C'est ce soir que l'Impact dispute le match retour de la grande finale de la CONCACAF qui l'oppose au Club América de Mexico. La semaine dernière, l'Impact a soutiré un verdict nul de 1-1 à Mexico, mais a perdu les services de son gardien de but Evan Bush, suspendu.
Au soccer, ce n'est pas comme dans les autres sports. Au hockey, au baseball ou au basket, les finales sont des 2 de 3, 3 de 5 ou de 4 de 7 (selon les calibres) et au football, la finale est une grande célébration, donc un seul match.
Dans le cas du ballon rond, la finale est de deux rencontres. Il faut bien sûr avoir plus de victoires que l'autre équipe. Cependant, en cas d'égalité, une prolongation peut ne pas être nécessaire. En effet, car les buts marqués à l'étranger ont une plus grande valeur. Par exemple dans leur demi-finale le opposant au club du Costa Rica, l'Impact remporté une victoire de 2-0 au Stade Olympique, mais avait perdu 4-2 au Costa Rica. Le total de buts de chaque côté était 4, mais le Costa Rica n'avait pas marqué à Montréal. Donc, c'est l'Impact qui obtenu son accès à la finale.
C'est donc dire qu'une nulle de 0-0 ou une victoire feraient l'affaire. Si la marque finale est de 1-1, il y aurait prolongation. Advenant le cas d'un match 2-2 ou plus, l'Impact perdrait. Pas besoin de vous dire qu'une défaite aussi sonnerait le glas de la propriété de Joey Saputo.
Le match de ce soir est présenté à 20 heures.
mercredi 29 avril 2015
mercredi 22 avril 2015
EN FINIR AVEC LES SÉNATEURS
Les Sénateurs ont prouvé qu'ils peuvent remonter une pente abrupte. Ils y croient, ou du moins, semblent y croire devant les journalistes. Loin derrière avec 14 points de recul en février, ils ont fait les séries à la toute dernière journée du calendrier. Maintenant, face aux Canadiens, ils sont derrière 0-3. Leurs chances sont très minces, voire nulles.
Ils ont plusieurs énigmes à solutionner, la plus importante, celle qui s'appelle Carey Price. Comment cette équipe peut prétendre battre quatre fois consécutives le meilleur gardien de la LNH? Je veux bien croire que Price a des bêtes noires en saison, mais en séries éliminatoires, c'est une autre paire de manches.
Les Sénateurs donneront probablement tout dès le début du match, mais si le CH prend les commandes tôt en première période, ça pourrait être le chant du cygne pour l'équipe cendrillon d'Ottawa.
Bien hâte de voir le match!
Ils ont plusieurs énigmes à solutionner, la plus importante, celle qui s'appelle Carey Price. Comment cette équipe peut prétendre battre quatre fois consécutives le meilleur gardien de la LNH? Je veux bien croire que Price a des bêtes noires en saison, mais en séries éliminatoires, c'est une autre paire de manches.
Les Sénateurs donneront probablement tout dès le début du match, mais si le CH prend les commandes tôt en première période, ça pourrait être le chant du cygne pour l'équipe cendrillon d'Ottawa.
Bien hâte de voir le match!
BATMAN V SUPERMAN: DAWN OF JUSTICE
Maintenant que le tournage de la première réunion cinématographique de Batman et de Superman est pratiquement terminé, on ne peut plus espérer un retour en arrière de la production pour qu'elle remplace Ben Affleck par Christian Bale. D'ailleurs la première bande annonce officielle a été mise en ligne la semaine dernière. Définitivement d'allure sombre, on peut y voir pour la première fois Ben Affleck dans son double rôle.
Le résultat est intéressant, il a la gueule de l'emploi et son parcours récent au cinéma font qu'il pouvait définitivement prétendre à l'un des rôles les plus convoités du cinéma. On dit d'ailleurs que «son» Batman sera plus aigri que celui de Christian Bale. En somme, il sera complètement au bout du rouleau. Quel autre homme normal ne le serait pas à force de combattre le crime nuit après nuit?
Quant à Superman, Henry Cavill a toujours le physique de l'emploi, mais sa deuxième présence dans le rôle devrait confirmer s'il est vraiment l'homme de la situation dans ce rôle où la malchance semble s'acharner.
D'ailleurs, cette suite de Man of Steel (paru en 2013) doit absolument être une réussite sans quoi on pourra dire adieu à une éventuelle série Justice League of America qui doit paraître en 2017 et qui doit faire concurrence à la lucrative machine de Marvel qui comprend les Avengers, Iron Man, Hulk, Captain America, Thor et quelques autres.
Batman v Superman: Dawn of Justice doit paraître en mars 2016.
Le résultat est intéressant, il a la gueule de l'emploi et son parcours récent au cinéma font qu'il pouvait définitivement prétendre à l'un des rôles les plus convoités du cinéma. On dit d'ailleurs que «son» Batman sera plus aigri que celui de Christian Bale. En somme, il sera complètement au bout du rouleau. Quel autre homme normal ne le serait pas à force de combattre le crime nuit après nuit?
Quant à Superman, Henry Cavill a toujours le physique de l'emploi, mais sa deuxième présence dans le rôle devrait confirmer s'il est vraiment l'homme de la situation dans ce rôle où la malchance semble s'acharner.
D'ailleurs, cette suite de Man of Steel (paru en 2013) doit absolument être une réussite sans quoi on pourra dire adieu à une éventuelle série Justice League of America qui doit paraître en 2017 et qui doit faire concurrence à la lucrative machine de Marvel qui comprend les Avengers, Iron Man, Hulk, Captain America, Thor et quelques autres.
Batman v Superman: Dawn of Justice doit paraître en mars 2016.
lundi 20 avril 2015
STAR WARS: NOUVELLE BANDE ANNONCE
Elle était attendue cette seconde bande annonce de Star Wars. Lors d'un congrès Star Wars qui se tenait en Californie, l'équipe de production de la prochaine saga maintenant produite par Walt Disney a présenté une bande annonce avec des scènes d'action époustouflantes, une narration par Luke Skywalker, de nouveaux personnages qui promettent de devenir «cultes» et bien sûr, à la toute fin, la présence de Harrison Ford dans le rôle Han Solo et de son fidèle complice Chewbacca, le Wookiee.
Les fans de partout dans le monde se sont remis à saliver une nouvelle fois dans cette attente qui ne finit plus finir. Parce qu'en vérité, la plupart d'entre nous avons encore du mal à digérer le travail fait par George Lucas dans sa plus récente trilogie. Avec son caractère trop enfantin et ses effets trop gros pour être vrais, nous étions à des lieux de la première trilogie, de sa simplicité, de ses personnages uniques et j'ose le dire, de sa vraisemblance. Non pas que je tente de dire que la science-fiction est crédible, mais au moins, les effets spéciaux avaient l'air vrais et les personnages n'allaient pas au-delà de leurs capacités.
Le nouveau réalisateur, J.J. Abrams, celui qui a une feuille de route d'une pureté éloquente, a la lourde mission de raviver la flamme chez les fans. On peut déjà dire qu'à la lumière des premières bandes annonces que nous avons eues la chance de voir, il remplit son mandat avec brio, car on sent le vrai esprit Star Wars.
Sortie prévue le 18 décembre 2015.
Les fans de partout dans le monde se sont remis à saliver une nouvelle fois dans cette attente qui ne finit plus finir. Parce qu'en vérité, la plupart d'entre nous avons encore du mal à digérer le travail fait par George Lucas dans sa plus récente trilogie. Avec son caractère trop enfantin et ses effets trop gros pour être vrais, nous étions à des lieux de la première trilogie, de sa simplicité, de ses personnages uniques et j'ose le dire, de sa vraisemblance. Non pas que je tente de dire que la science-fiction est crédible, mais au moins, les effets spéciaux avaient l'air vrais et les personnages n'allaient pas au-delà de leurs capacités.
Le nouveau réalisateur, J.J. Abrams, celui qui a une feuille de route d'une pureté éloquente, a la lourde mission de raviver la flamme chez les fans. On peut déjà dire qu'à la lumière des premières bandes annonces que nous avons eues la chance de voir, il remplit son mandat avec brio, car on sent le vrai esprit Star Wars.
Sortie prévue le 18 décembre 2015.
samedi 18 avril 2015
Et la Coupe Stanley ira à...
Ma prédiction pour la Coupe Stanley: les Rangers de New York.
Bonnes séries!
Bonnes séries!
THE FAST AND THE FURIOUS: ENTRE VOITURES, ACTION, EXAGÉRATION ET MYTHE
La série Fast and Furious (Rapides et Dangereux en version française) divertit les amateurs de films d'action et autres passionnés de voiture depuis 2001. Cette année-là, les carrières de Vin Diesel et Paul Walker propulsées à un autre niveau avec le succès retentissant du premier film de la franchise. Depuis six autres ont été produits et on a tenté à maintes reprises d'exploiter le filon des productions alliant voitures, acteurs suaves, femmes fortes et exagération assumée.
Aujourd'hui, là où se distingue la franchise, c'est l'inévitable mythe engendré par le décès d'un des acteurs durant le tournage. Tout comme James Dean, Heath Ledger ou Philip Seymour Hoffman, Paul Walker est entré dans la légende suite à sa mort survenue le 30 novembre 2013 à Los Angeles. Le film n'était pas complété et il a fallu user des meilleurs trucs du métier pour faire en sorte que Walker ait une sortie digne de ce nom.
L'aventure de Fast and Furious a par contre été ponctuée de hauts et de bas concernant la participation des acteurs. Si on a voulu miser sur le succès du premier film, on a malheureusement pas pu retenir les services de Vin Diesel pour la suite parue en 2003. Paul Walker a relevé le défi d'un rôle de premier plan avec des résultats satisfaisants aux box-office, mais la vraie tête d'affiche, outre les voitures, c'est Vin Diesel.
Paul Walker s'est désisté du tournage du troisième film qui se passait à Tokyo au Japon. Tous les personnages sont complètement nouveaux, sauf un... le retour de Vin Diesel, à la toute fin. Sa présence confirmait ni plus, ni moins que son retour pour un quatrième film. D'ailleurs, c'est à partir du quatrième film qu'on a revu l'équipe de départ: Vin Diesel, Paul Walker, Michelle Rodriguez, Jordana Brewster. Peu à peu, se sont joints Tyrese Gibson, co-vedette dans le 2e film, et Sun Kang, présent dans le 3e film. En plus, on a eu l'audace d'amener le musculeux symbole de l'invincibilité, le seul bon lutteur devenu acteur, Dwayne Johnson (The Rock). Depuis le 5e film, il est un personnage récurrent.
Il est vrai que l'intrigue de la série ne se démarquera jamais dans aucune cérémonie des Oscar, mais elle est assez solide pour plaire à un public très large.
Reste à savoir l'aventure se poursuivra encore longtemps.
Aujourd'hui, là où se distingue la franchise, c'est l'inévitable mythe engendré par le décès d'un des acteurs durant le tournage. Tout comme James Dean, Heath Ledger ou Philip Seymour Hoffman, Paul Walker est entré dans la légende suite à sa mort survenue le 30 novembre 2013 à Los Angeles. Le film n'était pas complété et il a fallu user des meilleurs trucs du métier pour faire en sorte que Walker ait une sortie digne de ce nom.
L'aventure de Fast and Furious a par contre été ponctuée de hauts et de bas concernant la participation des acteurs. Si on a voulu miser sur le succès du premier film, on a malheureusement pas pu retenir les services de Vin Diesel pour la suite parue en 2003. Paul Walker a relevé le défi d'un rôle de premier plan avec des résultats satisfaisants aux box-office, mais la vraie tête d'affiche, outre les voitures, c'est Vin Diesel.
Paul Walker s'est désisté du tournage du troisième film qui se passait à Tokyo au Japon. Tous les personnages sont complètement nouveaux, sauf un... le retour de Vin Diesel, à la toute fin. Sa présence confirmait ni plus, ni moins que son retour pour un quatrième film. D'ailleurs, c'est à partir du quatrième film qu'on a revu l'équipe de départ: Vin Diesel, Paul Walker, Michelle Rodriguez, Jordana Brewster. Peu à peu, se sont joints Tyrese Gibson, co-vedette dans le 2e film, et Sun Kang, présent dans le 3e film. En plus, on a eu l'audace d'amener le musculeux symbole de l'invincibilité, le seul bon lutteur devenu acteur, Dwayne Johnson (The Rock). Depuis le 5e film, il est un personnage récurrent.
Il est vrai que l'intrigue de la série ne se démarquera jamais dans aucune cérémonie des Oscar, mais elle est assez solide pour plaire à un public très large.
Reste à savoir l'aventure se poursuivra encore longtemps.
dimanche 12 avril 2015
C'EST LONNNNNNNNNNGGGGGGGGGGGGGG LA VOIX
Bienvenue à la Voix, le show qui devrait durer 15 minutes, mais qui n'en finit plus de finir et qui en dure plus de 130.
- On invite une panoplie d'artistes internationaux pour voler la vedette aux candidats
- On excite les candidats au talent sommaire avec des rencontres et des surprises
- On fait pleurer les candidats pour faire plaisir aux matantes
- L'homme le plus vu à TVA, Charles Lafortune, nous jette par terre dans son rôle d'amimateur
- On plogue à outrance les commanditaires
- On plogue à outrance les invités
- On plogue à ontrance leur album, leurs dates de spectacle tellement qu'on imagine les téléspectateurs en train de s'arracher leurs billets de spectacle
Moi, ce que je veux savoir, est-ce qu'il est gai ou pas Pierre Lapointe? Qui est son styliste? Est-ce qu'Isabelle Boulay est une vraie rousse? Est-ce que Marc Dupré est là juste parce que son beau-père avait son mot à dire? Est-ce qu'Éric Lapointe peut chanter Passe-Partout?
Et finalement, c'est Kéveeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeen qui a gâgné, le frére de Bobbè Bazinet!
Combien de films durent plus de 130 minutes et sont de meilleure qualité que la Waaaaaa?
Bonne nuit!
CANADIENS VS SÉNATEURS: PRISE 2
Finalement, ce seront les Sénateurs qui s'amèneront à Montréal dès mercredi prochain pour la première ronde des séries. L'équipe d'Ottawa qui a effacé un recul de 14 points au classement pour se qualifier pour les séries de justesse grâce à une fin de saison du tonnerre aura la tâche de disposer des Canadiens de Montréal, champions de la Division Atlantique.
Forts de leurs 110 points, les Montréalais ont connu leur meilleure saison depuis 1988-89. Nonobstant les victoires obtenues en fusillade, les hommes de Michel Therrien ont quand même signé une première saison de 50 victoires depuis cette saison 1988-89. À l'époque, Pat Burns avait amené son équipe à la finale contre les Flames de Calgary.
Est-ce qu'on peut s'attendre à un autre parcours de rêve? On aurait tendance à croire que les Sénateurs avec le vent dans les voiles et avec une fiche de 3 victoires et 1 défaite contre le Canadien cette année auront la tâche facile. Oui, il est vrai que les Sénateurs ont rarement perdu dernièrement. Le gardien Andrew Hammond, rappelé parce que les gardiens Craig Anderson et Robin Lehner étaient blessés, n'a perdu qu'une seule fois en temps régulier en 23 rencontres, ce qui le rend pratiquement invincible. C'est vrai, mais le miracle ne peut quand même pas se produire encore et encore.
Les Sénateurs roulent à un train d'enfer depuis deux mois. Ils ont cumulé une fiche de 23 victoires, 4 défaites en temps régulier et 4 autres défaites en prolongation ou fusillade. C'est bien beau, ils n'ont jamais regardé en arrière, mais ils ne peuvent pas continuer sur une telle séquence encore et encore.
Les Canadiens, incompréhensiblement, jouent comme des pieds de céleri face aux Sénateurs. Mis à part Max Pacioretty qui a récolté 4 buts et 2 passes en 4 rencontres face aux hommes de Dave Cameron, c'est constamment triste et pénible. Pourquoi? Ils prennent sans doute trop les Sénateurs à la légère et ne sont pas capables de jouer 60 minutes. Ils manquent trop de chances et le gardien ne fait pas les arrêts-clé. Vrai que Dustin Tokarski a gardé deux matchs à Ottawa, mais vrai aussi que Price n'a rien cassé lors du dernier match à Montréal. On se souviendra que ce soir-là, le Canadien avait rapidement pris les devant 2-0 avant de regarder le train passer le reste de la rencontre pour perdre lamentablement 5-2.
Les Canadiens sont pas mal assurés d'une place en séries depuis que les Sénateurs ont entrepris leur remontée. Ils n'ont jamais mis la pédale à fond pour conserver leur énergie pour l'instant fatidique. Maintenant, il est le temps de hausser le jeu d'un cran pour sortir les Sénateurs de leur beau rêve.
Les Canadiens n'ont pas le choix de gagner cette série.
Rappelons qu'en 2013, les Sénateurs avaient surpris les Canadiens, pourtant largement favoris, en 5 petites rencontres.
Il est minuit pour Cendrillon.
Forts de leurs 110 points, les Montréalais ont connu leur meilleure saison depuis 1988-89. Nonobstant les victoires obtenues en fusillade, les hommes de Michel Therrien ont quand même signé une première saison de 50 victoires depuis cette saison 1988-89. À l'époque, Pat Burns avait amené son équipe à la finale contre les Flames de Calgary.
Est-ce qu'on peut s'attendre à un autre parcours de rêve? On aurait tendance à croire que les Sénateurs avec le vent dans les voiles et avec une fiche de 3 victoires et 1 défaite contre le Canadien cette année auront la tâche facile. Oui, il est vrai que les Sénateurs ont rarement perdu dernièrement. Le gardien Andrew Hammond, rappelé parce que les gardiens Craig Anderson et Robin Lehner étaient blessés, n'a perdu qu'une seule fois en temps régulier en 23 rencontres, ce qui le rend pratiquement invincible. C'est vrai, mais le miracle ne peut quand même pas se produire encore et encore.
Les Sénateurs roulent à un train d'enfer depuis deux mois. Ils ont cumulé une fiche de 23 victoires, 4 défaites en temps régulier et 4 autres défaites en prolongation ou fusillade. C'est bien beau, ils n'ont jamais regardé en arrière, mais ils ne peuvent pas continuer sur une telle séquence encore et encore.
Les Canadiens, incompréhensiblement, jouent comme des pieds de céleri face aux Sénateurs. Mis à part Max Pacioretty qui a récolté 4 buts et 2 passes en 4 rencontres face aux hommes de Dave Cameron, c'est constamment triste et pénible. Pourquoi? Ils prennent sans doute trop les Sénateurs à la légère et ne sont pas capables de jouer 60 minutes. Ils manquent trop de chances et le gardien ne fait pas les arrêts-clé. Vrai que Dustin Tokarski a gardé deux matchs à Ottawa, mais vrai aussi que Price n'a rien cassé lors du dernier match à Montréal. On se souviendra que ce soir-là, le Canadien avait rapidement pris les devant 2-0 avant de regarder le train passer le reste de la rencontre pour perdre lamentablement 5-2.
Les Canadiens sont pas mal assurés d'une place en séries depuis que les Sénateurs ont entrepris leur remontée. Ils n'ont jamais mis la pédale à fond pour conserver leur énergie pour l'instant fatidique. Maintenant, il est le temps de hausser le jeu d'un cran pour sortir les Sénateurs de leur beau rêve.
Les Canadiens n'ont pas le choix de gagner cette série.
Rappelons qu'en 2013, les Sénateurs avaient surpris les Canadiens, pourtant largement favoris, en 5 petites rencontres.
Il est minuit pour Cendrillon.
jeudi 9 avril 2015
MA DIFFICILE RELATION AVEC LA GRÈVE
J'ai une relation difficile avec la grève pour d'innombrables raisons. Souvent, les grévistes agissent en sauvages causant des torts irréparables envers leurs supérieurs ou en faisant du grabuge et du vandalisme sur la propriété d'autrui. Je me dis toujours qu'une fois la grève terminée, tous ces gens devront retourner travailler au même endroit. De plus, avant même ces grèves, ces gens travaillaient ensemble avec joie. Pourquoi tout briser?
Dans mon cas, en tant qu'enseignant, notre convention collective est venue à échéance le 31 mars dernier. Le gouvernement nous offre une augmentation de seulement 3% sur 5 ans, très loin de nos demandes de 13,5% sur 3 ans. Surtout, on nous dit qu'il faut absolument faire notre part, que les autres la font. Certains secteurs font leur part, certes, mais d'autres comme les médecins obtiennent de généreuses augmentations. Le milieu de l'éducation n'est pas traité avec soin et respect, considérant que l'avenir de la société se fait sur les bancs d'école.
Chez nous en Outaouais, 91% des membres du corps professoral a voté en faveur d'une grève de trois jours, probablement à partir de septembre. Trois jours où nous offrirons notre salaire au gouvernement, ce qui lui permettra d'économiser plusieurs millions de dollars. Voilà pourquoi la grève actuelle et toutes les autres au monde m'embêtent. Je n'ai pas une cenne de plus à concéder à mon gouvernement, je lui en donne déjà assez. De plus, je suis persuadé que l'augmentation qu'on finira pour nous donner correspondra à notre salaire perdu... mais ça se fera sur une période de 5 ans, donc des pinottes sur notre paye.
On nous demande aussi de porter un macaron indiquant: «Mes patrons me méprisent.» Premièrement, le message s'adresse à qui? À la direction de mon établissement? À la direction de ma commission scolaire? Au gouvernement? Si c'est le gouvernement, alors svp, indiquez que c'est le gouvernement qui nous méprise, pas nos patrons d'établissement. Je comprends pourquoi la Commission scolaire au Coeur des Vallées en Outaouais a menacé ceux qui portaient ce macaron de sanction. Pour ma part, je l'ai fait disparaître. Pour les raisons indiquées dans le premier paragraphe. Pas question que j'insulte quelqu'un que j'apprécie, surtout que mon bon ami et collègue est maintenant directeur-adjoint et aussi, qu'un autre de mes bons amis est directeur dans une école primaire. Il n'y a pas une once de mépris chez eux.
Le vrai mépris, c'est celui affiché par le gouvernement, avec des gens comme Yves Bolduc, quittant comme un lâche incompétent ses fonctions tout en acceptant son énorme prime, dans un contexte d'austérité. C'est aussi l'arrogant président du Conseil du trésor, Martin Coiteux, qui méprise lui aussi la population en les prenant pour des ignares incultes qui ne comprennent pas grand chose aux finances. Au-dessus de ses affaires, avec ses airs supérieurs, il est à la solde des riches, malgré qu'il puisse dire le contraire. Finalement, c'est le Premier ministre qui laisse tout cela aller avant de mettre fin aux folies de ses ministres. Depuis qu'il est sur le marché du travail, sait-il véritablement ce que c'est la classe moyenne?
Quoi qu'il en soit, la grève aura lieu un jour ou l'autre. Mais j'ai l'impression que le spectre d'une loi spéciale nous pend au bout de nez inévitablement parce que le gouvernement a son plan dans la tête et aussi parce que nos négociateurs se mettent à plat ventre à la table des négociations.
mercredi 8 avril 2015
Impressionnants les Sénateurs
On les croyait encore morts. Eh bien non! Après avoir vu les Penguins prendre une avance de 3-0 en première période, les Sénateurs ont remonté la pente pour finalement venir à bout de la troupe de Sidney Crosby en prolongation.
En ce moment, les Sénateurs sont toujours au 9e rang, avec le même nombre de points que les Bruins, mais ces derniers ont un match de plus à jouer. Les Penguins possèdent un point d'avance et les Red Wings deux points.
Peut-on croire que les Sénateurs vont réussir l'impossible? Ils terminent la saison à New York contre les Rangers jeudi et samedi à Philadelphie. Si les Flyers sont nettement à la portée des Sénateurs, ce n'est pas la même histoire pour les puissants Rangers, assurée du Trophée du Président, remis à la meilleure équipe de la saison régulière. J'estime que les Sénateurs sont en mesure de ramasser deux points, mais ils doivent absolument en avoir 4!
Le calendrier des Bruins n'est pas du tout repos non plus. Ils seront à Washington ce soir face à des Capitals très hot! Ils affronteront les Panthers jeudi soir en Floride et seront à Tampa Bay samedi. Mis à part la rencontre face à la troupe de Jaromir Jagr, les chances ne sont pas en faveur des Bruins. Mais cette équipe vient de gagner cinq victoires consécutives.
Chez les Penguins, ça va de mal en pis. Ils sont sur une pente descendante et chanceux que le saison ne dure pas 84 rencontres. Ils seront à domicile vendre contre les Islanders et à Buffalo samedi contre les pauvres Sabres qui voudront peut-être saluer avec honneur leur valeureux partisans qui trouvent ça très dur depuis deux ans.
Il ne faut pas oublier que les Sénateurs ne peuvent terminer à égalité avec une autre formation, car ils n'ont pas assez de victoires en temps régulier ou en prolongation. Dans cette fin excitante au possible, les Sénateurs doivent avaler de travers les deux points perdus à Toronto le 28 mars et le 5 avril.
En ce moment, les Sénateurs sont toujours au 9e rang, avec le même nombre de points que les Bruins, mais ces derniers ont un match de plus à jouer. Les Penguins possèdent un point d'avance et les Red Wings deux points.
Peut-on croire que les Sénateurs vont réussir l'impossible? Ils terminent la saison à New York contre les Rangers jeudi et samedi à Philadelphie. Si les Flyers sont nettement à la portée des Sénateurs, ce n'est pas la même histoire pour les puissants Rangers, assurée du Trophée du Président, remis à la meilleure équipe de la saison régulière. J'estime que les Sénateurs sont en mesure de ramasser deux points, mais ils doivent absolument en avoir 4!
Le calendrier des Bruins n'est pas du tout repos non plus. Ils seront à Washington ce soir face à des Capitals très hot! Ils affronteront les Panthers jeudi soir en Floride et seront à Tampa Bay samedi. Mis à part la rencontre face à la troupe de Jaromir Jagr, les chances ne sont pas en faveur des Bruins. Mais cette équipe vient de gagner cinq victoires consécutives.
Chez les Penguins, ça va de mal en pis. Ils sont sur une pente descendante et chanceux que le saison ne dure pas 84 rencontres. Ils seront à domicile vendre contre les Islanders et à Buffalo samedi contre les pauvres Sabres qui voudront peut-être saluer avec honneur leur valeureux partisans qui trouvent ça très dur depuis deux ans.
Il ne faut pas oublier que les Sénateurs ne peuvent terminer à égalité avec une autre formation, car ils n'ont pas assez de victoires en temps régulier ou en prolongation. Dans cette fin excitante au possible, les Sénateurs doivent avaler de travers les deux points perdus à Toronto le 28 mars et le 5 avril.
lundi 6 avril 2015
Prédictions 2015 - Baseball majeur
La saison dans le baseball majeur débutait hier soir à Chicago alors que les Cubs de leur nouveau gérant Joe Maddon accueillaient les Cardinals de St. Louis, grands favoris dans la division centrale de la Nationale. Depuis 2010, les Cards sont le seul véritable obstacle aux Giants de San Francisco, gagnants à trois reprises de la série mondiale. C'est l'équipe à battre. Une autre formation peut prétendre au titre?
LIGUE NATIONALE
DIVISION EST
Les Braves d'Atlanta ont dominé pendant plus de 20 ans la section est. Cependant, leur temps est révolu et c'est vraisemblablement celui des Nationals de Washington, eux qui entament leur 10e saison. Dotés d'une rotation de partants redoutables qui compte Max Scherzer, Stephen Strasburg, Doug Fister, Gio Gonzalez et Jordan Zimmerman, nos anciens Expos devraient terminer au premier rang par plusieurs matchs. On s'attend par contre à une remontée des Mets de New York, surtout grâce au retour de leur as Matt Harvey, tellement que plusieurs croient qu'ils pourraient cumuler une meilleure fiche que leurs richissimes voisins du Bronx, les Yankees. Les Braves devraient terminer sous la barre de .500, tout comme les vieillissants Phillies et les Marlins de Grand Galop et Petit Trot. 1-Washington 2-New York 3-Atlanta 4-Philadelphie 5-Miami
DIVISION CENTRALE
La division centrale était sans doute la plus puissante de la Nationale jusqu'à la saison dernière. Quatre équipes pouvaient se disputer le championnat jusqu'à la toute dernière minute. Maintenant, avec la débandade mémorable des Brewers en 2014 et les signes de ralentissement évidents des Reds, il ne reste plus que les Cardinals et les Pirates qui peuvent prétendre au titre, mais encore là, les Pirates n'ont pas les ressources des Cardinals, eux qui collectionnent les présences en séries depuis des années. Leur solide personnel de lanceurs, bien dirigés par le receveur Yadier Molina et leur gérant, l'ex-receveur Mike Matheny, est certainement le meilleur de la division. Du côté des Pirates, la perte de Russell Martin aura un impact certain, mais pas assez fort pour les faire dégringoler dans le classement. Les Cubs de Joe Maddon devraient vraisemblablement sortir des bas fonds, à la condition que Maddon s'ajuste rapidement au style de la Nationale. Mais même s'il a fait des miracles avec les Rays, peut-il répéter à Chicago? Comme mentionné plus haut, les Reds sont en perte de vitesse et les Brewers se sont-ils remis de leur chute de septembre 2014? 1-St. Louis 2-Pittsburgh 3-Chicago 4-Cincinnati 5-Milwaukee
DIVISION OUEST
Dans l'ouest, le duel entre les Giants et les Dodgers durent depuis des décennies. Les Dodgers n'ont pas gagné de série mondiale depuis 1988 et les Giants les collectionnent depuis 2010. Pour tenter de les devancer, les Dodgers ont dépensé de gros dollars en 2014. Bien qu'ils aient remporté le championnat de la section ouest, les Dodgers ont été liquidés (encore une fois) par les Cards en séries. S'ils ont peut-être trouvé le moyen de battre les Cards et les Giants en saison régulière, il leur faudra le trouver en dehors de la saison. Pas de doute, ils termineront en tête de leur division, mais après coup, comment ils s'effondreront? De leur côté, menés par Madison Bumgarner et Buster Posey, les Giants remporteront leur part de matchs, mais contrairement aux séries, Bumgarner ne peut revenir lancer aux deux jours. Il faudra que Matt Cain revienne en force et que Tim Lincecum redevienne ce qu'il a déjà été. L'autre formation californienne, les Padres, a décidé d'investir pour faire leur place au soleil. L'acquisition de James «Big Game» Shields, partant habitué aux présences en séries, leur permettra de chauffer leurs rivaux. Pour le reste, les Rockies et les Diamondbacks batailleront pour les places 4 et 5. 1-Los Angeles 2-San Francisco 3-San Diego 4-Colorado 5-Arizona
LIGUE AMÉRICAINE
DIVISION EST
Les Jays ont réalisé un grand coup au cours de l'hiver en mettant la main sur les services du Québécois Russell Martin. Une acquisition importante car le receveur est réputé pour diriger les lanceurs de main de maître. De plus, il a participé aux séries 7 fois en 9 saisons. Mais est-ce que c'est assez? Les Jays ont-ils amélioré leur personnel de lanceurs de façon significative? Pas tout à fait. On préfère compter sur des nombrils verts comme Daniel Norris, Drew Hutchison et Aaron Sanchez. Les vétérans R.A. Dickey et Mark Buerhle peuvent-ils bien les supporter? J'ai de la misère à y croire. Plusieurs disent que les Red Sox se sont améliorés suffisamment pour reprendre la tête dans l'est. Leur personnel de lanceurs est-il vraiment supérieur cette année? Si on parle seulement de lanceurs, je préfère de loin ceux des Orioles ou des Rays. J'ai beau essayer de choisir une équipe en particulier, je n'en vois pas qui se démarquent à tous les niveaux. Mais l'expérience des Red Sox pourraient les amener à remporter le titre, mais je ne peux pas croire que les Orioles verront leur fiche baisser tant que cela. Trop de bons lanceurs. Les Jays dans tout cela? Hummm... J'oubliais, que feront les Yankees? On oublie ça! 1-Boston 2-Baltimore 3-Toronto 4-Tampa Bay 5-New York
DIVISION CENTRALE
Les Royals de Kansas City ont mis fin à 29 ans d'échec en se rendant jusqu'au 7e match de la grande finale l'an dernier. Dans cette fin dramatique où ils auront rencontré le dieu des lanceurs, les Royals auront prouvé que le baseball peut encore se gagner en jouant agressivement, en volant des buts et en provoquant des erreurs chez l'adversaire. De plus, leur trio de releveurs de fin de match (Herrera, Davis et Holland) a terrorisé les frappeurs, garantissant pratiquement des victoires dès que l'équipe prenait les devants après six manches. Ils ont aussi prouvé que l'argent n'achète pas tout. Seront-ils en mesure de répéter? Ce sera difficile, on attend toujours les Tigers au sommet de la division, même avec la perte de Max Scherzer. On le sait, les hommes de Brad Ausmus sont redoutables en attaque. On s'attend aussi à ce que les Indians et les White Sox luttent plus férocement pour le championnat. Si je crois aux Indians, je ne vois pas comment les White Sox peuvent se frayer un chemin à travers trop de puissantes formations. Bien entendu, les Twins sont en reconstruction et leur chemin de croix se poursuivra encore longtemps. 1-Detroit 2-Cleveland 3-Kansas City 4-Chicago 5-Minnesota
DIVISION OUEST
Le Moneyball II de Billy Beane semble être réellement chose du passé. Il est maintenant le temps pour les Mariners de Seattle de reconquérir le titre, grâce au partant Félix Hernandez et au releveur # 1 Fernando Rodney. Les Angels seront leurs plus proches poursuivants et il sera très intéressant de suivre cette course parce que l'une de ces deux équipes pourrait très bien se frayer un chemin jusqu'à la grande finale. Il ne faut pas s'attendre à ce que les Athletics fassent encore des miracles cette année, même si on ne sait jamais avec eux. Les deux grands rivaux du Texas, les Rangers et les Astros, rivaliseront pour ne pas terminer derniers, ce qui ne sera pas un cadeau. Toutefois, les Astros devraient amorcer une remontée après quelques années misérables. 1-Seattle 2-Los Angeles Angeles 3-Oakland 4-Texas 5-Houston
Quelques notes
Les Cubs et la ville de Chicago ont investi 500 millions de dollars pour rénover le Wrigley Field. Toutefois, les estrades populaires ne seront pas terminées avant mai.
Alex Rodriguez tentera de se faire pardonner avec son retour chez les Yankees.
Le match des étoiles aura lieu à Cincinnati.
En juillet, nous serons à Philadelphie, Baltimore et Washington.
LIGUE NATIONALE
DIVISION EST
Max Scherzer |
DIVISION CENTRALE
Yadier Molina |
DIVISION OUEST
Madison Bumgarner |
LIGUE AMÉRICAINE
DIVISION EST
Russell Martin |
DIVISION CENTRALE
Lorenzo Cain |
DIVISION OUEST
Felix Hernandez |
Quelques notes
Les Cubs et la ville de Chicago ont investi 500 millions de dollars pour rénover le Wrigley Field. Toutefois, les estrades populaires ne seront pas terminées avant mai.
Alex Rodriguez tentera de se faire pardonner avec son retour chez les Yankees.
Le match des étoiles aura lieu à Cincinnati.
En juillet, nous serons à Philadelphie, Baltimore et Washington.
dimanche 5 avril 2015
La fête au Stade olympique
Russell Martin à sa première présence au bâton |
les Jays aux Mets. Les organisateurs espéraient accueillir au moins 25 000 personnes...
Cette année, les Jays en ont remis. Non seulement ils revenaient compléter leur camp d'entraînement, mais ils avaient maintenant dans leur arsenal le Québécois Russell Martin. Une occasion rêvée pour le receveur de jouer à l'endroit où il avait grandi, mais aussi pour plusieurs milliers de spectateurs, des parents et leurs enfants de pouvoir partager leur amour de ce sport trop de fois éclipsé par le hockey.
Pour ma part, j'y étais encore une fois, mais cette année, c'est ma blonde qui m'accompagnait. Pour la première fois de sa vie, elle mettait le pied dans le fameux stade, souvent reconnu pour son inutilité et sa vétusté. En ce qui a trait aux autres membres de notre quatuor de l'ultime voyage de baseball, Wes et la Recrue avaient choisi de demeurer auprès des leurs, mais Chef, absent lors du voyage printanier de 2014, a réussi à trouver à la dernière minute un billet. Il a donc fait le voyage, en solitaire.
Le maire Coderre discute avec John McHale Jr. VP MLB |
Comme le Chef est reconnu partout où il passe, il a serré la pince et a fait un selfie avec le maire de Montréal, le shérif Denis Coderre. Un Chef et un shérif, rien de moins.
Le match du vendredi a été perdu par les Jays par la marque de 2-0. Les deux points ont été produits par Skip Schumacher (aucun lien avec Michael). En gros, ce fut un match de lanceurs. Le héros de la soirée, visiblement envahi par les émotions, n'a pas été en mesure de générer quoi que ce soit en attaque, mais personne ne s'en est plaint. De plus, la rencontre n'a duré que 2h09, ce qui nous a permis de retourner assez tôt à notre chambre d'hôtel,
Avant la rencontre, on a rendu hommage à deux grands joueurs des Expos de la dernière heure, l'arrêt-court Orlando Cabrera et le grand Vladimir Guerrero. Ils ont reçu une belle ovation, mais j'aurais aimé que l'organisation mette le paquet. Pourquoi ne pas retirer leur chandail? Ça dérangerait qui? Les Nationals? Le baseball majeur? Impossible que personne n'ait pensé à cela. Toutefois, on a eu la chance de les saluer une dernière fois... avant la prochaine.
Le match de samedi, auquel nous n'avons pas assisté, a été remporté par les Jays 9 à 1. 50 000 spectateurs ont fait la fête au stade,
Compte tenu de ce succès, il est évident qu'il y aura une suite l'année prochaine, même si rien n'est confirmé de la part des organisateurs. Ce qui est certain par contre, c'est que nous y serons.
Quelques notes
- Avant le match, nous avons mangé au Lorbeer, situé au 381 rue Laurier à Montréal. Brandon Prust et sa conjointe sont coactionnaires de ce pub. Hautement recommandé.
- Nous logions au Loft Hôtel, dans le quartier des spectacles. Grande chambre. Petit déjeuner inclus.
- Arrêt à Baseball Town à St-Hubert. Beaucoup de stock de baseball, mais moins des équipes des majeures.
- T-shirt du Match des étoiles de 1982 trouvé chez Winners.
Inscription à :
Articles (Atom)