La NFL avait mis ses pauvres arbitres réguliers en lock-out. Une tactique fortement appréciée par Gary Bettman et par Pierre-Karl Péladeau, deux spécialistes en la matière. Trois semaines après le début de la saison, le travail des arbitres de remplacement n'a pas fait l'unanimité, plusieurs disant qu'ils ont coûté la victoire aux Packers de Green Bay lors du dernier match du lundi soir.
Même si la ligue a décidé de se ranger derrière les arbitres de remplacement, elle a bien compris que la situation avec ceux-ci ne pouvait plus durer. Il fallait absolument qu'une entente soit signée avant la quatrième semaine d'activités dans la NFL. Heureusement, cette entente est survenue hier. Ironiquement, les meilleurs négociateurs des officiels réguliers ont été les officiels de remplacement. Avec la quantité de décisions controversées qu'ils ont prises, cela a forcé la main à la ligue.
Par contre, on ne se cachera pas que plusieurs joueurs et entraîneurs ont manqué de respect envers ces hommes qui ont tout donné, avec fierté, dans le meilleur de leurs connaissances en attendant que la ligue se réveille. Tentatives d'intimidation, bousculades, injures, les incidents se comptent par dizaine. Même dans le USA Today, on a sali le nom de ces pauvres hommes qui ont accepté de relever le défi. Quelle lâcheté!
Quoique l'entente ne soit pas encore signée officiellement, elle sera ratifiée vendredi, les vrais zèbres de la NFL sauteront donc sur le terrain ce soir pour le match entre les Browns de Cleveland et les Ravens de Baltimore.
C'est mon ami fafan de la NFL qui va sauter de joie ce soir entre une gorgée de bière infecte et un sac de crottes au fromage. Gageons qu'après dix minutes, il les traitera de pourris.
jeudi 27 septembre 2012
mercredi 26 septembre 2012
GAME OVER! - La biographie de Éric Gagné
Éric Gagné est sans aucun doute le meilleur joueur de baseball québécois à avoir joué dans le baseball majeur. Il a gagné le trophée Cy Young, remis au meilleur lanceur de la Ligue nationale, en 2003. De 2002 à 2004, il a protégé pas moins de 84 matchs consécutifs, un record incontesté des Majeures.
En 2005 et 2006, Gagné souffre de multiples blessures au bras et au dos. Il ne joue que 16 parties durant ces deux saisons. Il lancera deux autres saisons, en 2007 avec les Rangers du Texas et les Red Sox de Boston, où il gagnera la Série Mondiale, et en 2008 avec les Brewers de Milwaukee. Comme ses performances ne sont plus à la mesure de son talent, il revient au Québec et effectue un dernier tour de piste en 2009 avec les Capitales.
La tache permanente sur son dossier apparaîtra en décembre 2007 alors que le rapport Mitchell est déposé. Le baseball majeur avait demandé à ce sénateur américain de faire une enquête sur de prétendus cas de dopage ayant cours dans les Majeures. Gagné est ciblé, tout comme quelques uns de ses coéquipiers des Dodgers.
Gagné sait qu'il a commis une erreur, mais refuse de parler du «passé». Ce n'est que dans cette biographie qu'il fera la paix avec ledit «passé». Écrit par le journaliste et ami personnel de Éric Gagné, Martin Leclerc, le livre suit le parcours d'un jeune homme de Mascouche qui caresse le rêve de jouer parmi les meilleurs joueurs au monde.
Le livre est en vente dès le jeudi 27 septembre dans les bonnes librairies du Québec au coût de 27,95$. Je connais quelques fans de baseball qui voudront mettre la main sur ce livre pour en savoir plus sur le rêve quelque peu brisé de Éric Gagné.
STATISTIQUES EN CARRIÈRE
Parties lancées: 402
Départs: 48
Matchs complets: 0
Blanchissages: 0
Sauvetages: 187
Manches lancées: 644
Point mérités: 248
But sur balles: 226
Retraits au bâton: 718
Cy Young: 1 (2003) avec les Dodgers
Série Mondiale: 1 (2007) avec les Red Sox
Gagné a lancé dans les Majeures de 1999 à 2008. Il a porté l'uniforme des Dodgers, des Rangers, des Red Sox et des Brewers.
On raconte qu'il aurait pu faire partie des Expos de Montréal. À l'époque, une entente avait été conclue entre les Dodgers et les Expos afin que le droitier de Mascouche passe à ceux-ci en retour du voltigeur Milton Bradley. Quelques heures après avoir donné son accord à la transaction, Kevin Malone, alors dg des Dodgers, aurait changé d'idée. Probablement que Dieu avait des plans pour lui.
En 2005 et 2006, Gagné souffre de multiples blessures au bras et au dos. Il ne joue que 16 parties durant ces deux saisons. Il lancera deux autres saisons, en 2007 avec les Rangers du Texas et les Red Sox de Boston, où il gagnera la Série Mondiale, et en 2008 avec les Brewers de Milwaukee. Comme ses performances ne sont plus à la mesure de son talent, il revient au Québec et effectue un dernier tour de piste en 2009 avec les Capitales.
La tache permanente sur son dossier apparaîtra en décembre 2007 alors que le rapport Mitchell est déposé. Le baseball majeur avait demandé à ce sénateur américain de faire une enquête sur de prétendus cas de dopage ayant cours dans les Majeures. Gagné est ciblé, tout comme quelques uns de ses coéquipiers des Dodgers.
Gagné sait qu'il a commis une erreur, mais refuse de parler du «passé». Ce n'est que dans cette biographie qu'il fera la paix avec ledit «passé». Écrit par le journaliste et ami personnel de Éric Gagné, Martin Leclerc, le livre suit le parcours d'un jeune homme de Mascouche qui caresse le rêve de jouer parmi les meilleurs joueurs au monde.
Le livre est en vente dès le jeudi 27 septembre dans les bonnes librairies du Québec au coût de 27,95$. Je connais quelques fans de baseball qui voudront mettre la main sur ce livre pour en savoir plus sur le rêve quelque peu brisé de Éric Gagné.
STATISTIQUES EN CARRIÈRE
Parties lancées: 402
Départs: 48
Matchs complets: 0
Blanchissages: 0
Sauvetages: 187
Manches lancées: 644
Point mérités: 248
But sur balles: 226
Retraits au bâton: 718
Cy Young: 1 (2003) avec les Dodgers
Série Mondiale: 1 (2007) avec les Red Sox
Gagné a lancé dans les Majeures de 1999 à 2008. Il a porté l'uniforme des Dodgers, des Rangers, des Red Sox et des Brewers.
On raconte qu'il aurait pu faire partie des Expos de Montréal. À l'époque, une entente avait été conclue entre les Dodgers et les Expos afin que le droitier de Mascouche passe à ceux-ci en retour du voltigeur Milton Bradley. Quelques heures après avoir donné son accord à la transaction, Kevin Malone, alors dg des Dodgers, aurait changé d'idée. Probablement que Dieu avait des plans pour lui.
James Bond 50
Le célèbre agent secret britannique James Bond célèbre son 50e anniversaire au cinéma cette année. L'agent secret au matricule 007 a été créé en 1953 par l'ex-agent des services secrets anglais Ian Fleming. Celui-ci a publié 12 romans et 9 nouvelles de 1953 à sa mort en 1964.
C'est en 1962 que le premier film mettant en vedette l'espion a été présenté dans les salles de cinéma. Produit pour un peu moins de 1 million de dollars, Dr. No a été le précurseur d'une série de 23 films (incluant Skyfall qui sortira le 26 octobre en Europe et le 9 novembre en Amérique du Nord).
À l'occasion de l'anniversaire du héros le plus durable d'Hollywood ou de Londres (comme vous voulez), les studios MGM et 20th Fox proposent un très beau coffret regroupant les 22 films de la série ainsi qu'un disque bonus présentant quelques entrevues, documentaires et tous les génériques des James Bond. Les disques contenant les films sont insérés dans deux livrets; de 1962 à 1981 et de 1983 à 2012. Il y a même une place pour le blu ray de Skyfall dont la copie vidéo sortira à l'hiver ou au printemps.
Je me suis procuré le coffret dès la journée de sa sortie. Jusqu'au 27 septembre, le prix du coffret est de 174,99$, pour un total de 201$ avec les taxes. Cela paraît très cher sur le coup, mais lorsqu'on fait le compte, chaque film revient à 9,13$ (7,95$ avant taxes). C'est un très bon investissement pour un fan comme je suis.
Toutefois, les distributeurs avaient déjà mis sur le marché 13 James Bond en blu ray, il en manquait donc 9! Il s'agissait d'une stratégie évidente de marketing. Quelques films étaient dans des coffrets regroupant trois disques, même pas en ordre. Cela forçait les fans à débourser pour une série qui n'était même pas complète. Toutefois, les 22 longs métrages pouvaient être vus sur support DVD. Moi-même, je possède les 13 films de James Bond en blu ray.
Je croyais fermement que les 9 manquants allaient être disponibles dans des délais raisonnables, mais j'ai compris il y a deux ans. La production du nouveau James Bond était retardée pour des raisons financières, car le studio MGM était en faillite. Voulant faire un coup de marketing puissant, les distributeurs avaient dans leur tête de produire un coffret complet pour souligner les 50 ans du héros. Donc, pourquoi ne pas «forcer» les fans à acheter le coffret, même s'ils se sont procuré les premiers films en blu ray disponibles sur le marché. Une arnaque peut-être, mais un coup d'argent assuré.
Ceux qui ne veulent pas débourser 200$ pour le coffret n'auront pas longtemps à attendre. Les neuf derniers films qui manquent à leur collection seront disponibles individuellement dès le 2 octobre, à raison de 16,99$ la copie. C'est donc dire que pour 9 films, il vous faudra débourser presque 180$ en incluant les taxes. Faites comme moi, essayez de vendre vos copies blu ray et achetez le coffret pour 20$ de plus, vous le ne regretterez pas.
Soyez à l'affût du blogue, car dans quelques semaines, vous pourrez lire mes commentaires au sujet de la sortie de la 23e aventure cinématographique de James Bond, alias 007.
C'est en 1962 que le premier film mettant en vedette l'espion a été présenté dans les salles de cinéma. Produit pour un peu moins de 1 million de dollars, Dr. No a été le précurseur d'une série de 23 films (incluant Skyfall qui sortira le 26 octobre en Europe et le 9 novembre en Amérique du Nord).
À l'occasion de l'anniversaire du héros le plus durable d'Hollywood ou de Londres (comme vous voulez), les studios MGM et 20th Fox proposent un très beau coffret regroupant les 22 films de la série ainsi qu'un disque bonus présentant quelques entrevues, documentaires et tous les génériques des James Bond. Les disques contenant les films sont insérés dans deux livrets; de 1962 à 1981 et de 1983 à 2012. Il y a même une place pour le blu ray de Skyfall dont la copie vidéo sortira à l'hiver ou au printemps.
Je me suis procuré le coffret dès la journée de sa sortie. Jusqu'au 27 septembre, le prix du coffret est de 174,99$, pour un total de 201$ avec les taxes. Cela paraît très cher sur le coup, mais lorsqu'on fait le compte, chaque film revient à 9,13$ (7,95$ avant taxes). C'est un très bon investissement pour un fan comme je suis.
Toutefois, les distributeurs avaient déjà mis sur le marché 13 James Bond en blu ray, il en manquait donc 9! Il s'agissait d'une stratégie évidente de marketing. Quelques films étaient dans des coffrets regroupant trois disques, même pas en ordre. Cela forçait les fans à débourser pour une série qui n'était même pas complète. Toutefois, les 22 longs métrages pouvaient être vus sur support DVD. Moi-même, je possède les 13 films de James Bond en blu ray.
Je croyais fermement que les 9 manquants allaient être disponibles dans des délais raisonnables, mais j'ai compris il y a deux ans. La production du nouveau James Bond était retardée pour des raisons financières, car le studio MGM était en faillite. Voulant faire un coup de marketing puissant, les distributeurs avaient dans leur tête de produire un coffret complet pour souligner les 50 ans du héros. Donc, pourquoi ne pas «forcer» les fans à acheter le coffret, même s'ils se sont procuré les premiers films en blu ray disponibles sur le marché. Une arnaque peut-être, mais un coup d'argent assuré.
Ceux qui ne veulent pas débourser 200$ pour le coffret n'auront pas longtemps à attendre. Les neuf derniers films qui manquent à leur collection seront disponibles individuellement dès le 2 octobre, à raison de 16,99$ la copie. C'est donc dire que pour 9 films, il vous faudra débourser presque 180$ en incluant les taxes. Faites comme moi, essayez de vendre vos copies blu ray et achetez le coffret pour 20$ de plus, vous le ne regretterez pas.
Soyez à l'affût du blogue, car dans quelques semaines, vous pourrez lire mes commentaires au sujet de la sortie de la 23e aventure cinématographique de James Bond, alias 007.
lundi 24 septembre 2012
Le Trône de sexe... oups, le Trône de fer
C'est sur l'insistance incessante de mon ami oring Mathieu Lajoie que j'ai cédé et que j'ai regardé les deux premières saisons de la série Le Trône de fer, version française de Game of Thrones. La série est adaptée de la série de romans du même nom écrits par George R. R. Martin. L'histoire s'articule de plusieurs rivalités royales dans le but d'accéder au Royaume des sept couronnes. Les jeux de coulisse et de traitrise sont nombreux, tout comme les scènes de sexe, parfois presque explicites.
On peut comparer l'époque à celle du Seigneur des Anneaux, mais la différence est que les bons ne triomphent pas souvent. Seuls les plus maléfiques et ceux qui ont des desseins tordus s'en sortent avec les honneurs. L'inceste est aussi très présent, comme en témoigne la relation entre les jumeaux Cersei et Jaime, qui ont trois enfants, dans le plus grand des secrets.
L'accession au pouvoir est truffée de vices, d'enjeux cruels. Comment peut-on concevoir l'assassinat de son propre frère? Comment concevoir que le mal peut être aussi viscéral, comme le jeune et maléfique roi Joffrey, un être impétueux qui mérité d'avoir sa tête accroché au bout d'un piquet.
Il est triste de constater que les bons personnages connaissent un destin cruel. La famille Stark par exemple, dont le père est Eddard Stark. La bonté, la justice et l'amour semblent habiter cette famille. Mais on dirait que leur destin est aussi pire que celui des Kennedy.
Le personnage le plus charismatique est sans doute Tyrion Lannister, joué par la personne de petite taille (le nain!) Peter Dinklage. Bourré de nuances et d'intelligence, il brûle l'écran à chacune de ses présences. L'acteur a d'ailleurs remporté un Emmy l'an dernier pour sa performance dans la première saison du Trône de fer.
Je peux dire que j'ai apprécié les deux premières saison du Trône de fer, malgré les trop nombreuses scènes sexuelles. Je ne suis pas certain que cela avantage nécessairement la trame du récit. De plus, je crois que les bons personnages devraient avoir un destin qui joue en leur faveur. Évidemment, c'est l'auteur George R. R. Martin qui décide du sort de tous et chacun, mais dans sa longue série d'histoire, il ne peut se départir des meilleurs.
La saison 3 devrait être en ondes au printemps sur HBO et à Super Écran en français dans les mois qui vont suivre.
GAME OF THRONES (Le Trône de fer) met en vedette Lena Headey, Peter Dinklage, Sean Bean, Emilia Clarke et une tonne d'autres acteurs.
On peut comparer l'époque à celle du Seigneur des Anneaux, mais la différence est que les bons ne triomphent pas souvent. Seuls les plus maléfiques et ceux qui ont des desseins tordus s'en sortent avec les honneurs. L'inceste est aussi très présent, comme en témoigne la relation entre les jumeaux Cersei et Jaime, qui ont trois enfants, dans le plus grand des secrets.
L'accession au pouvoir est truffée de vices, d'enjeux cruels. Comment peut-on concevoir l'assassinat de son propre frère? Comment concevoir que le mal peut être aussi viscéral, comme le jeune et maléfique roi Joffrey, un être impétueux qui mérité d'avoir sa tête accroché au bout d'un piquet.
Il est triste de constater que les bons personnages connaissent un destin cruel. La famille Stark par exemple, dont le père est Eddard Stark. La bonté, la justice et l'amour semblent habiter cette famille. Mais on dirait que leur destin est aussi pire que celui des Kennedy.
Le personnage le plus charismatique est sans doute Tyrion Lannister, joué par la personne de petite taille (le nain!) Peter Dinklage. Bourré de nuances et d'intelligence, il brûle l'écran à chacune de ses présences. L'acteur a d'ailleurs remporté un Emmy l'an dernier pour sa performance dans la première saison du Trône de fer.
Je peux dire que j'ai apprécié les deux premières saison du Trône de fer, malgré les trop nombreuses scènes sexuelles. Je ne suis pas certain que cela avantage nécessairement la trame du récit. De plus, je crois que les bons personnages devraient avoir un destin qui joue en leur faveur. Évidemment, c'est l'auteur George R. R. Martin qui décide du sort de tous et chacun, mais dans sa longue série d'histoire, il ne peut se départir des meilleurs.
La saison 3 devrait être en ondes au printemps sur HBO et à Super Écran en français dans les mois qui vont suivre.
GAME OF THRONES (Le Trône de fer) met en vedette Lena Headey, Peter Dinklage, Sean Bean, Emilia Clarke et une tonne d'autres acteurs.
Lock-out dans la LNH: bande de nuls!
Gary Bettman, commissaire de la LNH |
Les millionnaires de la glace peuvent bien se targuer de vouloir jouer, mais reste qu'ils pourraient mettre encore plus d'eau dans leur vin, car de toute façon, les propriétaires vont tout leur donner dans les années qui vont suivre. On a qu'à prendre les exemples concrets que ces imbéciles de proprios ont réalisés cet été. Des contrats de très longue durée à des joueurs autonomes. Leur intelligence n'arrive pas à comprendre qu'accorder de longs contrats, c'est de la folie. L'exemple de Rick DiPietro n'est-il pas le meilleur au monde?
Hier soir, Maxime Talbot, Mathieu Darche et Benoit Gervais étaient sur le plateau de Tout le monde en parle. Ils jurent qu'ils sont prêts à négocier, mais ils ne veulent pas céder d'un pouce leurs acquis. Normal, mais comme je l'ai mentionné plus haut, les propriétaires sont des idiots et donnent des millions à des chaudrons. Chacun aura sa part du gâteau de toute façon en temps et lieu.
Ce conflit inutile et puéril va-t-il perdurer? J'ose croire que non. Je pense que nous aurons une saison. Elle sera écourtée, mais il y aura une saison. Quand va-t-elle débuter? Qui sait?
Pendant ce temps, vous pouvez suivre les exploits des lockoutés un peu partout dans le monde. Talbot et Gervais organisent une tournée québécoise, une sorte de Montréal-Québec. Pour 20$, vous pourrez voir ces riches faire une démonstration de leur talent.
lundi 10 septembre 2012
Vers un autre lock-out dans la LNH?
La date fatidique du 15 septembre approche à grands pas. C'est à ce moment que sera déclenché le lock-out, par les propriétaires, ou bien la grève, par les joueurs. Mais rien n'est joué car il reste encore 5 jours pour négocier et arriver à une entente. Mais est-ce que les deux partis discutent de bonne foi?
D'un côté, on a ces riches joueurs de hockey qui ont plus peur de la fin du monde que de la fin du mois. De l'autre, les riches propriétaires qui désirent à tout prix un plafond salarial, mais lance des millions par la fenêtre. Estomaqués, les joueurs trouvent propriétaires très stupides.
Au milieu, il y a le partisan, le fan, celui qui paie le gros prix pour aller voir jouer ses joueurs préférés. La LNH est-elle encore prête à renier ses partisans pendant une année toute entière comme en 2004-05? On dit que des marchés ne survivraient pas aux USA. Tant mieux, on a assez vu Columbus, Nashville, Phoenix, Floride et j'en passe. Des villes où le hockey n'attire pas n'est pas une ville de hockey et les millions injectés dans leur structure n'ont pas leur raison d'être.
Cette menace de grève ou de lock-out qui pointe à l'horizon est un réel manque de respect envers l'amateur. Les joueurs et ceux qui les emploient ne se soucient guère de ceux qui payent le gros prix pour entrer à l'aréna.
Un de ces jours, les joueurs comprendront que leurs poches sont pleines et qu'en demander d'autres n'améliorera pas leur cas, au contraire.
D'un côté, on a ces riches joueurs de hockey qui ont plus peur de la fin du monde que de la fin du mois. De l'autre, les riches propriétaires qui désirent à tout prix un plafond salarial, mais lance des millions par la fenêtre. Estomaqués, les joueurs trouvent propriétaires très stupides.
Au milieu, il y a le partisan, le fan, celui qui paie le gros prix pour aller voir jouer ses joueurs préférés. La LNH est-elle encore prête à renier ses partisans pendant une année toute entière comme en 2004-05? On dit que des marchés ne survivraient pas aux USA. Tant mieux, on a assez vu Columbus, Nashville, Phoenix, Floride et j'en passe. Des villes où le hockey n'attire pas n'est pas une ville de hockey et les millions injectés dans leur structure n'ont pas leur raison d'être.
Cette menace de grève ou de lock-out qui pointe à l'horizon est un réel manque de respect envers l'amateur. Les joueurs et ceux qui les emploient ne se soucient guère de ceux qui payent le gros prix pour entrer à l'aréna.
Un de ces jours, les joueurs comprendront que leurs poches sont pleines et qu'en demander d'autres n'améliorera pas leur cas, au contraire.
vendredi 7 septembre 2012
Sorties cinéma de septembre
Comme j'essaie de le faire chaque automne, voici la liste des films qui prendront l'affiche dans les salles de cinéma en Amérique du Nord du mois de septembre jusqu'à Noël.
Les dates de sortie sont celles du Québec!
7 septembre
COLD LIGHT OF THE DAY (Sans Issue). Réalisé par Mabrouk El Mechri. Avec Henry Cavill, Bruce Willis et Sigourney Weaver, Un jeune homme décide de rejoindre sa famille en vacances en Europe pour une croisière. À son arrivée, il ne voit que des taches de sang dans le bateau, sans aucune trace de sa famille. Une mystérieuse organisation lui apprendra des révélations surprenantes à propos de sa famille et le compte à rebours fatal s'amorce. Regardez bien Henry Cavill, car il est le prochain interprète de Superman. Quant à Bruce Willis et Sigourney Weaver, on les connaît déjà. Ça sent le cliché, mais le pur divertissement. Note: Le film est déjà paru en Europe depuis avril dernier. Quelques petits efforts vous permettront de trouver le film facilement.
THE WORDS (Les mots). Réalisé par Brian Klugman et Lee Sternthal. Avec Bradley Cooper, Zoe Saldana et Jeremy Irons. Un jeune auteur à la recherche du succès met la main sur un manuscrit anonyme. Emporté par la richesse du texte, il décide de le publier, mais comme étant l'auteur. Cependant, le réel auteur, devenu un vieillard, décide de confronter l'imposteur. Eau de rose à prévoir, mais aussi réflexion sur le plagiat.
14 septembre
L'AFFAIRE DUMONT. Réalisé par Podz. Avec Marc-André Grondin, Marilyn Castonguay et Kathleen Fortin. Michel Dumont, livreur dans un dépanneur et père de deux jeunes enfants, est accusé et condamné pour une agression sexuelle qu'il nie avoir commis. Derrière les barreaux, il rencontrera Solange, une femme qu'il mariera et qui s'attaquera à une longue et pénible tâche pour le faire acquitter. À VOIR.
FINDING NEMO 3D (Trouver Nemo 3D). Réalisé par Andrew Stanton et Lee Unkrich. Le petit poisson-clown Nemo disparaît dans son habitat des eaux tropicales de la Grande Barrière de corail. Son papa tentera par tous les moyens de retrouver fiston. Vous connaissez l'histoire, mais pourquoi ne pas la partager avec vos enfants, même si le 3D n'est qu'un prétexte pour faire des millions supplémentaires.
FOR A GOOD TIME, CALL... Réalisé par Jamie Travis. Avec Seth Rogen, Justin Long et Ari Graynor. Deux amies décident d'habiter ensemble après de rudes épreuves. Lorsqu'une d'elle apprend ce que l'autre fait dans la vie, elle décide de suivre ses traces. Franchement, ça m'a l'air sans intérêt.
RESIDENT EVIL: RETRIBUTION (Resident Evil: le Châtiment). Réalisé par Paul W. S. Anderson. Avec Milla Jovovich, Michelle Rrodriguez et Kevin Durand. Alice est toujours à la chasse de morts-vivants, comme dans les autres épisodes. Je croyais vraiment cette série terminée, mais elle attire encore son lot de fans finis.
21 septembre
10 YEARS. Réalisé par Jamie Linden. Avec Kate Mara, Channing Tatum et Rosario Dawson. 10 ans après la fin de leurs études secondaires, un groupe d'amis se réunit pour souligner l'événement. Odeur de déjà vu plus tôt cette année avec American Pie 4? Peut-être que ce sera un brin plus sérieux ici.
APRÈS LA NEIGE. Réalisé par Paul Barbeau. Avec Émile Schneiger-Nadeau, Paul Barbeau et Benz Antoine. Un homme qui vient de fermer sa compagnie, tente de se rapprocher de son fils. Quelques chanceux pourront voir ce film dans la poignée de salles où il sera présenté.
ARBITRAGE. Réalisé par Nicholas Jarecki. Avec Richard Gere, Brit Marling et Tim Roth. Un riche homme d'affaires doit faire appel à une personne aux compétences plutôt spéciales afin qu'il puisse vendre tout son empire avant qu'on ne découvre l'ampleur de la fraude qu'il a commise. Sûrement de la qualité dans ce produit.
DREDD. Réalisé par Pete Travis. Avec Karl Urban, Lena Headey et Olivia Thirlby. Dans un monde futuriste, la justice n'est plus ce qu'elle était. Des policiers sont chargés eux-mêmes d'agir juges, jurés et décideurs. Vous vous souvenez de Judge Dredd sorti en 1995 et mettant en vedette Sylvester Stallone? 17 ans plus tard, sans vedette en tête d'affiche, on tente de remettre en scelle un autre personnage issu de bande dessinée.
END OF WATCH. Réalisé par David Ayer. Avec Jake Gyllenhaal, Anna Kendrick et Michael Pena. Gros plan sur la relation entre deux policiers qui sont partenaires depuis de nombreuses années. Si vous avez aimé 19-2...
HOUSE AT THE END OF THE STREET (La maison au bout de la rue). Réalisé par Mark Tonderai. Avec Jennifer Lawrence, Elisabeth Shue et Max Thieriot. Une mère et sa fille déménagement dans un nouveau quartier. La maison voisine a été le théâtre d'un horrible meurtre où une jeune femme aurait tué ses parents. Quand la fille se lie d'amitié avec le jeune homme habitant toujours dans cette résidence, elle s'aperçoit que le malheur n'est pas terminé. Nous verrons si Jennifer Lawrence est une star viable après Hunger Games.
TROUBLE WITH THE CURVE (Retour au jeu). Réalisé par Robert Lorenz. Avec Clint Eastwood, Amy Adams et Justin Timberlake. Alors que sa vie bascule quand il apprend qu'il perd progressivement la vue, un vétéran recrue du baseball majeur se rend à Atlanta dans l'espoir d'y rencontrer un espoir prometteur. Fait très rare, Clint Eastwood joue dans un film qu'il ne dirige pas. L'an dernier, Moneyball avait connu un certain succès en étant sorti dans les salles de cinéma à la fin septembre.
28 septembre
HOTEL TRANSYLVANIA (Hôtel Transylvanie). Réalisé Genndy Tartakovsky. Avec le voix de Adam Sandler, Kevin James et Steve Buscemi. Voic l'hôtel Transylvanie, lieu de repos des grands monstres de ce monde. Dracula, Frankenstein, Quasimodo, la Momie se réunissent pour se retirer du difficile monde des humains. Film d'animation qui n'est pas dénué d'intérêt.
INCH'ALLAH. Réalisé par Anaïs Barbeau-Lavalette. Avec Évelyne Brochu, Sabrina Ouazani et Marie-Thérèse Fortin. Une jeune obstétricienne québécoise travaille dans un camp de fortune en Cisjordanie où elle travaille se lie d'amitié avec un médecin français et rencontre des patients qui lui font découvrir les racines d'un pays qui la transformeront à jamais. Autre film québécois où on explore la culture étrangère après Incendies et Monsieur Lazhar. Ces deux derniers films ont été nominés aux Oscar. Trois en trois?
LOOPER (Looper: les tueurs du temps). Réalisé par Rian Johnson. Avec Bruce Willis, Joseph Gordon-Levitt et Emily Blunt. Dans un futur pas si lointain, un groupe de tueurs appelé Looper travaille pour un dangereux syndicat du crim. On voit Joseph Gordon-Levitt partout, tant mieux, car il est gage d'une parcelle de qualité dans un film.
THE PERKS OF BEING A WALLFLOWER. Réalisé par Stephen Chbosky. Avec Emma Watson, Nina Dobrev et Paul Rudd. Le jeune Charlie s'intègre mal à son nouvel environnement scolaire. Même si son enseignant voit en lui en génie, il est constamment à fleur de peau. C'est alors que deux amis, Patrick et Sam, l'accompagneront dans sa réussite. Tout comme Daniel Radcliffe et Rupert Grint, Emma Watson tente de frayer un chemin après Harry Potter.
WON'T BACK DOWN (On ne cèdera pas). Réalisé par Daniel Barnz. Avec Maggie Gyllenhaal, Viola Davis et Holly Hunter. Deux mères de famille décident de prendre le contrôle d'une école d'un milieu défavorisé avec l'aide des parents et des enseignants. Cependant, le syndicat des professeurs les attend dans le détour. Un film sur le milieu scolaire, mais cela aidera-t-il vraiment à ce que certaines ministres de l'Éducation de ce monde comprennent ce qu'est une école.
Les dates de sortie sont sujettes à changement.
Les dates de sortie sont celles du Québec!
7 septembre
COLD LIGHT OF THE DAY (Sans Issue). Réalisé par Mabrouk El Mechri. Avec Henry Cavill, Bruce Willis et Sigourney Weaver, Un jeune homme décide de rejoindre sa famille en vacances en Europe pour une croisière. À son arrivée, il ne voit que des taches de sang dans le bateau, sans aucune trace de sa famille. Une mystérieuse organisation lui apprendra des révélations surprenantes à propos de sa famille et le compte à rebours fatal s'amorce. Regardez bien Henry Cavill, car il est le prochain interprète de Superman. Quant à Bruce Willis et Sigourney Weaver, on les connaît déjà. Ça sent le cliché, mais le pur divertissement. Note: Le film est déjà paru en Europe depuis avril dernier. Quelques petits efforts vous permettront de trouver le film facilement.
THE WORDS (Les mots). Réalisé par Brian Klugman et Lee Sternthal. Avec Bradley Cooper, Zoe Saldana et Jeremy Irons. Un jeune auteur à la recherche du succès met la main sur un manuscrit anonyme. Emporté par la richesse du texte, il décide de le publier, mais comme étant l'auteur. Cependant, le réel auteur, devenu un vieillard, décide de confronter l'imposteur. Eau de rose à prévoir, mais aussi réflexion sur le plagiat.
14 septembre
L'AFFAIRE DUMONT. Réalisé par Podz. Avec Marc-André Grondin, Marilyn Castonguay et Kathleen Fortin. Michel Dumont, livreur dans un dépanneur et père de deux jeunes enfants, est accusé et condamné pour une agression sexuelle qu'il nie avoir commis. Derrière les barreaux, il rencontrera Solange, une femme qu'il mariera et qui s'attaquera à une longue et pénible tâche pour le faire acquitter. À VOIR.
FINDING NEMO 3D (Trouver Nemo 3D). Réalisé par Andrew Stanton et Lee Unkrich. Le petit poisson-clown Nemo disparaît dans son habitat des eaux tropicales de la Grande Barrière de corail. Son papa tentera par tous les moyens de retrouver fiston. Vous connaissez l'histoire, mais pourquoi ne pas la partager avec vos enfants, même si le 3D n'est qu'un prétexte pour faire des millions supplémentaires.
FOR A GOOD TIME, CALL... Réalisé par Jamie Travis. Avec Seth Rogen, Justin Long et Ari Graynor. Deux amies décident d'habiter ensemble après de rudes épreuves. Lorsqu'une d'elle apprend ce que l'autre fait dans la vie, elle décide de suivre ses traces. Franchement, ça m'a l'air sans intérêt.
RESIDENT EVIL: RETRIBUTION (Resident Evil: le Châtiment). Réalisé par Paul W. S. Anderson. Avec Milla Jovovich, Michelle Rrodriguez et Kevin Durand. Alice est toujours à la chasse de morts-vivants, comme dans les autres épisodes. Je croyais vraiment cette série terminée, mais elle attire encore son lot de fans finis.
21 septembre
10 YEARS. Réalisé par Jamie Linden. Avec Kate Mara, Channing Tatum et Rosario Dawson. 10 ans après la fin de leurs études secondaires, un groupe d'amis se réunit pour souligner l'événement. Odeur de déjà vu plus tôt cette année avec American Pie 4? Peut-être que ce sera un brin plus sérieux ici.
APRÈS LA NEIGE. Réalisé par Paul Barbeau. Avec Émile Schneiger-Nadeau, Paul Barbeau et Benz Antoine. Un homme qui vient de fermer sa compagnie, tente de se rapprocher de son fils. Quelques chanceux pourront voir ce film dans la poignée de salles où il sera présenté.
ARBITRAGE. Réalisé par Nicholas Jarecki. Avec Richard Gere, Brit Marling et Tim Roth. Un riche homme d'affaires doit faire appel à une personne aux compétences plutôt spéciales afin qu'il puisse vendre tout son empire avant qu'on ne découvre l'ampleur de la fraude qu'il a commise. Sûrement de la qualité dans ce produit.
DREDD. Réalisé par Pete Travis. Avec Karl Urban, Lena Headey et Olivia Thirlby. Dans un monde futuriste, la justice n'est plus ce qu'elle était. Des policiers sont chargés eux-mêmes d'agir juges, jurés et décideurs. Vous vous souvenez de Judge Dredd sorti en 1995 et mettant en vedette Sylvester Stallone? 17 ans plus tard, sans vedette en tête d'affiche, on tente de remettre en scelle un autre personnage issu de bande dessinée.
END OF WATCH. Réalisé par David Ayer. Avec Jake Gyllenhaal, Anna Kendrick et Michael Pena. Gros plan sur la relation entre deux policiers qui sont partenaires depuis de nombreuses années. Si vous avez aimé 19-2...
HOUSE AT THE END OF THE STREET (La maison au bout de la rue). Réalisé par Mark Tonderai. Avec Jennifer Lawrence, Elisabeth Shue et Max Thieriot. Une mère et sa fille déménagement dans un nouveau quartier. La maison voisine a été le théâtre d'un horrible meurtre où une jeune femme aurait tué ses parents. Quand la fille se lie d'amitié avec le jeune homme habitant toujours dans cette résidence, elle s'aperçoit que le malheur n'est pas terminé. Nous verrons si Jennifer Lawrence est une star viable après Hunger Games.
TROUBLE WITH THE CURVE (Retour au jeu). Réalisé par Robert Lorenz. Avec Clint Eastwood, Amy Adams et Justin Timberlake. Alors que sa vie bascule quand il apprend qu'il perd progressivement la vue, un vétéran recrue du baseball majeur se rend à Atlanta dans l'espoir d'y rencontrer un espoir prometteur. Fait très rare, Clint Eastwood joue dans un film qu'il ne dirige pas. L'an dernier, Moneyball avait connu un certain succès en étant sorti dans les salles de cinéma à la fin septembre.
28 septembre
HOTEL TRANSYLVANIA (Hôtel Transylvanie). Réalisé Genndy Tartakovsky. Avec le voix de Adam Sandler, Kevin James et Steve Buscemi. Voic l'hôtel Transylvanie, lieu de repos des grands monstres de ce monde. Dracula, Frankenstein, Quasimodo, la Momie se réunissent pour se retirer du difficile monde des humains. Film d'animation qui n'est pas dénué d'intérêt.
INCH'ALLAH. Réalisé par Anaïs Barbeau-Lavalette. Avec Évelyne Brochu, Sabrina Ouazani et Marie-Thérèse Fortin. Une jeune obstétricienne québécoise travaille dans un camp de fortune en Cisjordanie où elle travaille se lie d'amitié avec un médecin français et rencontre des patients qui lui font découvrir les racines d'un pays qui la transformeront à jamais. Autre film québécois où on explore la culture étrangère après Incendies et Monsieur Lazhar. Ces deux derniers films ont été nominés aux Oscar. Trois en trois?
LOOPER (Looper: les tueurs du temps). Réalisé par Rian Johnson. Avec Bruce Willis, Joseph Gordon-Levitt et Emily Blunt. Dans un futur pas si lointain, un groupe de tueurs appelé Looper travaille pour un dangereux syndicat du crim. On voit Joseph Gordon-Levitt partout, tant mieux, car il est gage d'une parcelle de qualité dans un film.
THE PERKS OF BEING A WALLFLOWER. Réalisé par Stephen Chbosky. Avec Emma Watson, Nina Dobrev et Paul Rudd. Le jeune Charlie s'intègre mal à son nouvel environnement scolaire. Même si son enseignant voit en lui en génie, il est constamment à fleur de peau. C'est alors que deux amis, Patrick et Sam, l'accompagneront dans sa réussite. Tout comme Daniel Radcliffe et Rupert Grint, Emma Watson tente de frayer un chemin après Harry Potter.
WON'T BACK DOWN (On ne cèdera pas). Réalisé par Daniel Barnz. Avec Maggie Gyllenhaal, Viola Davis et Holly Hunter. Deux mères de famille décident de prendre le contrôle d'une école d'un milieu défavorisé avec l'aide des parents et des enseignants. Cependant, le syndicat des professeurs les attend dans le détour. Un film sur le milieu scolaire, mais cela aidera-t-il vraiment à ce que certaines ministres de l'Éducation de ce monde comprennent ce qu'est une école.
Les dates de sortie sont sujettes à changement.
mercredi 5 septembre 2012
Une nouvelle ère ternie par la folie
Pauline Marois, Première ministre du Québec |
Cette belle soirée électorale a été ternie par une tentative d'attentat alors qu'un forcené a dirigé des coups de feu en direction du Métropolis, lieu de rassemblent des membres du PQ. Bien évidemment, c'est la chef Pauline Marois qui était visée. Une personne est morte et une autre est blessée. Un feu a même allumé, mais il a été rapidement maîtrisé par le service d'incendie de la ville de Montréal.
L'hurluberlu a été plaqué au sol par les policiers puis amené au quartier général de la police de Montréal. Cet homme de 62 ans, inconnu des milieux policiers, a déclaré: «Les Anglais s'en viennent, les Anglais s'en viennent, it's gonna be a fucking payback.»
L'étroitesse d'esprit de cet intellectuel laisse présager des jours difficiles pour ce nouveau gouvernement qui n'aura pas les coudés franches pour imposer totalement sa vision de la gouvernance du Québec. Pauline Marois sera constamment épiée, ses gestes seront scrutés à la loupe. Bref, on fera vivre un mauvais quart d'heure à la première femme première ministre du Québec. C'est donc dire que ce sera un incroyable défi que de convaincre le Québec, de plus en plus anglicisé, de faire l'indépendance.
Pour nous tous, ça ne change rien. C'est le train train quotidien. La région de l'Outaouais a encore voté aveuglément par des cochons rouges. Dans mon comté, c'est Charlotte L'Écuyer qui s'est assurée d'un autre mandat. Elle a avoué la semaine dernière ne pas avoir fait grand chose pour son comté durant son dernier mandat. «Les décisions viennent d'en haut, pas de moi.» C'est dire comment elle ne sert à rien. J'ai décidé de faire confiance à Geneviève Gendron-Nadeau, fille de l'ancien député bloquiste Richard Nadeau. Cette jeune femme de 25 ans aurait incarné le changement. Sauf que les vieux anglais aiment mieux demeurer dans leur cour, de peur que si le Québec se sépare, il se retrouve en Tanzanie.
Mon ami Jean-Sébastien Roy, fidèle fefan libéral, a perdu encore ses élections.
mardi 4 septembre 2012
4 septembre 2012 - Jour du vote
Qui de Jean Charest, Pauline Marois ou François Legault sera élu à la tête de la province ce soir? Les sondages favorisent madame Marois, mais c'est si serré qu'un autre candidat pourrait s'envoler avec la victoire. Si Pauline Marois l'emporte, elle deviendra la première femme première ministre du Canada depuis la création du Canada en 1867! Ce gain la ferait entrer dans l'Histoire à jamais.
Voici un petit aperçu des candidats
Jean Charest (PLQ) Né en 1958.
Premier ministre du Québec depuis 2003. Il tentera d'aller chercher un quatrième mandat. Son parti est au centre de nombreuses allégations de corruption dans le milieu de la corruption et de favoritisme dans plusieurs secteurs, dont les garderies. Néanmoins, il entend mettre l'accent sur son projet Plan Nord s'il est réélu.
Pauline Marois (PQ) Née en 1949.
Ancienne ministre de l'Éducation, madame Marois avait quitté la vie politique lorsqu'on lui a favorisé André Boisclair à la suite du départ de Bernard Landry. Elle prône grandement l'indépendance du Québec, mais dans des conditions gagnantes. Les Anglophones et les immigrants peuvent être craintifs face à un éventuel référendum.
François Legault (CAQ) Né en 1957.
Ancien ministre du PQ, il quitte la vie politique en 2009. Chez lui, il met en place son désir de créer un nouveau parti politique afin de gouverner la province. Son nouveau parti fusionne avec l'ADQ à l'automne 2011. FFrançois Legault est un ancien homme d'affaires reconnu, il a fondé la compagnie d'aviation Air Transat en 1986, à seulement 29 ans.
Françoise David (QS) Née en 1948.
Bien qu'elle ne soit pas à l'Assemblée Nationale, elle est la chef de son parti. C'est plutôt son bras droit Amir Khadir qui représente le parti à Québec. Elle milite depuis longtemps pour la condition féminine et pour la souveraineté. Elle vise à obtenir une première victoire politique.
Jean- Martin Aussant (UN)
Aussant est un autre ancien député péquiste qui a claqué la porte en 2011. Il partage encore bien des idées de son ancien parti, dont la souveraineté. Il risque fort de représenter son parti à l'Assemblée Nationale, mais peu de ses amis le suivront.
Peu importe votre allégeance, allez voter!C'est un devoir de citoyen que des peuples n'ont dans le monde ne peuvent espérer.
Voici un petit aperçu des candidats
Jean Charest |
Premier ministre du Québec depuis 2003. Il tentera d'aller chercher un quatrième mandat. Son parti est au centre de nombreuses allégations de corruption dans le milieu de la corruption et de favoritisme dans plusieurs secteurs, dont les garderies. Néanmoins, il entend mettre l'accent sur son projet Plan Nord s'il est réélu.
Pauline Marois |
Ancienne ministre de l'Éducation, madame Marois avait quitté la vie politique lorsqu'on lui a favorisé André Boisclair à la suite du départ de Bernard Landry. Elle prône grandement l'indépendance du Québec, mais dans des conditions gagnantes. Les Anglophones et les immigrants peuvent être craintifs face à un éventuel référendum.
François Legault |
Ancien ministre du PQ, il quitte la vie politique en 2009. Chez lui, il met en place son désir de créer un nouveau parti politique afin de gouverner la province. Son nouveau parti fusionne avec l'ADQ à l'automne 2011. FFrançois Legault est un ancien homme d'affaires reconnu, il a fondé la compagnie d'aviation Air Transat en 1986, à seulement 29 ans.
Françoise David |
Bien qu'elle ne soit pas à l'Assemblée Nationale, elle est la chef de son parti. C'est plutôt son bras droit Amir Khadir qui représente le parti à Québec. Elle milite depuis longtemps pour la condition féminine et pour la souveraineté. Elle vise à obtenir une première victoire politique.
Jean-Martin Aussant |
Aussant est un autre ancien député péquiste qui a claqué la porte en 2011. Il partage encore bien des idées de son ancien parti, dont la souveraineté. Il risque fort de représenter son parti à l'Assemblée Nationale, mais peu de ses amis le suivront.
Peu importe votre allégeance, allez voter!C'est un devoir de citoyen que des peuples n'ont dans le monde ne peuvent espérer.
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