Film de l'Outaouais battra son plein dès vendredi et ce jusqu'au 19 mars. Il s'agit de la 12ème année de cette classique populaire en Outaouais. Elle permet au public de découvrir une multitude de productions québécoises à un prix modique. Des projections cinématographiques ont lieu à Aylmer, au Cinéma 9, à l'UQO, aux Archives nationales et à l'Estacade Salle Desjardins.
Cette année, vous pourrez voir ou revoir De Père en Flic, Les 7 jours du Talion, 5150 rue des Ormes et J'ai tué ma mère. Pour un aperçu plus détaillé des films présentés ainsi que des informations supplémentaires relatives au calendrier des projections et à la historique du festival, je vous invite à consulter le site web: www.offestival.com/2010/
Bon cinéma
Cette année, vous pourrez voir ou revoir De Père en Flic, Les 7 jours du Talion, 5150 rue des Ormes et J'ai tué ma mère. Pour un aperçu plus détaillé des films présentés ainsi que des informations supplémentaires relatives au calendrier des projections et à la historique du festival, je vous invite à consulter le site web: www.offestival.com/2010/
Bon cinéma
Les nouveautés au cinéma dès vendredi
Ça sent le printemps à plein nez, la neige quitte le sol et le soleil brille de tous ses feux. C'est le temps de l'année où les grosses pointures pénètrent dans les salles de cinéma afin de divertir un public encore endormi par les longues soirées d'hiver. Après une dernier weekend complètement dominé par Alice et ses merveilles, trois nouveautés arrivent vendredi au cinéma.
GREEN ZONE (LA ZONE VERTE)
Matt Damon refait équipe avec Paul Greengrass, réalisateur des deux derniers épisodes de l'agent amnésique Jason Bourne. Mais cette fois-ci, Damon n'est pas amnésique, il est un militaire américain recherchant des armes de destruction massive. La bande annonce laisse présager de l'action à la Jason Bourne, en terrain militaire. Ce sera sûrement la nouveauté la plus populaire de la semaine, mais je suis quand même curieux de voir les similitudes entre la série créée par Robert Ludlum et ce film-ci.
REMEMBER ME (LA RAGE DE VIVRE)
Le héros des jeunes filles à la recherche d'un idéal masculin, le monolithique Robert Pattinson, revient dans la peau d'un jeune homme sans pouvoir qui se retrouve séparé de ses parents et de son frère qui s'est suicidé. La rencontre d'une fille changera sa vie. Une distribution intéressante est jointe à Pattinson; Chris Cooper, Pierce Brosnan et Emilie de Ravin. Est-ce que les jeunes filles hystériques se garocheront au cinéma en espérant voir des séquences de Twilight ? C'est peut-être une chance ici pour Pattinson de jouer autre chose qu'un vampire complètement endormi.
SHE'S OUT OF MY LEAGUE (TROP BELLE!)
La comédie clichée pour ados de la semaine s'appelle She's out of my league. Un jeune homme étant loin de faire la couverture des magazines de mode voit sa vie romantique changer quand une splendide jeune femme tombe en amour avec lui. Leur entourage est bouleversé, personne ne peut y croire. Vous avez sûrement déjà vu cela ailleurs, mais ces histoires ont quand même un message précis: l'intérieur est souvent bien plus beau que l'extérieur.
Le choix de cette semaine est donc assez varié, mais s'il ne vous plaît pas, Alice aux pays des merveilles et Shutter Island peuvent s'avérer de bons choix.
GREEN ZONE (LA ZONE VERTE)
Matt Damon refait équipe avec Paul Greengrass, réalisateur des deux derniers épisodes de l'agent amnésique Jason Bourne. Mais cette fois-ci, Damon n'est pas amnésique, il est un militaire américain recherchant des armes de destruction massive. La bande annonce laisse présager de l'action à la Jason Bourne, en terrain militaire. Ce sera sûrement la nouveauté la plus populaire de la semaine, mais je suis quand même curieux de voir les similitudes entre la série créée par Robert Ludlum et ce film-ci.
REMEMBER ME (LA RAGE DE VIVRE)
Le héros des jeunes filles à la recherche d'un idéal masculin, le monolithique Robert Pattinson, revient dans la peau d'un jeune homme sans pouvoir qui se retrouve séparé de ses parents et de son frère qui s'est suicidé. La rencontre d'une fille changera sa vie. Une distribution intéressante est jointe à Pattinson; Chris Cooper, Pierce Brosnan et Emilie de Ravin. Est-ce que les jeunes filles hystériques se garocheront au cinéma en espérant voir des séquences de Twilight ? C'est peut-être une chance ici pour Pattinson de jouer autre chose qu'un vampire complètement endormi.
SHE'S OUT OF MY LEAGUE (TROP BELLE!)
La comédie clichée pour ados de la semaine s'appelle She's out of my league. Un jeune homme étant loin de faire la couverture des magazines de mode voit sa vie romantique changer quand une splendide jeune femme tombe en amour avec lui. Leur entourage est bouleversé, personne ne peut y croire. Vous avez sûrement déjà vu cela ailleurs, mais ces histoires ont quand même un message précis: l'intérieur est souvent bien plus beau que l'extérieur.
Le choix de cette semaine est donc assez varié, mais s'il ne vous plaît pas, Alice aux pays des merveilles et Shutter Island peuvent s'avérer de bons choix.
lundi 8 mars 2010
Les 3 Brasseurs
Voici la suite directe de nos aventures de la fin de semaine dernière à Montréal, PQ. Mais les événements principaux qui suivront ne se dérouleront pas tout à fait à Montréal, mais sur la Rive-Sud, à Boucherville. Vous voulez que je sois encore plus précis? Je vous dirai donc ceci: nous sommes allés dîner aux 3 Brasseurs au Quartier Dix30.
Ça faisait déjà un bout de temps que je désirais mettre les pieds dans cette brasserie. Et avant samedi, j'ignorais complètement que les 3 Brasseurs était une chaîne de restauration existant à plusieurs endroits dans le monde... On en compte 28 en France. D'ailleurs, c'est à Lille, en 1986, que l'on a ouvert la première brasserie. Depuis, la ville de Montréal s'est ajoutée à la liste avec quelques brasseries au centre-ville et en banlieue, à Boucherville.
Dès qu'on entre dans l'édifice, on est submergé par sa beauté. On s'attend donc déjà à un service et une qualité exceptionnelle. Et on n'est pas déçu. Le menu est présenté de façon originale, sur une espèce de journal, appelé la Gazette. Celui-ci est varié et on offre plusieurs plats, dont la flammekueche (la flamm), une sorte de pizza qui n'en est pas une. Sauf que lorsque tu mets les pieds dans une brasserie, tu veux de la bière. Je me permets donc une palette de 5 bières (l'etchétéra) pour seulement 8$: une blonde, une blanche, une brune et une ambrée, sans oublier la bière du moment: la Mars. Je tombe sur le dos, je suis ébloui, je ne veux plus quitter l'endroit, je veux acheter la compagnie.
Sauf qu'avant d'acheter, je dois manger sinon je ne serai pas assez en forme. J'y vais donc avec un hambourgeois de qualité primale, avec du fromage raifort. Hummmmmmmmmmmmmmm! Ce n'est pas un petit burger véreux de chez McDo, c'est un mastodonte apocalyptique, ce genre de brontosaure qui te rappelle que ça prend du boeuf pour faire un burger, pas un veau. Ce genre de burger qui vous rassasi pendant deux jours. J'en suis encore sous le choc. Tellement que je décide de ne plus acheter la compagnie, je retourne à la maison.
J'aimerais réellement que les 3 Brasseurs débarquent à Gatineau, mais c'est les Brasseurs du Temps qui en souffriraient. Néanmoins, ils pourraient envahir Ottawa.
Ça faisait déjà un bout de temps que je désirais mettre les pieds dans cette brasserie. Et avant samedi, j'ignorais complètement que les 3 Brasseurs était une chaîne de restauration existant à plusieurs endroits dans le monde... On en compte 28 en France. D'ailleurs, c'est à Lille, en 1986, que l'on a ouvert la première brasserie. Depuis, la ville de Montréal s'est ajoutée à la liste avec quelques brasseries au centre-ville et en banlieue, à Boucherville.
Dès qu'on entre dans l'édifice, on est submergé par sa beauté. On s'attend donc déjà à un service et une qualité exceptionnelle. Et on n'est pas déçu. Le menu est présenté de façon originale, sur une espèce de journal, appelé la Gazette. Celui-ci est varié et on offre plusieurs plats, dont la flammekueche (la flamm), une sorte de pizza qui n'en est pas une. Sauf que lorsque tu mets les pieds dans une brasserie, tu veux de la bière. Je me permets donc une palette de 5 bières (l'etchétéra) pour seulement 8$: une blonde, une blanche, une brune et une ambrée, sans oublier la bière du moment: la Mars. Je tombe sur le dos, je suis ébloui, je ne veux plus quitter l'endroit, je veux acheter la compagnie.
Sauf qu'avant d'acheter, je dois manger sinon je ne serai pas assez en forme. J'y vais donc avec un hambourgeois de qualité primale, avec du fromage raifort. Hummmmmmmmmmmmmmm! Ce n'est pas un petit burger véreux de chez McDo, c'est un mastodonte apocalyptique, ce genre de brontosaure qui te rappelle que ça prend du boeuf pour faire un burger, pas un veau. Ce genre de burger qui vous rassasi pendant deux jours. J'en suis encore sous le choc. Tellement que je décide de ne plus acheter la compagnie, je retourne à la maison.
J'aimerais réellement que les 3 Brasseurs débarquent à Gatineau, mais c'est les Brasseurs du Temps qui en souffriraient. Néanmoins, ils pourraient envahir Ottawa.
samedi 6 mars 2010
Papillons en liberté et «Bodies» à Montréal
Petite virée à Montréal en cette fin de semaine de relâche pour y visiter quelques attraits de marque dans la ville du crime. Comme mon généreux cousin Paul travaille à l'Insectarium de Montréal, nous avons pu visiter gracieusement l'endroit, plus spécialement «Papillons en liberté», concept qui a attiré pas moins de 199,000 visiteurs l'an dernier. Ce lien familial nous a permis d'éviter une longue file de gens patients. Un spectacle merveilleux qui émerveille (c'est le cas de le dire) petits et grands. Vous pouvez d'ailleurs jeté un petit coup d'oeil à cette photographie prise par moi-même lors de la visite.
Après une petite bouffe chez Scores et notre prise de possession d'une chambre de luxe à l'Hôtel Maritime Plaza, nous nous dirigeons vers le Centre Eaton où a lieu l'exposition Bodies. Celle-ci n'est pas la même offerte par l'anatomiste allemand Gunther von Hagens qui se déroulait au Vieux Port de Montréal en 2007. Elle vient plutôt d'un Asiatique et les «spécimens» sont justement Asiatiques. La visite dure environ un peu plus d'une heure et on visite les confins du corps humain. Fascinant et aussi renversant. Le processus pour conserver aussi bien les corps s'appelle la plastination et elle a suscité la controverse, particulièrement au sujet de la provenance des corps. Les organisateurs assurent qu'il s'agit de corps de gens ayant donné le leur à la science. Je ne me formalise pas avec la provenance, je me doute bien que les spécialistes derrière tout cela ont dû s'assurer de la «légalité» de l'entreprise. Il en coûte 19,95$ pour visiter l'exposition la semaine et 5$ de plus la fin de semaine. J'aurais bien aimé y ajouter une photo, mais il était interdit d'en prendre une seule ! Je suis donc demeuré poli.
Nous avons terminé notre soirée au restaurant italien Bellagio, au 505 boulevard de Maisonneuve. Très bon restaurant avec une excellente sélection en table d'hôte. Et le service alimentaire va bien plus loin que le menu: avant d'offrir l'entrée, on nous propose du pain et des bruschettas. On est déjà bourrés ! Ensuite, vient l'entrée (une soupe pour moi) puis le repas principal, spectaculaire repas de pâtes. Mais je n'ai pas été capable de terminer, complètement achevé par l'avalanche de pain que je me suis enfilé quelques minutes plus tôt. Mais ce n'est pas terminé, avant le dessert, on nous sert un plat de fruits et de noix. Ils sont complètement déchaînés ! Pourrons-nous goûter au dessert ? Finalement oui, un succulent gâteau au chocolat.
Pleins comme des boudins, on revient à pied à l'hôtel pour faire descendre le tout.
Ce billet vous parvenait donc du 10ème étage de l'Hôtel Maritime Plaza de Montréal. Avec un service Internet Wi-Fi gratuit, on peut se faire plaisir en programmant notre séjour à partir de notre portable.
Après une petite bouffe chez Scores et notre prise de possession d'une chambre de luxe à l'Hôtel Maritime Plaza, nous nous dirigeons vers le Centre Eaton où a lieu l'exposition Bodies. Celle-ci n'est pas la même offerte par l'anatomiste allemand Gunther von Hagens qui se déroulait au Vieux Port de Montréal en 2007. Elle vient plutôt d'un Asiatique et les «spécimens» sont justement Asiatiques. La visite dure environ un peu plus d'une heure et on visite les confins du corps humain. Fascinant et aussi renversant. Le processus pour conserver aussi bien les corps s'appelle la plastination et elle a suscité la controverse, particulièrement au sujet de la provenance des corps. Les organisateurs assurent qu'il s'agit de corps de gens ayant donné le leur à la science. Je ne me formalise pas avec la provenance, je me doute bien que les spécialistes derrière tout cela ont dû s'assurer de la «légalité» de l'entreprise. Il en coûte 19,95$ pour visiter l'exposition la semaine et 5$ de plus la fin de semaine. J'aurais bien aimé y ajouter une photo, mais il était interdit d'en prendre une seule ! Je suis donc demeuré poli.
Nous avons terminé notre soirée au restaurant italien Bellagio, au 505 boulevard de Maisonneuve. Très bon restaurant avec une excellente sélection en table d'hôte. Et le service alimentaire va bien plus loin que le menu: avant d'offrir l'entrée, on nous propose du pain et des bruschettas. On est déjà bourrés ! Ensuite, vient l'entrée (une soupe pour moi) puis le repas principal, spectaculaire repas de pâtes. Mais je n'ai pas été capable de terminer, complètement achevé par l'avalanche de pain que je me suis enfilé quelques minutes plus tôt. Mais ce n'est pas terminé, avant le dessert, on nous sert un plat de fruits et de noix. Ils sont complètement déchaînés ! Pourrons-nous goûter au dessert ? Finalement oui, un succulent gâteau au chocolat.
Pleins comme des boudins, on revient à pied à l'hôtel pour faire descendre le tout.
Ce billet vous parvenait donc du 10ème étage de l'Hôtel Maritime Plaza de Montréal. Avec un service Internet Wi-Fi gratuit, on peut se faire plaisir en programmant notre séjour à partir de notre portable.
jeudi 4 mars 2010
Au cinéma vendredi
En cette semaine de relâche, un nouveau film pour toute la famille prendra l'affiche. Cette nouvelle collaboration entre Johnny Depp et le réalisateur Tim Burton fera courir les foules sans aucune hésitation. Les autres nouveautés verront leur nombre de salles réduit et il faudra attendra quelque temps de les apprécier.
ALICE IN WONDERLAND (ALICE AU PAYS DES MERVEILLES)
Les réalisations de Tim Burton sortent toujours de l'ordinaire. Oscillant entre magie et folie, cette dernière mouture du classique de la littérature promet d'être unique en son genre car elle est présentée en format 3D et dans les salles IMAX. Seulement cela, le film en vaut le détour. Quant à Johnny Depp, il travaillera pour la 7ème fois avec Burton et chacune des aventures connut un résultat marquant. La jeune actrice australienne Mia Wasikowska joue le rôle d'Alice et on compte également de Helena Bonham Carter et Anne Hathaway. La sélection de la semaine, sans hésiter.
BROOKLYN'S FINEST
Derrière la caméra de ce film policier, on compte la présence d'Antoine Fuqua, celui qui réalisé l'excellent film policier Training Day. Ici, il récidive dans la même veine avec l'histoire de trois policiers qui se retrouvent dans le même engrenage. Ethan Hawke, qui jouait dans Training Day, Richard Gere, Don Cheadle et Wesley Snipes se partagent l'écran.
LES SIGNES VITAUX
Nouveau film québécois en salles. Celui-ci sortira sans doute à moindre échelle considérant son propos touchant un petit public et ses interprètes plutôt méconnus. Peut-être sera-t-il votre choix de la semaine quand même ?
ALICE IN WONDERLAND (ALICE AU PAYS DES MERVEILLES)
Les réalisations de Tim Burton sortent toujours de l'ordinaire. Oscillant entre magie et folie, cette dernière mouture du classique de la littérature promet d'être unique en son genre car elle est présentée en format 3D et dans les salles IMAX. Seulement cela, le film en vaut le détour. Quant à Johnny Depp, il travaillera pour la 7ème fois avec Burton et chacune des aventures connut un résultat marquant. La jeune actrice australienne Mia Wasikowska joue le rôle d'Alice et on compte également de Helena Bonham Carter et Anne Hathaway. La sélection de la semaine, sans hésiter.
BROOKLYN'S FINEST
Derrière la caméra de ce film policier, on compte la présence d'Antoine Fuqua, celui qui réalisé l'excellent film policier Training Day. Ici, il récidive dans la même veine avec l'histoire de trois policiers qui se retrouvent dans le même engrenage. Ethan Hawke, qui jouait dans Training Day, Richard Gere, Don Cheadle et Wesley Snipes se partagent l'écran.
LES SIGNES VITAUX
Nouveau film québécois en salles. Celui-ci sortira sans doute à moindre échelle considérant son propos touchant un petit public et ses interprètes plutôt méconnus. Peut-être sera-t-il votre choix de la semaine quand même ?
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