Je souhaite une joyeuse fête d'Halloween à tous mes lecteurs! Passez avec vos enfants ou donnez généreusement aux petits monstres de votre quartier. Cette fête est inoubliable pour les enfants et lorsque nous sommes adultes, nous avons tendance à l'oublier.
Plaisir!
vendredi 31 octobre 2014
jeudi 30 octobre 2014
MADISON BUMGARNER, LE ROI DES LANCEURS
Pour une troisième fois en cinq saisons, les Giants de San Francisco sont les maîtres du monde. Hier soir, dans un septième match enlevant jusqu'à la fin, ils ont disposé des surprenants Royals de Kansas City par la marque de 3-2. Appelé en relève à Tim Hudson et Jeremy Affeldt, le grand gaucher de 25 ans s'est encore amusé à ridiculiser les frappeurs.
Est-il un extraterrestre ? Un surhomme? Non, mais comment fait-il pour être aussi dominant? Depuis 2010, il a maintenu une microscopique moyenne de points mérités en séries mondiales de 0,25. Y'a pas personne qui a une telle statistique depuis que le baseball existe. Il est incroyable, sûr de lui, il lance des flocons de neige, aucun lancer ne ressemble à l'autre. Pour les Royals, Bumgarner est un mystère encore plus complet, car leur force réside dans la qualité de ses frappeurs gauchers. Une partie de plaisir pour Bumgarner.
Pourtant, la domination de Bumgarner aurait pu connaître un autre destin. Après deux retraits en neuvième, Alex Gordon a frappé un simple qui s'est transformé en triple suite au cafouillage des voltigeurs des Giants. N'eut été d'une lenteur assumée, Gordon aurait croisé le marbre sur cette claque. C'est Salvatore Perez, le receveur amoché des Royals, qui a constitué le dernier retrait.
Le champagne pouvait couler à flot!
Si les Giants sont des habitués des séries, on ne peut dire la même des Royals qui en étaient à leur première présence depuis 1985. Cette jeune équipe reviendra-t-elle dans un avenir rapproché dans le grande danse automnale? Pas certain! Si l'attaque, la vitesse et la relève constituent des points forts, ils devront améliorer leur rotation de partants. Ils sont en voiture avec James Shields et le jeune Ventura, mais la balance n'est pas nécessairement top niveau.
C'est un peu la même chose chez les Giants. Madison Bumgarner a excellé, mais quand est-il des autres? Jake Peavy a passé un mauvais quart d'heure et Tim Hudson a quand même 39 ans. Tim Lincecum n'est plus l'ombre de lui-même et Matt Cain est sur la liste des blessés de façon permanente. Cette incertitude se voit quand même calmée par l'excellence de Buster Posey derrière le marbre.
C'est ce qui m'amène à dire: the name of the game is pitching and also catching!
Est-il un extraterrestre ? Un surhomme? Non, mais comment fait-il pour être aussi dominant? Depuis 2010, il a maintenu une microscopique moyenne de points mérités en séries mondiales de 0,25. Y'a pas personne qui a une telle statistique depuis que le baseball existe. Il est incroyable, sûr de lui, il lance des flocons de neige, aucun lancer ne ressemble à l'autre. Pour les Royals, Bumgarner est un mystère encore plus complet, car leur force réside dans la qualité de ses frappeurs gauchers. Une partie de plaisir pour Bumgarner.
Pourtant, la domination de Bumgarner aurait pu connaître un autre destin. Après deux retraits en neuvième, Alex Gordon a frappé un simple qui s'est transformé en triple suite au cafouillage des voltigeurs des Giants. N'eut été d'une lenteur assumée, Gordon aurait croisé le marbre sur cette claque. C'est Salvatore Perez, le receveur amoché des Royals, qui a constitué le dernier retrait.
Le champagne pouvait couler à flot!
Si les Giants sont des habitués des séries, on ne peut dire la même des Royals qui en étaient à leur première présence depuis 1985. Cette jeune équipe reviendra-t-elle dans un avenir rapproché dans le grande danse automnale? Pas certain! Si l'attaque, la vitesse et la relève constituent des points forts, ils devront améliorer leur rotation de partants. Ils sont en voiture avec James Shields et le jeune Ventura, mais la balance n'est pas nécessairement top niveau.
C'est un peu la même chose chez les Giants. Madison Bumgarner a excellé, mais quand est-il des autres? Jake Peavy a passé un mauvais quart d'heure et Tim Hudson a quand même 39 ans. Tim Lincecum n'est plus l'ombre de lui-même et Matt Cain est sur la liste des blessés de façon permanente. Cette incertitude se voit quand même calmée par l'excellence de Buster Posey derrière le marbre.
C'est ce qui m'amène à dire: the name of the game is pitching and also catching!
lundi 20 octobre 2014
Bonne amélioration de TVA Sports
TVA Sports était en meilleure forme samedi dernier. Félix Séguin, toujours à l'aise, a bénéficié d'un meilleur appui de la part de Patrick Lalime. Pour ce qui est du quatuor Jean/Bergeron/Brisebois/Houde, ça volait un tout petit peu plus haut, surtout grâce à un Brisebois plus posé dans ses commentaires et qui bafouillait beaucoup moins.
Comme dirait un ami oeuvrant dans l'univers médiatique montréalais: «Il faut leur donner leur chance, ce n'est que leur 3E MATCH.»
Bonne chance!
Comme dirait un ami oeuvrant dans l'univers médiatique montréalais: «Il faut leur donner leur chance, ce n'est que leur 3E MATCH.»
Bonne chance!
X-MEN - DAYS OF FUTURE PAST ET SES PROBLÈMES DE LECTURE EN FORMAT BLU-RAY
Mardi dernier, le 14 octobre, c'était la sortie DVD/Blu-ray de l'excellent X-Men - Days of Future Past, second volet de la nouvelle trilogie des films X-Men. Ayant dans le collimateur le film, je me suis empressé de me le procurer. Cependant, ma joie fut de très, très, très courte durée.
Je glisse le disque dans mon lecteur blu-ray, un modèle LG datant de 2009. Bien qu'il reconnaisse le format, l'appareil éjecte le disque. Je tente l'expérience sur mon second lecteur, acheté en 2011. Encore là, il éjecte le disque. Merde! Que faire? J'essaie dans le lecteur Samsung de mon beau-père, probablement daté de 2009 ou 2010 et le résultat est le même: X-Men ne veut rien savoir.
Je retourne le film au magasin et je l'échange, probablement parce qu'il est défectueux. Ça fait quand même trois lecteurs qui refusent de le jouer. Cependant, l'employé du magasin Best Buy me conseille de faire mes mises à jour sur mes lecteurs. Je n'ai jamais eu besoin de faire cela, aucun film n'a jamais fait le difficile.
Donc, je fais les mises à jour et j'essaie de nouveau, mais le résultat est le même: ça ne fonctionne pas pantoute! Je retourne au magasin pour me faire rembourser, me disant que c'est inconcevable qu'un disque ne fonctionne pas, même après des mises à jour. Est-ce que le film aurait été conçu spécialement pour des lecteurs récents, forçant la main aux gens à les changer? Hummm...
Je me renseigne auprès de quelques marchands et d'un ami qui a lui aussi une collection impressionnante. Pour sa part, il n'a jamais eu à faire de mises à jour et ça ne lui est jamais arrivé qu'un film lui fasse défaut. Toutefois, il me lance que la marque Sony est certainement la meilleure sur le marché, bien que tout soit fait en Chine. Quoi qu'il en soit, le problème demeure entier.
Je me rends chez Videotron. Avec un film loué, ça me coûtera moins cher si je me bute encore une fois à la situation que je vis depuis la veille. Le marchand m'explique que le film a bien fonctionné sur sa console... Play Station 3! Merde, je n'ai pas cela, je n'ai pas 200$ à débourser pour une console de jeux dont je ne me servirais que pour regarder des films.
Bref, retour à la maison, même résultat. Le constant est rendu clair: le problème, ce sont les lecteurs désuets, mais qui sont tout de même en bon état.
Je mijote alors une myriade d'idées dans ma tête.
a) Je laisse tomber en attendant qu'un de mes lecteurs brise
b) Je m'achète le film en combo dvd/blu-ray/3d pour au moins visionner le film en dvd
c) Je m'achète un nouveau lecteur LG plus récent
d) Je m'achète un nouveau lecteur Sony, 3D, Wi-Fi.
Réponse: D
Je n'avais que du LG depuis un bout de temps, sauf que le lecteur 3D de LG était 30$ de plus que celui de Sony. Avec les taxes, mon nouveau lecteur blu-ray m'a coûté 139$ et il est vraiment plus petit que son nouvel ami. C'est certes une dépense pour un seul film, que je n'ai finalement pas encore acheté, mais je m'assure d'être à la fine pointe de la technologie pour ceux qui s'en viennent. Et c'est mon frère qui bénéficiera d'un premier lecteur blu-ray à vie!!!
Pour ce qui est de l'achat du film en tant que tel, je crois que je vais attendre quelques semaines encore. Les films Marvel qui ne sont pas distribués par Disney ont l'agréable manie de baisser de prix après quelque temps sur les tablettes. La preuve, Amazing Spider-Man 2, disponible depuis le 19 août dernier, a baissé à 9,99$ (pour un boîtier métallique) en fin de semaine dernière. Les copies étaient rares, mais le prix était incontournable. En juin dernier, pour 5,99$, le film Wolverine était disponible en cadeau spécial pour la fête des pères, et ce en combo DVD/Blu-ray/3D. Je parie que ça va se produire avec le dernier X-Men.
Pendant ce temps, les Iron Man, Thor ou Avengers de ce monde ne sont pas achetables!
Je glisse le disque dans mon lecteur blu-ray, un modèle LG datant de 2009. Bien qu'il reconnaisse le format, l'appareil éjecte le disque. Je tente l'expérience sur mon second lecteur, acheté en 2011. Encore là, il éjecte le disque. Merde! Que faire? J'essaie dans le lecteur Samsung de mon beau-père, probablement daté de 2009 ou 2010 et le résultat est le même: X-Men ne veut rien savoir.
Je retourne le film au magasin et je l'échange, probablement parce qu'il est défectueux. Ça fait quand même trois lecteurs qui refusent de le jouer. Cependant, l'employé du magasin Best Buy me conseille de faire mes mises à jour sur mes lecteurs. Je n'ai jamais eu besoin de faire cela, aucun film n'a jamais fait le difficile.
Donc, je fais les mises à jour et j'essaie de nouveau, mais le résultat est le même: ça ne fonctionne pas pantoute! Je retourne au magasin pour me faire rembourser, me disant que c'est inconcevable qu'un disque ne fonctionne pas, même après des mises à jour. Est-ce que le film aurait été conçu spécialement pour des lecteurs récents, forçant la main aux gens à les changer? Hummm...
Je me renseigne auprès de quelques marchands et d'un ami qui a lui aussi une collection impressionnante. Pour sa part, il n'a jamais eu à faire de mises à jour et ça ne lui est jamais arrivé qu'un film lui fasse défaut. Toutefois, il me lance que la marque Sony est certainement la meilleure sur le marché, bien que tout soit fait en Chine. Quoi qu'il en soit, le problème demeure entier.
Je me rends chez Videotron. Avec un film loué, ça me coûtera moins cher si je me bute encore une fois à la situation que je vis depuis la veille. Le marchand m'explique que le film a bien fonctionné sur sa console... Play Station 3! Merde, je n'ai pas cela, je n'ai pas 200$ à débourser pour une console de jeux dont je ne me servirais que pour regarder des films.
Bref, retour à la maison, même résultat. Le constant est rendu clair: le problème, ce sont les lecteurs désuets, mais qui sont tout de même en bon état.
Je mijote alors une myriade d'idées dans ma tête.
a) Je laisse tomber en attendant qu'un de mes lecteurs brise
b) Je m'achète le film en combo dvd/blu-ray/3d pour au moins visionner le film en dvd
c) Je m'achète un nouveau lecteur LG plus récent
d) Je m'achète un nouveau lecteur Sony, 3D, Wi-Fi.
Réponse: D
Je n'avais que du LG depuis un bout de temps, sauf que le lecteur 3D de LG était 30$ de plus que celui de Sony. Avec les taxes, mon nouveau lecteur blu-ray m'a coûté 139$ et il est vraiment plus petit que son nouvel ami. C'est certes une dépense pour un seul film, que je n'ai finalement pas encore acheté, mais je m'assure d'être à la fine pointe de la technologie pour ceux qui s'en viennent. Et c'est mon frère qui bénéficiera d'un premier lecteur blu-ray à vie!!!
Pour ce qui est de l'achat du film en tant que tel, je crois que je vais attendre quelques semaines encore. Les films Marvel qui ne sont pas distribués par Disney ont l'agréable manie de baisser de prix après quelque temps sur les tablettes. La preuve, Amazing Spider-Man 2, disponible depuis le 19 août dernier, a baissé à 9,99$ (pour un boîtier métallique) en fin de semaine dernière. Les copies étaient rares, mais le prix était incontournable. En juin dernier, pour 5,99$, le film Wolverine était disponible en cadeau spécial pour la fête des pères, et ce en combo DVD/Blu-ray/3D. Je parie que ça va se produire avec le dernier X-Men.
Pendant ce temps, les Iron Man, Thor ou Avengers de ce monde ne sont pas achetables!
mercredi 15 octobre 2014
Une petite volée, ça replace les idées
Les Canadiens en ont mangé toute un lundi soir à Tampa Bay. La bande à Steven Stamkos a lessivé celle de Carey Price par le pointage sans appel de 7-1. La vedette du Lightning y est allé de trois buts, ses premiers de la saison. Il s'agit là d'une belle vengeance pour la troupe de Jon Cooper qui avait été sortie en quatre rencontres par le CH lors des dernières séries.
Pour les hommes de Michel Therrien, c'est un bon rappel à l'ordre. Bien que la saison a commencé avec trois victoires, rien n'a été parfait lors de ces rencontres. Des débuts de match atroces, une défensive parfois laborieuse et un gardien de but (Price) pas tout à fait au top encore, malgré ce que diront ses fans finis. Le pire dans tout cela, c'est l'avantage numérique qui n'a absolument - je dis bien absolument - rien généré, 0 en 14. Qui plus est, leur désavantage numérique fait aussi pitié avec un pourcentage de 77,8. En bas de 80%, c'est le désastre.
Néanmoins, ce n'est qu'une question d'ajustements selon moi. L'équipe a trois victoires en quatre matchs, à l'étranger par surcroît. Plus tard, on oubliera la façon dont elles ont été remportées, on se souviendra seulement du pointage.
Jeudi soir, ce sera un autre match revanche, alors que les Bruins de Boston, qui ont un mauvais début de saison, seront à Montréal pour l'ouverture officielle de la saison au Centre Bell.
Au fait, un rumeur veut que dans les couloirs de TVA, on sifflote en disant que le Canadien est invaincu lors qu'il se produit au réseau de PKP tandis que RDS a subi une fois la défaite.
On prend ce qu'on peut.
Pour les hommes de Michel Therrien, c'est un bon rappel à l'ordre. Bien que la saison a commencé avec trois victoires, rien n'a été parfait lors de ces rencontres. Des débuts de match atroces, une défensive parfois laborieuse et un gardien de but (Price) pas tout à fait au top encore, malgré ce que diront ses fans finis. Le pire dans tout cela, c'est l'avantage numérique qui n'a absolument - je dis bien absolument - rien généré, 0 en 14. Qui plus est, leur désavantage numérique fait aussi pitié avec un pourcentage de 77,8. En bas de 80%, c'est le désastre.
Néanmoins, ce n'est qu'une question d'ajustements selon moi. L'équipe a trois victoires en quatre matchs, à l'étranger par surcroît. Plus tard, on oubliera la façon dont elles ont été remportées, on se souviendra seulement du pointage.
Jeudi soir, ce sera un autre match revanche, alors que les Bruins de Boston, qui ont un mauvais début de saison, seront à Montréal pour l'ouverture officielle de la saison au Centre Bell.
Au fait, un rumeur veut que dans les couloirs de TVA, on sifflote en disant que le Canadien est invaincu lors qu'il se produit au réseau de PKP tandis que RDS a subi une fois la défaite.
On prend ce qu'on peut.
vendredi 10 octobre 2014
Le hockey des Canadiens à TVA Sports: assez ordinaire
L'empire Québécor a fait son entrée dans le monde des Canadiens de Montréal en diffusant en grande pompe le premier match de la saison de la Flanelle. Cette «nouvelle expérience hockey», comme ils le disent, mettait en vedette quasiment autant d'animateurs/journalistes que de joueurs sur la glace. Et au final, ils n'ont pas trop impressionné les auditeurs.
À la description, on retrouve Félix Séguin. Jeune transfuge de RDS, déjà expérimenté, car il a décrit beaucoup de matchs de la LNH pendant son séjour au Réseau des Sports. Il voulait quelque chose de meilleur et il l'a trouvée à TVA Sports en ayant ce poste, pratiquement autant qu'il le veut. Séguin est solide, décrit bien le jeu, excitant à souhait. Cependant, il se répète souvent, «AVEZ-VOUS HÂTE?» Ou il tente de nous faire avaler que ce premier match est «historique». Des matchs de la LNH à TVA Sports, il y en a déjà eu. L'histoire ne s'arrête pas qu'aux Canadiens. N'ayez crainte toutefois, Félix Séguin est un pro et il a appris à la bonne école, celle de Pierre Houde. Il sera meilleur de matchs en matchs.
À ses côtés, on retrouve l'ancien de la NHL, Patrick Lalime. Beaucoup moins articulé que Marc Denis de RDS, il ne réussit pas pour le moment à décrire l'envers de tous les jeux. Cela aurait pour effet pour mieux expliquer les jeux pour les fans. Lui aussi, il devrait beaucoup s'améliorer avec le temps. Mais de grâce svp, un peu plus de vocabulaire ne ferait pas de tort.
Entre les deux bancs, un autre transfuge de RDS, Renaud Lavoie, analyse les détails qui peuvent passer inaperçu. Lavoie est expérimenté, mais comme on le sait, il avait tendance à se faire voler quelques scoops en étant le fameux «informateur» à RDS. Malgré tout, je crois qu'il est à sa place et il détonne vraiment aux côtés de joueurnalistes aux expressions moches.
En studio, quatre hommes étaient présents. À l'animation, Louis Jean, flanqué de Michel Bergeron, Patrice Brisebois et Paul Houde. C'est sans doute à cet endroit que les hauts le coeur se sont le plus fait entendre. Si Louis Jean est un journaliste professionnel, il s'est fait allègrement descendre MONSIEUR Michel Bergeron, celui qui surfe sur la popularité de son nom depuis trop d'années, mais qui fait tellement pitié dans ses commentaires dépassés. Celui qui était derrière le banc des Nordiques lors de leur pire saison à vie lance à peu près n'importe quoi, s'improvise Don Cherry. Cet homme est dépassé par les événements, je me répète dans son cas. Quant à Patrice Brisebois, il a vraiment quitté le Canadien pour crier à la télévision? Pour bafouiller 2 mots sur 3? En ce qui a trait à Paul Houde, sa seule présence est pour faire une sorte de concurrence à son frère. Toutefois, il est inutile. Un peu plus et on croyait qu'il joue son rôle de Fernand dans les Boys.
Plus tard, après le match, Dave Morissette est l'hôte de son émission Morissette en direct, avec deux autres joueurnalistes, José Théodore et Enrico Ciccone. Encore une fois, ce n'est pas facile pour cette bande. Mauvaise posture devant la caméra, vocabulaire de première année, commentaires à la limite de l'insignifiance. C'est à se demander comment Dave Morissette fait pour gagner des trophées Artis. Comme l'a si bien dit le journaliste professionnel Richard Labbé: «Le journaliste est un métier, pas un hobby.»
L'équipe a beaucoup de temps pour s'améliorer, mais j'espère sincèrement qu'ils ne s'assoiront pas sur leurs lauriers et qu'ils vont améliorer les aspects négatifs parce que les gens se feront un plaisir de regarder Sportsnet.
À la description, on retrouve Félix Séguin. Jeune transfuge de RDS, déjà expérimenté, car il a décrit beaucoup de matchs de la LNH pendant son séjour au Réseau des Sports. Il voulait quelque chose de meilleur et il l'a trouvée à TVA Sports en ayant ce poste, pratiquement autant qu'il le veut. Séguin est solide, décrit bien le jeu, excitant à souhait. Cependant, il se répète souvent, «AVEZ-VOUS HÂTE?» Ou il tente de nous faire avaler que ce premier match est «historique». Des matchs de la LNH à TVA Sports, il y en a déjà eu. L'histoire ne s'arrête pas qu'aux Canadiens. N'ayez crainte toutefois, Félix Séguin est un pro et il a appris à la bonne école, celle de Pierre Houde. Il sera meilleur de matchs en matchs.
À ses côtés, on retrouve l'ancien de la NHL, Patrick Lalime. Beaucoup moins articulé que Marc Denis de RDS, il ne réussit pas pour le moment à décrire l'envers de tous les jeux. Cela aurait pour effet pour mieux expliquer les jeux pour les fans. Lui aussi, il devrait beaucoup s'améliorer avec le temps. Mais de grâce svp, un peu plus de vocabulaire ne ferait pas de tort.
Entre les deux bancs, un autre transfuge de RDS, Renaud Lavoie, analyse les détails qui peuvent passer inaperçu. Lavoie est expérimenté, mais comme on le sait, il avait tendance à se faire voler quelques scoops en étant le fameux «informateur» à RDS. Malgré tout, je crois qu'il est à sa place et il détonne vraiment aux côtés de joueurnalistes aux expressions moches.
En studio, quatre hommes étaient présents. À l'animation, Louis Jean, flanqué de Michel Bergeron, Patrice Brisebois et Paul Houde. C'est sans doute à cet endroit que les hauts le coeur se sont le plus fait entendre. Si Louis Jean est un journaliste professionnel, il s'est fait allègrement descendre MONSIEUR Michel Bergeron, celui qui surfe sur la popularité de son nom depuis trop d'années, mais qui fait tellement pitié dans ses commentaires dépassés. Celui qui était derrière le banc des Nordiques lors de leur pire saison à vie lance à peu près n'importe quoi, s'improvise Don Cherry. Cet homme est dépassé par les événements, je me répète dans son cas. Quant à Patrice Brisebois, il a vraiment quitté le Canadien pour crier à la télévision? Pour bafouiller 2 mots sur 3? En ce qui a trait à Paul Houde, sa seule présence est pour faire une sorte de concurrence à son frère. Toutefois, il est inutile. Un peu plus et on croyait qu'il joue son rôle de Fernand dans les Boys.
Plus tard, après le match, Dave Morissette est l'hôte de son émission Morissette en direct, avec deux autres joueurnalistes, José Théodore et Enrico Ciccone. Encore une fois, ce n'est pas facile pour cette bande. Mauvaise posture devant la caméra, vocabulaire de première année, commentaires à la limite de l'insignifiance. C'est à se demander comment Dave Morissette fait pour gagner des trophées Artis. Comme l'a si bien dit le journaliste professionnel Richard Labbé: «Le journaliste est un métier, pas un hobby.»
L'équipe a beaucoup de temps pour s'améliorer, mais j'espère sincèrement qu'ils ne s'assoiront pas sur leurs lauriers et qu'ils vont améliorer les aspects négatifs parce que les gens se feront un plaisir de regarder Sportsnet.
mercredi 8 octobre 2014
ÇA COMMENCE CE SOIR!
Les Canadiens de Montréal, plus vieille franchise de la LNH, amorce une nouvelle saison ce soir à Toronto. Après avoir atteint la demi-finale le printemps dernier, la direction a apporté quelques changements afin d'améliorer l'équipe, mais aussi lui amener un nouveau leadership.
C'est pourquoi les vétérans Daniel Brière, Brian Gionta, Josh Gorges, Peter Budaj et Francis Bouillon ont quitté sous d'autres cieux. Pour pallier leur perte, Marc Bergevin a mis la main sur l'attaquant québécois Pierre-Alexandre Parenteau, le centre Manny Malhotra, le défenseur Tom Gilbert et la recrue tchèque Jiri Sekac. De plus, on a décidé de faire confiance aux jeunes défenseurs Nathan Beaulieu et Jarred Tinordi ainsi qu'au gardien de but Dustin Tokarski, lui qui a fait écarquiller bien des yeux contre les Rangers.
Ce changement de garde peut-il nuire à l'équipe? Pas vraiment sur la glace, car on veut miser un peu plus sur la jeunesse, sans modifier le noyau principal. Gionta et Brière sont en fin de carrière et devaient être remplacés un jour ou l'autre. Quant à Gorges, le poids de son salaire pesait lourd dans la masse salariale, surtout pour ce qu'il pouvait accomplir. Pour ce qui est de Bouillon, à 39 ans, malgré ton son coeur et sa forme physique, il ne pouvait plus cadrer dans les plans.
Un autre joueur dont les jours sont compté à Montréal est Travis Moen. Le vétéran en sera à sa sixième année avec l'équipe, mais son apport offensif est fortement limité et le style qu'il préconise font de lui un joueur plus sujet aux blessures. De toute façon, avec la qualité des attaquants de la formation, sa place sur n'importe quel des trios est douteuse.
Les chances sont-elles bonnes pour que les hommes de Michel Therrien connaissent une saison supérieure à la dernière? Il faudrait donc avoir une saison d'au moins 101 points. Est-ce possible? Peut-être bien. Mais dites-vous une chose, le Canadien n'est certainement pas pire que l'an dernier, mais il n'est pas vraiment meilleur. Cependant, l'éclosion de joueurs comme Brendan Gallagher et Alex Galchenyuk pourrait se faire dès cette année et les choses pourraient être vraiment intéressantes.
Une saison de 82 rencontres, c'est long. Bien des choses peuvent arriver et depuis que Marc Bergevin et Michel Therrien sont à la barre de l'équipe, tout s'en va dans la bonne direction. Pas de raison que ça ne tourne pas rond cette année.
C'est pourquoi les vétérans Daniel Brière, Brian Gionta, Josh Gorges, Peter Budaj et Francis Bouillon ont quitté sous d'autres cieux. Pour pallier leur perte, Marc Bergevin a mis la main sur l'attaquant québécois Pierre-Alexandre Parenteau, le centre Manny Malhotra, le défenseur Tom Gilbert et la recrue tchèque Jiri Sekac. De plus, on a décidé de faire confiance aux jeunes défenseurs Nathan Beaulieu et Jarred Tinordi ainsi qu'au gardien de but Dustin Tokarski, lui qui a fait écarquiller bien des yeux contre les Rangers.
Ce changement de garde peut-il nuire à l'équipe? Pas vraiment sur la glace, car on veut miser un peu plus sur la jeunesse, sans modifier le noyau principal. Gionta et Brière sont en fin de carrière et devaient être remplacés un jour ou l'autre. Quant à Gorges, le poids de son salaire pesait lourd dans la masse salariale, surtout pour ce qu'il pouvait accomplir. Pour ce qui est de Bouillon, à 39 ans, malgré ton son coeur et sa forme physique, il ne pouvait plus cadrer dans les plans.
Un autre joueur dont les jours sont compté à Montréal est Travis Moen. Le vétéran en sera à sa sixième année avec l'équipe, mais son apport offensif est fortement limité et le style qu'il préconise font de lui un joueur plus sujet aux blessures. De toute façon, avec la qualité des attaquants de la formation, sa place sur n'importe quel des trios est douteuse.
Les chances sont-elles bonnes pour que les hommes de Michel Therrien connaissent une saison supérieure à la dernière? Il faudrait donc avoir une saison d'au moins 101 points. Est-ce possible? Peut-être bien. Mais dites-vous une chose, le Canadien n'est certainement pas pire que l'an dernier, mais il n'est pas vraiment meilleur. Cependant, l'éclosion de joueurs comme Brendan Gallagher et Alex Galchenyuk pourrait se faire dès cette année et les choses pourraient être vraiment intéressantes.
Une saison de 82 rencontres, c'est long. Bien des choses peuvent arriver et depuis que Marc Bergevin et Michel Therrien sont à la barre de l'équipe, tout s'en va dans la bonne direction. Pas de raison que ça ne tourne pas rond cette année.
lundi 6 octobre 2014
GONE GIRL
En janvier dernier, je recevais ma revue Entertainment Weekly avec cette page couverture, que certains ont prétendu controversée, où l'on voit le personnage de Ben Affleck enlacé celui de sa femme morte, joué par Rosamund Pike. Tout de suite, j'étais captivé. En plus, le réalisateur est un maître du 7e art, soit David Fincher, reconnu pour ses efforts de premier plan comme Seven, Fight Club ou le Réseau Social, entre autres. Avec Gone Girl, il ne réinvente pas le suspense, mais le résultat révèle une parfait maîtrise de son métier.
Nick Dunne et Amy Elliot sont mariés depuis cinq ans, tout semble parfait en apparence, mais en réalité, le couple s'en va peu à peu à la dérive jusqu'au jour où, la journée de leur anniversaire de mariage, Amy disparaît, sans laisser de traces. La femme au foyer qu'elle est n'a pas l'habitude de quitter sans crier gare. Qui plus est, quelques pièces de la maison laissent croire qu'une altercation a eu lieu et que la femme s'est débattue. Où est-elle? Morte? Ou tout simplement partie?
Dans ce film, Ben Affleck semble finalement s'être débarrassé pour de bon de cette étiquette d'acteur à la belle gueule aux performances limitées. Il aligne maintenant les succès et il disparaît complètement sous les traits de son personnage. Cependant, la révélation s'avère être Rosamund Pike qui, après des rôles plus ou moins mémorables dans diverses productions, amène une dimension nouvelle à sa carrière, jouant avec la douceur, le génie et la folie. Ce film pourrait lui ouvrir de nouveaux horizons. Avec eux se joint un casting plutôt inusité, particulièrement avec la présence de Neil Patrick Harris, très loin maintenant du Docteur Doogie.
Afin que le suspense soit si efficace, il faut lever notre chapeau au réalisateur David Fincher qui encore une fois sait tirer les ficelles au bon moment. Il mélange habilement le suspense et l'humour noir pour que le spectateur passe par toute la gamme des émotions, dirigeant de main de maître ses acteurs du début, jusqu'à cette fin punchée qui nous fait réfléchir encore et encore, des heures et des jours après être sorti du cinéma. Qui plus est, la satire des médias de masse et des émissions de style CNN est très évocatrice.
Il est certes tôt pour parler de statuettes dorées, mais nous n'avons pas fini d'en entendre parler.
Source de l'image: Entertainment Weekly
Nick Dunne et Amy Elliot sont mariés depuis cinq ans, tout semble parfait en apparence, mais en réalité, le couple s'en va peu à peu à la dérive jusqu'au jour où, la journée de leur anniversaire de mariage, Amy disparaît, sans laisser de traces. La femme au foyer qu'elle est n'a pas l'habitude de quitter sans crier gare. Qui plus est, quelques pièces de la maison laissent croire qu'une altercation a eu lieu et que la femme s'est débattue. Où est-elle? Morte? Ou tout simplement partie?
Dans ce film, Ben Affleck semble finalement s'être débarrassé pour de bon de cette étiquette d'acteur à la belle gueule aux performances limitées. Il aligne maintenant les succès et il disparaît complètement sous les traits de son personnage. Cependant, la révélation s'avère être Rosamund Pike qui, après des rôles plus ou moins mémorables dans diverses productions, amène une dimension nouvelle à sa carrière, jouant avec la douceur, le génie et la folie. Ce film pourrait lui ouvrir de nouveaux horizons. Avec eux se joint un casting plutôt inusité, particulièrement avec la présence de Neil Patrick Harris, très loin maintenant du Docteur Doogie.
Afin que le suspense soit si efficace, il faut lever notre chapeau au réalisateur David Fincher qui encore une fois sait tirer les ficelles au bon moment. Il mélange habilement le suspense et l'humour noir pour que le spectateur passe par toute la gamme des émotions, dirigeant de main de maître ses acteurs du début, jusqu'à cette fin punchée qui nous fait réfléchir encore et encore, des heures et des jours après être sorti du cinéma. Qui plus est, la satire des médias de masse et des émissions de style CNN est très évocatrice.
Il est certes tôt pour parler de statuettes dorées, mais nous n'avons pas fini d'en entendre parler.
Source de l'image: Entertainment Weekly
dimanche 5 octobre 2014
PETER BUDAJ PREND LA ROUTE DE WINNIPEG
Lorsque Dustin Tokarski a été choisi pour remplacer Carey Price au lieu de Peter Budaj lors des dernières séries, on savait que les jours du Slovaque étaient comptés. S'il pouvait être un excellent numéro 2 lorsqu'il était appelé à garder les buts de temps à autre, il était impossible pour lui de tenir le fort à long terme. La direction l'avait compris et elle cherchait à trouver une solution rapidement pour accommoder tout le monde.
Il est vrai que Dustin Tokarski n'a que 15 parties d'expérience dans la LNH (incluant les cinq contre les Rangers en séries 2014), mais il a suffisamment démontré de qualités pour être un remplaçant adéquat à Carey Price. Qui plus est, si une blessure survient à la prima donna, on sait d'ores et déjà que le gardien originaire de la Saskatchewan peut faire le travail à long terme.
Peter Budaj ne quitte pas vers le Manitoba seul, il est accompagné de Patrick Holland, un ailier droit vu pendant seulement cinq rencontres l'an dernier. En retour, le Canadien reçoit l'attaquant Eric Tangradi. Malgré son expérience de 136 rencontres en carrière dans la LNH, il prendra la route de Hamilton.
La saison commence mercredi.
Plus de détails à venir.
Il est vrai que Dustin Tokarski n'a que 15 parties d'expérience dans la LNH (incluant les cinq contre les Rangers en séries 2014), mais il a suffisamment démontré de qualités pour être un remplaçant adéquat à Carey Price. Qui plus est, si une blessure survient à la prima donna, on sait d'ores et déjà que le gardien originaire de la Saskatchewan peut faire le travail à long terme.
Peter Budaj ne quitte pas vers le Manitoba seul, il est accompagné de Patrick Holland, un ailier droit vu pendant seulement cinq rencontres l'an dernier. En retour, le Canadien reçoit l'attaquant Eric Tangradi. Malgré son expérience de 136 rencontres en carrière dans la LNH, il prendra la route de Hamilton.
La saison commence mercredi.
Plus de détails à venir.
jeudi 2 octobre 2014
BASEBALL: Les vraies affaires commencent ce soir
On connaît maintenant le meilleur deuxième dans chaque ligue. Maintenant, c'est ce soir que les vraies affaires commencent et c'est la ligue américaine qui part le bal. Les Tigers de Detroit seront à Baltimore pour y affronter les Orioles et plu tard en soirée, les surprenants Royals auront la lourde commande de vaincre les puissants Angels à Anaheim. Prédictions.
TIGERS DE DETROIT (90-72) VS ORIOLES DE BALTIMORE (96-66)
On aurait tendance à croire que les Tigers auraient dû dominer la ligue américaine, surtout avec leur personnel des lanceurs. Cependant, ils ont été talonnés toute la saison par les Royals. Avec dans leur rotation les trois derniers gagnants du trophée Cy Young en Justin Verlander, Max Scherzer et David Price, on n'hésiterait pas à leur concéder toutes les chances de vaincre les Orioles, mais leur piètre relève leur a joué de nombreux tours. Et voilà que les oiseaux ont survolé la division la plus féroce de l'américaine, soit la division est, avec 96 victoires, clouant au sol des réguliers en séries comme les Rays, les Yankees et les Red Sox. Sans être dignes du Cy Young, les lanceurs des Orioles sont efficaces, très bien supportés par une relève ne donnant que des miettes. En attaque, leur profondeur ne fait pas de doute, car ils ont réussi à maintenir leur puissance malgré la perte du jeune prodige Manny Machado. Malgré que les Tigers forment une équipe redoutable en attaque, il est de voir de quel bois se chauffe Baltimore et ces derniers devraient avancer dans la prochaine ronde. Cependant, cette série sera longue et il faut s'attendre à quelques matchs se décident en manches supplémentaires. Baltimore en 5.
ROYALS DE KANSAS CITY (89-73) VS ANGELS DE LOS ANGELES (98-64)
Les Royals sont officiellement en séries pour la première fois depuis 1985. 29 longues années d'attente pour cette formation dans l'ombre des Cardinals de St-Louis, pourtant dans le même état. Leur victoire spectaculaire de mardi contre les A's a réjoui tout le baseball, mais contre les Angels, leur party risque de se terminer assez rapidement. À tous les points de vue, les hommes de Mike Scioscia sont plus forts que les Royals. Attaque, défensive, lanceurs, nommez-les. Le seul point qui pourrait transporter les Royals, ce sont les impondérables. Si la magie s'est emparée des joueurs, ils pourraient causer une surprise et devenir l'équipe cendrillon. Sauf que je ne compte pas trop là-dessus. Los Angeles en 3.
GIANTS DE SAN FRANCISCO (88-74) VS NATIONALS DE WASHINGTON (96-66)
Madison Bumgarner et ses coéquipiers n'ont fait qu'une bouchée des Pirates hier en route vers la série contre les Nationals, nos anciens Expos. Sauf que 10 ans après le départ de Nos Amours, il ne reste plus grand chose de cette triste équipe. Ils ont remporté le premier championnat officiel de l'histoire de la concession, si on inclut également celle des Expos. Les Nationals possèdent une excellente profondeur et un très bon personnel de lanceur pour se tailler une place jusqu'à la Série mondiale. Cependant, les Giants ont été les maîtres du monde en 2010 et 2012 et leur expérience dans les rencontres importantes ne peut être négligée. Cependant, il est temps que les Nationals passent à la vitesse supérieure et ça se fera dans cette série. Washington en 4.
CARDINALS DE ST-LOUIS (90-72) VS DODGERS DE LOS ANGELES (94-68)
Les Cardinals de St-Louis sont encore en mode course au championnat, eux qui ont assuré leur première place dimanche dernier. En n'ayant pas connu de période de relaxation, ils seront prêts à affronter les riches Dodgers. Il s'agit d'un reprise de l'an dernier et justement, les Cards avaient raflé les honneurs et s'étaient rendus à la grande finale, mais perdu contre les Red Sox. Est-ce que les Dodgers avec en tête Clayton Kershaw peuvent venir à bout de ces oiseaux rouges, habitués de participer à la danse automnale? Certes la présence de Kershaw (20-3) fera trembler les frappeurs, mais l'expérience de St-Louis, surtout leurs victoires en séries, année après année, devrait leur aider à se sauver encore de l'impasse. Déjà, le premier duel de lanceurs promet d'être titanesque: Kershaw contre Wainwright. St-Louis en 5.
Avec les villes en présences, il existe de possibilités de Série mondiale avec des équipes près l'une de l'autre.
St-Louis vs Kansas City
Los Angeles Dodgers vs Los Angeles Angeles
Baltimore vs Washington
C'est Bud Selig qui sera aux oiseaux.
TIGERS DE DETROIT (90-72) VS ORIOLES DE BALTIMORE (96-66)
On aurait tendance à croire que les Tigers auraient dû dominer la ligue américaine, surtout avec leur personnel des lanceurs. Cependant, ils ont été talonnés toute la saison par les Royals. Avec dans leur rotation les trois derniers gagnants du trophée Cy Young en Justin Verlander, Max Scherzer et David Price, on n'hésiterait pas à leur concéder toutes les chances de vaincre les Orioles, mais leur piètre relève leur a joué de nombreux tours. Et voilà que les oiseaux ont survolé la division la plus féroce de l'américaine, soit la division est, avec 96 victoires, clouant au sol des réguliers en séries comme les Rays, les Yankees et les Red Sox. Sans être dignes du Cy Young, les lanceurs des Orioles sont efficaces, très bien supportés par une relève ne donnant que des miettes. En attaque, leur profondeur ne fait pas de doute, car ils ont réussi à maintenir leur puissance malgré la perte du jeune prodige Manny Machado. Malgré que les Tigers forment une équipe redoutable en attaque, il est de voir de quel bois se chauffe Baltimore et ces derniers devraient avancer dans la prochaine ronde. Cependant, cette série sera longue et il faut s'attendre à quelques matchs se décident en manches supplémentaires. Baltimore en 5.
ROYALS DE KANSAS CITY (89-73) VS ANGELS DE LOS ANGELES (98-64)
Les Royals sont officiellement en séries pour la première fois depuis 1985. 29 longues années d'attente pour cette formation dans l'ombre des Cardinals de St-Louis, pourtant dans le même état. Leur victoire spectaculaire de mardi contre les A's a réjoui tout le baseball, mais contre les Angels, leur party risque de se terminer assez rapidement. À tous les points de vue, les hommes de Mike Scioscia sont plus forts que les Royals. Attaque, défensive, lanceurs, nommez-les. Le seul point qui pourrait transporter les Royals, ce sont les impondérables. Si la magie s'est emparée des joueurs, ils pourraient causer une surprise et devenir l'équipe cendrillon. Sauf que je ne compte pas trop là-dessus. Los Angeles en 3.
GIANTS DE SAN FRANCISCO (88-74) VS NATIONALS DE WASHINGTON (96-66)
Madison Bumgarner et ses coéquipiers n'ont fait qu'une bouchée des Pirates hier en route vers la série contre les Nationals, nos anciens Expos. Sauf que 10 ans après le départ de Nos Amours, il ne reste plus grand chose de cette triste équipe. Ils ont remporté le premier championnat officiel de l'histoire de la concession, si on inclut également celle des Expos. Les Nationals possèdent une excellente profondeur et un très bon personnel de lanceur pour se tailler une place jusqu'à la Série mondiale. Cependant, les Giants ont été les maîtres du monde en 2010 et 2012 et leur expérience dans les rencontres importantes ne peut être négligée. Cependant, il est temps que les Nationals passent à la vitesse supérieure et ça se fera dans cette série. Washington en 4.
CARDINALS DE ST-LOUIS (90-72) VS DODGERS DE LOS ANGELES (94-68)
Les Cardinals de St-Louis sont encore en mode course au championnat, eux qui ont assuré leur première place dimanche dernier. En n'ayant pas connu de période de relaxation, ils seront prêts à affronter les riches Dodgers. Il s'agit d'un reprise de l'an dernier et justement, les Cards avaient raflé les honneurs et s'étaient rendus à la grande finale, mais perdu contre les Red Sox. Est-ce que les Dodgers avec en tête Clayton Kershaw peuvent venir à bout de ces oiseaux rouges, habitués de participer à la danse automnale? Certes la présence de Kershaw (20-3) fera trembler les frappeurs, mais l'expérience de St-Louis, surtout leurs victoires en séries, année après année, devrait leur aider à se sauver encore de l'impasse. Déjà, le premier duel de lanceurs promet d'être titanesque: Kershaw contre Wainwright. St-Louis en 5.
Avec les villes en présences, il existe de possibilités de Série mondiale avec des équipes près l'une de l'autre.
St-Louis vs Kansas City
Los Angeles Dodgers vs Los Angeles Angeles
Baltimore vs Washington
C'est Bud Selig qui sera aux oiseaux.
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