Vendredi soir, en marge du Match des étoiles, mais aussi pour souligner son 100e anniversaire, la LNH a présenté les plus grands joueurs de son histoire. Sans ordre établi, la ligue a plutôt choisi de les présenter par époque. Qui plus est, tous ces grands arboraient le chandail avec l'équipe qui les a vus briller.
C'est long, mais je vais vous présenter les 100 noms et ajouter quelques commentaires ainsi que le nom de quelques joueurs oubliés.
GARDIENS
Johnny Bower
Turk Broda
Martin Brodeur
Ken Dryden
Bill Durnan
Tony Esposito
Grant Fuhr
Glenn Hall
Dominik Hasek
Bernard Parent
Jacques Plante
Patrick Roy
Terry Sawchuk
Billy Smith
Georges Vézina
Du lot, j'ai eu la chance de voir les Martin Brodeur, Grant Fuhr, Dominik Hasek, Patrick Roy et Billy Smith. Je crois que j'ai vu Esposito aussi, mais j'étais assez jeune, donc pas assez pour me faire une idée. Je pense que parmi ceux que j'ai vu jouer, Patrick Roy et Dominik Hasek ont été les meilleurs. Roy a permis aux Canadiens de gagner deux Coupes Stanley à la surprise générale et Dominik Hasek était tout simplement un mur à ses plus belles années à Buffalo. Non, Carey Price n'a pas d'affaire dans le top 10, 20 ou 100. Pour plusieurs, Ed Belfour, Roberto Luongo ou même Curtis Joseph auraient mérité de se frayer un chemin parmi ce palmarès.
DÉFENSEURS
Raymond Bourque
Chris Chelios
King Clancy
Paul Coffey
Doug Harvey
Tim Horton
Duncan Keith
Red Kelly
Brian Leetch
Nicklas Lidstrom
Al Macinnis
Scott Niedermayer
Bobby Orr
Brad Park
Denis Potvin
Chris Pronger
Larry Robinson
Borje Salming
Serge Savard
Eddie Shore
Scott Stevens
Comment juger de la qualité d'un défenseur? Je trouve que l'on pense trouve souvent aux points avant tout. Paul Coffey est-il un grand défenseur ou attaquant manqué? Pas de doute, il a sa place sur cette liste, mais de véritables défenseurs qui contraient les plus gros attaquants, sans ramasser 70 points par saison, où sont-ils? Aucune trace de Mark Howe, Guy Lapointe, Larry Murphy, Phil Housley ou même Erik Karlsson et Zdeno Chara. Si la ligue a choisi de mettre dans sa liste des attaquants encore actifs, elle a hésité avec les défenseurs. Finalement, Tim Horton a-t-il promis d'accentuer sa commandite envers la LNH si on choisisse le fondateur de sa chaîne de restaurants?
ATTAQUANTS
Sid Abel
Syl Apps
Andy Bathgate
Jean Béliveau
Max Bentley
Toe Blake
Mike Bossy
Johnny Bucyk
Pavel Bure
Bobby Clarke
Charlie Conacher
Yvan Cournoyer
Sidney Crosby
Pavel Datsyuk
Alex Delvecchio
Marcel Dionne
Phil Esposito
Sergei Fedorov
Peter Forsberg
Ron Francis
Bob Gainey
Mike Gartner
Bernard Geoffrion
Wayne Gretzky
Gordie Howe
Bobby Hull
Brett Hull
Jaromir Jagr
Patrick Kane
Ted Kennedy
Dave Keon
Jari Kurri
Elmer Lach
Guy Lafleur
Pat LaFontaine
Jacques Lemaire
Mario Lemieux
Eric Lindros
Ted Lindsay
Frank Mahovlich
Mark Messier
Stan Mikita
Mike Modano
Dickie Moore
Howie Morenz
Joe Nieuwendyk
Adam Oates
Alex Ovechkin
Gilbert Perreault
Jean Ratelle
Henri Richard
Maurice Richard
Luc Robitaille
Joe Sakic
Denis Savard
Milt Schmidt
Teemu Selanne
Brendan Shanahan
Darryl Sittler
Peter Stastny
Mats Sundin
Jonathan Toews
Bryan Trottier
Steve Yzerman
Si j'étais Michel Goulet, je me plaindrais à l'association des anciens. Comment un gars ayant marqué 548 buts peut être oublié? Je comprends qu'il ait joué pour les Nordiques, mais c'est un peu insulte pour les partisans. Idem pour Dale Hawerchuk, le plus grand joueur de la franchise des Jets de Winnipeg. Ce sont ses 1409 points qui sont complètement mis de côté. Surtout quand on voit un Eric Lindros, qui n'a pas connu la carrière et la longévité de ces deux grands joueurs. On aurait pu moins mettre de joueurs actifs et favoriser des anciens, au moins Goulet et Hawerchuk
Mais un palmarès essayant de regrouper comportera toujours son lot de déceptions et d'oubliés. Cependant, l'exercice valait la peine et il était beau de voir tous ces grands noms se côtoyés durant le weekend des étoiles.
lundi 30 janvier 2017
ATTENTAT À QUÉBEC
6 morts et une dizaine de blessés. Une mosquée à Ste-Foy. La terreur a frappé. La mort s'est invitée dans la Vieille Capitale. Un jeune homme de 27 ans a été épinglé.
Je n'ai rien à dire vraiment de plus que les autres: prières avec les proches des victimes, ignorance mène à violence, erreur sur la personne, etc.
Le plus renversant, c'est que ça passe à Québec, pas à Montréal, ni Toronto, ni New York ou Paris, mais bien Québec.
J'espère que le coupable ne voit plus la lumière du jour, au fond d'un trou.
Je n'ai rien à dire vraiment de plus que les autres: prières avec les proches des victimes, ignorance mène à violence, erreur sur la personne, etc.
Le plus renversant, c'est que ça passe à Québec, pas à Montréal, ni Toronto, ni New York ou Paris, mais bien Québec.
J'espère que le coupable ne voit plus la lumière du jour, au fond d'un trou.
dimanche 29 janvier 2017
MES VIES DE CHIEN
Quelques jours avant sa sortie aux États-Unis, le film Mes vies de chien, version française de A Dog's Purpose, a vécu une controverse plutôt gênante. Une vidéo du tournage a fait surface sur le web montrant un chien berger allemand complètement affolé qui refusait de faire une cascade plutôt dangereuse. La production a annulé la première de son film et la PETA (People for Ethical Treatment for Animals) a demandé au monde entier de boycotter le film et ce même si les producteurs ont défendu leur position. Nous, n'écoutant pas du tout la PETA, avons décidé de franchir les lignes de piquetage et de voir le film.
Le chien Bailey, un golden retriever, est arraché aux griffes de malfaiteurs alors qu'il était laissé sur la banquette d'une voiture, par une chaleur torride. Le jeune garçon qui le sauve, Ethan, convainc sa famille de garder le chien. L'animal suit son maître partout jusqu'au jour où Ethan part pour des études loin de maison familiale. Le chien meurt quelque temps plus tard mais il renaît dans la peau d'un autre chien, un berger allemand cette fois. Il renaîtra deux autres fois avant de revenir vers son ancien maître, dans la peau d'une autre race.
Le film ne se démarque pas par sa logique et sa crédibilité, ça c'est certain. Qui plus est, le scénario comporte certains aspects plus ou moins flous et tirés par les cheveux. Sans compter que les acteurs semblent un peu robotiques aux côtés de ces beaux chiens qui sont en fait les héros.
Si vous me demandez pourquoi je suis allé voir ce film avec mon enfant, malgré la mauvaise presse, je vous répondrai que mon enfant n'a pas à savoir que le traitement envers un chien ait été controversé durant le tournage. Ses yeux d'enfant, amoureux des animaux, doit être émerveillé par la beauté des chiens et non par l'envers du décor.
Cependant, nous enseignons à notre fille et à notre fils qu'ils doivent être respectueux des animaux: les caresser avec douceur, les traiter avec soin, les nourrir convenablement et surtout ne jamais taper un animal, car un beau jour, sans avertissement, il te rendra la pareille.
Mes viens de chien met en vedette Dennis Quaid, des chiens et d'autres acteurs que je vous laisse découvrir.
Le chien Bailey, un golden retriever, est arraché aux griffes de malfaiteurs alors qu'il était laissé sur la banquette d'une voiture, par une chaleur torride. Le jeune garçon qui le sauve, Ethan, convainc sa famille de garder le chien. L'animal suit son maître partout jusqu'au jour où Ethan part pour des études loin de maison familiale. Le chien meurt quelque temps plus tard mais il renaît dans la peau d'un autre chien, un berger allemand cette fois. Il renaîtra deux autres fois avant de revenir vers son ancien maître, dans la peau d'une autre race.
Le film ne se démarque pas par sa logique et sa crédibilité, ça c'est certain. Qui plus est, le scénario comporte certains aspects plus ou moins flous et tirés par les cheveux. Sans compter que les acteurs semblent un peu robotiques aux côtés de ces beaux chiens qui sont en fait les héros.
Si vous me demandez pourquoi je suis allé voir ce film avec mon enfant, malgré la mauvaise presse, je vous répondrai que mon enfant n'a pas à savoir que le traitement envers un chien ait été controversé durant le tournage. Ses yeux d'enfant, amoureux des animaux, doit être émerveillé par la beauté des chiens et non par l'envers du décor.
Cependant, nous enseignons à notre fille et à notre fils qu'ils doivent être respectueux des animaux: les caresser avec douceur, les traiter avec soin, les nourrir convenablement et surtout ne jamais taper un animal, car un beau jour, sans avertissement, il te rendra la pareille.
Mes viens de chien met en vedette Dennis Quaid, des chiens et d'autres acteurs que je vous laisse découvrir.
CAFÉ CHAT SIBÉRIEN
Hier, ma conjointe, ma fille et moi sommes allés au Café Chat Sibérien à Chelsea, petit village à l'extérieur de Gatineau où se trouvent quelques restaurants et boutiques au cachet particulier.
Ce Café très spécial, où vivent huit chats sibériens, est ouvert depuis presque deux ans. On peut y savourer plusieurs bons cafés, thés, tisanes ou chocolats chauds ou une viennoiserie. Si les breuvages sont excellents, c'est sans aucun doute que les huit chats qui volent le spectacle. Ils se promènent allègrement dans une pièce où les gens discutent, bien assis à leur table. Ils grimpent sur leur perchoir, sur les chaises, sur les tables ou même sur nous.
Pour notre part, nous avons été accueillis par Konstantin. Il nous a observés et puis il s'est servi de mon épaule pour rejoindre son havre de relaxation derrière moi. Où il y a de la gêne, il n'y a pas de plaisir.
Bien entendu, il ne faut pas être allergique au poil de chat pour se retrouver dans ce café. Avec huit félins dans les parages, les poils flottent et se déposent un peu partout. Qui plus est, plusieurs règlements pour la sécurité des hôtes et des visiteurs ont été mis en place. Outre le fait qu'il ne faut pas troubler la quiétude des chats en les réveillant ou en les excitant, les familles doivent noter que les enfants ne sont admis que les après-midis de fin de semaine. Que l'on soit d'accord ou non avec celui-ci, les clients doivent le respecter.
En terminant, notez que les cafés coûtent au moins 5$, mais ils sont excellents. Laissez-vous tenter peut-être par le Chatbérien, un breuvage moitié cidre de pomme, moitié chaï.
CAFÉ CHAT SIBÉRIEN
205, chemin Old Chelsea
Chelsea
www.cafechatsiberien.com
Ce Café très spécial, où vivent huit chats sibériens, est ouvert depuis presque deux ans. On peut y savourer plusieurs bons cafés, thés, tisanes ou chocolats chauds ou une viennoiserie. Si les breuvages sont excellents, c'est sans aucun doute que les huit chats qui volent le spectacle. Ils se promènent allègrement dans une pièce où les gens discutent, bien assis à leur table. Ils grimpent sur leur perchoir, sur les chaises, sur les tables ou même sur nous.
Pour notre part, nous avons été accueillis par Konstantin. Il nous a observés et puis il s'est servi de mon épaule pour rejoindre son havre de relaxation derrière moi. Où il y a de la gêne, il n'y a pas de plaisir.
Bien entendu, il ne faut pas être allergique au poil de chat pour se retrouver dans ce café. Avec huit félins dans les parages, les poils flottent et se déposent un peu partout. Qui plus est, plusieurs règlements pour la sécurité des hôtes et des visiteurs ont été mis en place. Outre le fait qu'il ne faut pas troubler la quiétude des chats en les réveillant ou en les excitant, les familles doivent noter que les enfants ne sont admis que les après-midis de fin de semaine. Que l'on soit d'accord ou non avec celui-ci, les clients doivent le respecter.
En terminant, notez que les cafés coûtent au moins 5$, mais ils sont excellents. Laissez-vous tenter peut-être par le Chatbérien, un breuvage moitié cidre de pomme, moitié chaï.
CAFÉ CHAT SIBÉRIEN
205, chemin Old Chelsea
Chelsea
www.cafechatsiberien.com
mardi 24 janvier 2017
JOSE BAUTISTA DE RETOUR AVEC LES JAYS
Après plusieurs mois de spéculations, de rumeurs et négociations, le voltigeur José Bautista sera de retour avec les Blue Jays de Toronto.
La plupart des observateurs s'entendaient pour dire que le Dominicain de 36 ans avait probablement joué son dernier match dans l'uniforme torontois lors de la conclusion de la série de championnat opposant les Jays aux Indians en octobre dernier. Bautista avait connu une saison marqué par les blessures et par une baisse de régime. En plus, il était plutôt contesté par plusieurs spécialistes et adversaires. Qui plus est, Bautista avait rejeté l'offre qualificative de 17,2 millions des Jays.
Voilà que quelques mois plus tard, il signe pour un montant annuel de 18 millions en 2017. Pour les saisons 2018 et 2019, des options sont reliées au contrat. Par exemple, les Jays ou Bautista lui-même pourrait décider de terminer l'association.
En neuf saisons avec les Jays, Bautista a frappé 265 circuits, il occupe le second rang de l'histoire de l'équipe à ce chapitre, le meneur étant Carlos Delgado avec 336. Il a ajouté six circuits en séries éliminatoires.
Ce retour, bien qu'il ne soit jamais parti, est accueilli avec plaisir par la plupart des fans. On sait que Bautista peut encore terroriser les lanceurs adverses s'il reste en santé. De plus, avec la perte d'Edwin Encarnacion au profit des Indians, les Blue Jays ne pouvaient se permettre d'échapper leur frappeur de puissance.
Finalement, après toute cette attente, Bautista ne voulait qu'une chose: demeurer à Toronto.
La plupart des observateurs s'entendaient pour dire que le Dominicain de 36 ans avait probablement joué son dernier match dans l'uniforme torontois lors de la conclusion de la série de championnat opposant les Jays aux Indians en octobre dernier. Bautista avait connu une saison marqué par les blessures et par une baisse de régime. En plus, il était plutôt contesté par plusieurs spécialistes et adversaires. Qui plus est, Bautista avait rejeté l'offre qualificative de 17,2 millions des Jays.
Voilà que quelques mois plus tard, il signe pour un montant annuel de 18 millions en 2017. Pour les saisons 2018 et 2019, des options sont reliées au contrat. Par exemple, les Jays ou Bautista lui-même pourrait décider de terminer l'association.
En neuf saisons avec les Jays, Bautista a frappé 265 circuits, il occupe le second rang de l'histoire de l'équipe à ce chapitre, le meneur étant Carlos Delgado avec 336. Il a ajouté six circuits en séries éliminatoires.
Ce retour, bien qu'il ne soit jamais parti, est accueilli avec plaisir par la plupart des fans. On sait que Bautista peut encore terroriser les lanceurs adverses s'il reste en santé. De plus, avec la perte d'Edwin Encarnacion au profit des Indians, les Blue Jays ne pouvaient se permettre d'échapper leur frappeur de puissance.
Finalement, après toute cette attente, Bautista ne voulait qu'une chose: demeurer à Toronto.
lundi 23 janvier 2017
STAR WARS: THE LAST JEDI
Walt Disney a dévoilé aujourd'hui le titre du prochain épisode de Star Wars, l'épisode VIII. Le titre choisi est The Last Jedi. On s'attend que le dernier des Jedi soit bien entendu Luke Skywalker. Toutefois, bien peu d'informations ont circulé à propos de l'histoire.
On sait que ce sera le dernier film de la carrière de Carrie Fisher. L'interprète de la Princesse Leia est décédée le 27 décembre dernier. Comme le tournage du film s'est achevé en juillet, elle avait complété toutes ses scènes au moment de sa mort.
Rappelons que le prochain épisode met en vedette Carrie Fisher, Mark Hamill, Daisy Ridley, Adam Driver, Oscar Isaac, John Boyega, Gwendoline Christie, Domhnall Gleeson, Andy Serkis et Benicio Del Toro.
Soyez à l'affût du blogue pour connaître les dernières informations au sujet de Star Wars.
On sait que ce sera le dernier film de la carrière de Carrie Fisher. L'interprète de la Princesse Leia est décédée le 27 décembre dernier. Comme le tournage du film s'est achevé en juillet, elle avait complété toutes ses scènes au moment de sa mort.
Rappelons que le prochain épisode met en vedette Carrie Fisher, Mark Hamill, Daisy Ridley, Adam Driver, Oscar Isaac, John Boyega, Gwendoline Christie, Domhnall Gleeson, Andy Serkis et Benicio Del Toro.
Soyez à l'affût du blogue pour connaître les dernières informations au sujet de Star Wars.
samedi 21 janvier 2017
ET PUIS, CE ROGUE ONE?
Mon dernier billet de 2016 portait sur le décompte que je faisais en regard de la sortie du nouveau Star Wars, Rogue One. Puis, je suis disparu des radars. Pourtant, j'ai vu le film à deux reprises. Voici mon impression.
Rogue One raconte l'histoire des rebelles qui ont dérobé les plans de l'Étoile Noire, la super base de l'Empire. Avec ces plans, ils comptent exploiter la faille qui s'y trouve et la détruire. À la tête de ce groupe, Jyn Erso, fille de Galen Erso, concepteur de l'Étoile Noire. La jeune femme n'a pas vu son père depuis 15 ans, alors que ce dernier a été enlevé par l'Empire pour terminer le sinistre projet. Ses compagnons viennent d'un peu partout, tous aussi désireux d'en finir avec ce mal que représente l'Empire.
Bien sûr, ils arriveront à subtiliser les plans, non sans peine, mais avec fatalité, mais leur sacrifice mène à la trilogie originale adorée de tous.
Est-ce que tous ont adoré cette nouvelle mouture, ce spin-off directement relié à l'épisode IV? Bien sûr que non. Pour ma part, j'ai adoré, je le place définitivement dans le top-3 des films de Star Wars, à la suite de l'Empire contre-attaque (Épisode V) et de Un nouvel espoir (Épisode IV). Nous faisons face à un réel film de guerre où les héros donnent leur vie pour sauver leur idéal. Nous sommes loin des tentatives de rallier la famille avec des personnages carrément destinés à un public de moins de 5 ans comme Jar Jar Binks ou les Ewoks.
Côté effets visuels, on se surpasse, surtout redonnant la vie à Peter Cushing, ce célèbre acteur mort en 1994 qui avait interprété le Seigneur Tarkin dans l'épisode original. Sa «résurrection» est réussie et renversante. Celle de la princesse Leia l'est un peu moins, mais sa présence à l'écran est très courte.
Parlant d'acteurs, la tête d'affiche, Felicity Jones, livre une performance tout en leadership, en sensibilité, prête à donner sa vie pour sauver son père, mais pour sauver la rébellion. Elle est bien supportée par Diego Luna, Donnie Yen, Forest Whitaker, Wen Jiang, Riz Ahmed et Mads Mikkelsen. Mention spéciale au cruel, mais un brin malchanceux, Orson Krennic, joué par l'Autraslien Ben Mendelsohn. Sans oublier le droïde K-2SO, créé par le «motion capture» et joué par Alan Tudyk.
Les fans de la première heure seront ravis de revoir Darth Vader, au summum du mal, alors qu'il n'apparaît que pour quelques scènes, mais des présences inoubliables.
Évidemment, les purs et durs se plaindront de ne pas avoir le Star Wars qu'il voulait, que ce n'est pas comme les originaux, bla bla bla. Quoi dire de plus que: «RESTEZ CHEZ VOUS!»
En décembre prochain, Star Wars Épisode VIII, la suite du Réveil de la Force.
Rogue One raconte l'histoire des rebelles qui ont dérobé les plans de l'Étoile Noire, la super base de l'Empire. Avec ces plans, ils comptent exploiter la faille qui s'y trouve et la détruire. À la tête de ce groupe, Jyn Erso, fille de Galen Erso, concepteur de l'Étoile Noire. La jeune femme n'a pas vu son père depuis 15 ans, alors que ce dernier a été enlevé par l'Empire pour terminer le sinistre projet. Ses compagnons viennent d'un peu partout, tous aussi désireux d'en finir avec ce mal que représente l'Empire.
Bien sûr, ils arriveront à subtiliser les plans, non sans peine, mais avec fatalité, mais leur sacrifice mène à la trilogie originale adorée de tous.
Est-ce que tous ont adoré cette nouvelle mouture, ce spin-off directement relié à l'épisode IV? Bien sûr que non. Pour ma part, j'ai adoré, je le place définitivement dans le top-3 des films de Star Wars, à la suite de l'Empire contre-attaque (Épisode V) et de Un nouvel espoir (Épisode IV). Nous faisons face à un réel film de guerre où les héros donnent leur vie pour sauver leur idéal. Nous sommes loin des tentatives de rallier la famille avec des personnages carrément destinés à un public de moins de 5 ans comme Jar Jar Binks ou les Ewoks.
Côté effets visuels, on se surpasse, surtout redonnant la vie à Peter Cushing, ce célèbre acteur mort en 1994 qui avait interprété le Seigneur Tarkin dans l'épisode original. Sa «résurrection» est réussie et renversante. Celle de la princesse Leia l'est un peu moins, mais sa présence à l'écran est très courte.
Parlant d'acteurs, la tête d'affiche, Felicity Jones, livre une performance tout en leadership, en sensibilité, prête à donner sa vie pour sauver son père, mais pour sauver la rébellion. Elle est bien supportée par Diego Luna, Donnie Yen, Forest Whitaker, Wen Jiang, Riz Ahmed et Mads Mikkelsen. Mention spéciale au cruel, mais un brin malchanceux, Orson Krennic, joué par l'Autraslien Ben Mendelsohn. Sans oublier le droïde K-2SO, créé par le «motion capture» et joué par Alan Tudyk.
Les fans de la première heure seront ravis de revoir Darth Vader, au summum du mal, alors qu'il n'apparaît que pour quelques scènes, mais des présences inoubliables.
Évidemment, les purs et durs se plaindront de ne pas avoir le Star Wars qu'il voulait, que ce n'est pas comme les originaux, bla bla bla. Quoi dire de plus que: «RESTEZ CHEZ VOUS!»
En décembre prochain, Star Wars Épisode VIII, la suite du Réveil de la Force.
TRUMP EST EN POSTE
Donald Trump est devenu officiellement hier le 45e Président des États-Unis. Plusieurs acclament son arrivée avec joie, car ils croient à un changement significatif pour le pays. D'autres sont heureux que la suprématie blanche revienne à la Maison blanche. À entendre les discours de ces extrémistes, ils croient que Trump est la nouvelle version d'Adolf Hitler. Ils vont être en maudit si l'homme aux cheveux orangés ne répond à leurs attentes.
Bien d'autres ne peuvent pas croire que cet homme, riche comme Crésus, à ni plus ni moins qu'acheter la Présidence. Avec ses milliards, il a pu se faufiler parmi des candidats plus crédibles, il a raconté des balivernes honteuses, son passé d'homme aux mains baladeuses a refait surface, mais qu'à cela ne tienne, il a séduit un électorat qui en avait marre.
Les femmes, les gais, les lesbiennes, les minorités, tous sont contre son arrivée.
Ce Trump, qui a passé son temps à questionner les origines de Barack Obama, a justement vu monter en lui le désir de reluquer le pouvoir tant il a forgé sa haine envers le premier Président de race noire.
Maintenant, qu'est-ce qui attend les États-Unis et le monde d'ici les 4 prochaines années? Un mur entre les États-Unis et le Mexique? C'est complètement ridicule. L'extradition pure et simple des immigrants illégaux? Peut-être.
De toute façon, peu importe ce que l'on dit, ce que l'on entend, il faut donner une chance au coureur. On n'a pas le choix...
Bien d'autres ne peuvent pas croire que cet homme, riche comme Crésus, à ni plus ni moins qu'acheter la Présidence. Avec ses milliards, il a pu se faufiler parmi des candidats plus crédibles, il a raconté des balivernes honteuses, son passé d'homme aux mains baladeuses a refait surface, mais qu'à cela ne tienne, il a séduit un électorat qui en avait marre.
Les femmes, les gais, les lesbiennes, les minorités, tous sont contre son arrivée.
Ce Trump, qui a passé son temps à questionner les origines de Barack Obama, a justement vu monter en lui le désir de reluquer le pouvoir tant il a forgé sa haine envers le premier Président de race noire.
Maintenant, qu'est-ce qui attend les États-Unis et le monde d'ici les 4 prochaines années? Un mur entre les États-Unis et le Mexique? C'est complètement ridicule. L'extradition pure et simple des immigrants illégaux? Peut-être.
De toute façon, peu importe ce que l'on dit, ce que l'on entend, il faut donner une chance au coureur. On n'a pas le choix...
mercredi 11 janvier 2017
ENLEVER LES DÉCORATIONS DE NOËL: TRISTE
La semaine dernière, le 5 janvier je crois, j'ai enlevé toutes les décorations de Noël que nous avions à l'extérieur. Un travail pas évident, car les fils étaient enfouis sous la neige et les croûtes de verglas, sans oublier que notre renne décoratif avait une patte bien prise dans la glace. Deux jours plus tard, nous avons défait notre sapin. Un autre moment triste.
Enlever les décorations, c'est le signe que les fêtes sont terminées, que le travail recommence, que l'école recommence. Rien de bien jojo, même s'il faut faire rouler l'économie, payer nos factures et préparer nos vacances estivales.
Au moins, nous avons fait quelques magasins pour profiter de rabais exceptionnels sur les décorations de Noël pour l'an prochain.
Enlever les décorations, c'est le signe que les fêtes sont terminées, que le travail recommence, que l'école recommence. Rien de bien jojo, même s'il faut faire rouler l'économie, payer nos factures et préparer nos vacances estivales.
Au moins, nous avons fait quelques magasins pour profiter de rabais exceptionnels sur les décorations de Noël pour l'an prochain.
samedi 7 janvier 2017
LES MYSTÉRIEUSES CITÉS D'OR
Une découverte pour ma fille, mais une redécouverte pour moi, ce fut les Mystérieuses Cités d'or pendant le congé des fêtes. Télé-Québec présentait la saison # 3 des aventures d'Esteban, Zia et Tao, quelque part en Asie.
Les plus vieux comme moi (et comme toi) se souviennent de cette série qui passait à Radio-Canada le samedi matin durant les années 80. On suivait le trio ci-haut mentionné en Amérique du Sud à la recherche des magnifiques cités dorées. Ils étaient accompagnés de Mendoza, marin et protecteur des enfants. À la fin de chacune des émissions, un beau documentaire sur les rites incas terminaient la demi-heure.
Pour les amateurs, la première saison, produite conjointement par les Japonais et les Français, a duré 39 épisodes a été diffusée une première fois en 1982-83 au Japon puis en France l'année suivante. Ce n'est qu'en 1984 que les Mystérieuses Cités d'or ont été découvertes au Québec.
En 2012, pour les 30 ans de la série, une deuxième saison a été produite par les Français, les Canadiens et les Belges, avec les mêmes personnages, mais en 26 épisodes. Une suite directe des premières aventures, avec les mêmes personnages, la même chanson du générique d'ouverture (interprétée par quelqu'un d'autre) mais l'histoire se déroule dans de nouveaux pays. Le documentaire, lui aussi, est de retour.
Quatre ans plus tard, les producteurs reviennent à la charge avec une troisième saison, toujours de 26 épisodes, sortie en France à l'automne 2016 et diffusée à Télé-Québec chaque jour durant les vacances de Noël.
Notons que l'ensemble des trois saisons est inspirée par le roman The King Fifth (La Route de l'or) écrit par Scott O'Dell.
Télé-Québec présentera la deuxième saison dès lundi à 17 heures.
Les deux premières saisons sont disponibles en DVD et aussi sur Youtube.
Les plus vieux comme moi (et comme toi) se souviennent de cette série qui passait à Radio-Canada le samedi matin durant les années 80. On suivait le trio ci-haut mentionné en Amérique du Sud à la recherche des magnifiques cités dorées. Ils étaient accompagnés de Mendoza, marin et protecteur des enfants. À la fin de chacune des émissions, un beau documentaire sur les rites incas terminaient la demi-heure.
Pour les amateurs, la première saison, produite conjointement par les Japonais et les Français, a duré 39 épisodes a été diffusée une première fois en 1982-83 au Japon puis en France l'année suivante. Ce n'est qu'en 1984 que les Mystérieuses Cités d'or ont été découvertes au Québec.
En 2012, pour les 30 ans de la série, une deuxième saison a été produite par les Français, les Canadiens et les Belges, avec les mêmes personnages, mais en 26 épisodes. Une suite directe des premières aventures, avec les mêmes personnages, la même chanson du générique d'ouverture (interprétée par quelqu'un d'autre) mais l'histoire se déroule dans de nouveaux pays. Le documentaire, lui aussi, est de retour.
Quatre ans plus tard, les producteurs reviennent à la charge avec une troisième saison, toujours de 26 épisodes, sortie en France à l'automne 2016 et diffusée à Télé-Québec chaque jour durant les vacances de Noël.
Notons que l'ensemble des trois saisons est inspirée par le roman The King Fifth (La Route de l'or) écrit par Scott O'Dell.
Télé-Québec présentera la deuxième saison dès lundi à 17 heures.
Les deux premières saisons sont disponibles en DVD et aussi sur Youtube.
BONNE ANNÉE 2017
Trop renversé par ce Rogue One, je n'ai pas écrit depuis le 15 décembre, échouant dans ma tentative de publier au moins 100 billets en 2016. J'étais pourtant parti en lion, mais j'ai terminé en mouton. Qui plus est, j'ai un billet en gestation depuis plusieurs mois à propos de notre visite à New York de l'été dernier.
Je profite de ce premier billet pour vous souhaiter une merveilleuse année 2017, remplie de bonheur, de santé, d'argent, d'amour, de cinéma et de victoires des Canadiens.
Je profite de ce premier billet pour vous souhaiter une merveilleuse année 2017, remplie de bonheur, de santé, d'argent, d'amour, de cinéma et de victoires des Canadiens.
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