jeudi 31 décembre 2009
Bonne fin d'année 2009
L'année 2009 s'achève aujourd'hui et je tiens à prendre ces moments pour souhaiter une excellente fin d'année à tout le monde. Je me reconnecte plus tard pour vous souhaiter mes meilleurs voeux 2010.
mercredi 30 décembre 2009
Je suis toujours vivant !!!
Je le sais, mes billets sont très rares. Vous savez tous la raison, je n'ai pas d'accès Internet à la maison depuis mon déménagement. Je trouve cela bien pénible, surtout que je ne suis pas en mesure de suivre tous mes réseaux sociaux. Depuis la fin des cours le 18 décembre jusqu'au 28 décembre, je ne suis allé sur Internet qu'à deux reprises, simplement pour prendre des courriels en vitesse. Maintenant, je suis chez mes parents au Saguenay et je navigue.
Voici donc quelques nouvelles importantes: j'ai offert une bague de fiançailles à ma copine le 15 décembre dernier. Cette offre grandiose a été suivie d'un souper au resto et du spectacle de Rachid Badouri. Quelques jours plus tard, à la veille de la plus belle fête de l'année, j'apprenais que j'aillais devenir papa pour la première fois. Quel cadeau de Noël !
Du côté hockey, les Canadiens ont bien joué par les temps qui courent, remportant notamment 4 victoires consécutives, surtout grâce au brio de Tomas Plekanec et de Jaroslav Halak. Deux joueurs qui représenteront leur pays aux Jeux Olympiques. Toutefois, lors de ces quatres matchs, les Canadiens ont été bouffés au chapitre des lancers. Ils ont accordé environ 45 tirs par match contre seulement 23 pour eux. Pas grave, la victoire compte. Ironiquement, contre Ottawa, le CH a dominé 31-27 dans les tirs au filet, mais ils ont perdu 4-2. C'est ça le hockey ! En passant, le Canadien fêtait ses 100 ans cette année, mais leur mascotte Youppi fêtait ses 30 ans. Youppi était la mascotte des Expos et a été créé par Roger D. Landry, autrefois responsable du marketing chez les Expos.
Au cinéma, le temps des fêtes est propice pour la sortie des oeuvres qui se feront une lutte pour la soirée des Oscar. Je suis allé voir un film et non le moindre; Avatar. Il s'agit de la première réalisation de James Cameron depuis Titanic. S'il avait conquis la planète entière avec ce film en 1997, la même chose se produira avec Avatar. Quel spectacle fantastique, des effets spéciaux à couper le souffle et des images renversantes. On peut crier au génie ! Mais svp, allez voir ce film en 3D pour être certain d'en avoir plein la vue.
J'écrivais il y a quelques semaines que deux livres sur l'histoire des Expos étaient disponibles en librairie. J'en ai reçu à Noël, il s'agit de L'Époque glorieuse des Expos d'Alain Usereau. Précisément, le livre traite des plus belles années des Expos, de 1977 à 1984, où l'équipe a atteint un statut unique aux yeux des amateurs, de la ligue et des joueurs. J'en suis rendu à la saison 1979 et je dévore ce livre littérallement. Passionnant au maximum !
Au fait, Joyeux Noël en retard et Bonne Année à l'avance !
Voici donc quelques nouvelles importantes: j'ai offert une bague de fiançailles à ma copine le 15 décembre dernier. Cette offre grandiose a été suivie d'un souper au resto et du spectacle de Rachid Badouri. Quelques jours plus tard, à la veille de la plus belle fête de l'année, j'apprenais que j'aillais devenir papa pour la première fois. Quel cadeau de Noël !
Du côté hockey, les Canadiens ont bien joué par les temps qui courent, remportant notamment 4 victoires consécutives, surtout grâce au brio de Tomas Plekanec et de Jaroslav Halak. Deux joueurs qui représenteront leur pays aux Jeux Olympiques. Toutefois, lors de ces quatres matchs, les Canadiens ont été bouffés au chapitre des lancers. Ils ont accordé environ 45 tirs par match contre seulement 23 pour eux. Pas grave, la victoire compte. Ironiquement, contre Ottawa, le CH a dominé 31-27 dans les tirs au filet, mais ils ont perdu 4-2. C'est ça le hockey ! En passant, le Canadien fêtait ses 100 ans cette année, mais leur mascotte Youppi fêtait ses 30 ans. Youppi était la mascotte des Expos et a été créé par Roger D. Landry, autrefois responsable du marketing chez les Expos.
Au cinéma, le temps des fêtes est propice pour la sortie des oeuvres qui se feront une lutte pour la soirée des Oscar. Je suis allé voir un film et non le moindre; Avatar. Il s'agit de la première réalisation de James Cameron depuis Titanic. S'il avait conquis la planète entière avec ce film en 1997, la même chose se produira avec Avatar. Quel spectacle fantastique, des effets spéciaux à couper le souffle et des images renversantes. On peut crier au génie ! Mais svp, allez voir ce film en 3D pour être certain d'en avoir plein la vue.
J'écrivais il y a quelques semaines que deux livres sur l'histoire des Expos étaient disponibles en librairie. J'en ai reçu à Noël, il s'agit de L'Époque glorieuse des Expos d'Alain Usereau. Précisément, le livre traite des plus belles années des Expos, de 1977 à 1984, où l'équipe a atteint un statut unique aux yeux des amateurs, de la ligue et des joueurs. J'en suis rendu à la saison 1979 et je dévore ce livre littérallement. Passionnant au maximum !
Au fait, Joyeux Noël en retard et Bonne Année à l'avance !
mercredi 16 décembre 2009
L'Escale débarque à la Place Banque Scotia
Mercredi le 16 décembre, 44 étudiants, amis ou membres du personnel du Centre l'Escale sont débarqués à la Place Banque Scotia, là où les Sénateurs d'Ottawa accueillaient les Sabres de Buffalo, meilleure équipe dans la conférence de l'Est de la Ligue Nationale.
L'excitation était à son comble et les élèves ont vécu une soirée haute en couleurs grâce à une victoire de 2-0 des Sénateurs. Malgré cette victoire des favoris locaux, plusieurs étaient plutôt déçus de la défaite de 2-1 des Canadiens face aux Devils du New Jersey.
Forts d'un plan de route rapide pour se rendre à l'aréna des Sénateurs, quelques étudiants étaient arrivés tôt pour se tremper dans une ambiance de la Ligue Nationale et pour être aux premières loges pendant le réchauffement d'avant-match. Certains voulaient même pousser l'audace jusqu'à conserver leur place près de la patinoire, un peu comme dans le film Pour toujours les Canadiens. Toutefois, ils sont revenus bredouilles quand les placiers les ont renvoyés à leur place, parmi leurs semblables. Que voulez-vous, on ne peut pas vivre comme des riches très longtemps.
Côté match, les Sénateurs ont joué un solide match et la performance du gardien des Sabres, Ryan Miller, les a empêchés de prendre les devants par un gros pointage dès la première période. Toutefois, le Gatinois Alexandre Picard a ouvert la marque à 18:23. On a eu quand même droit à de belles pièces de jeu malgré le faible nombre de buts, mais les Sabres ont été incapables de profiter de 6 avantages numériques, dont un 5 minutes en 2ème période. Ils ont même écopé d'une pénalité pendant cet avantage numérique qui aurait dû les favoriser. Finalement, Mike Fisher a scellé l'issue du match avec 1:36 à faire en troisième.
Chacun est rentré à la maison heureux et espère qu'il y aura une autre activité du genre prochainement. Qui sait ? Peut-être qu'après les Fêtes, les Sénateurs ouvriront encore leurs portes aux gens de l'Escale.
Voici quelques petites informations pertinentes autour du match:
- Jason Spezza manquera de 6 à 8 semaines chez les Sénateurs. Mais plusieurs pensent que ça fait déjà une bout qu'il manque
- Quelques étudiants de l'Escale arboreront les couleurs du Canadien
- On suivra la partie des Canadiens sur notre cellulaire
- Cédric Vincent-Rocan, Phillipe Leblond et Mathieu Audette sont partis de l'Escale à 14h30, ils ne pouvaient plus tenir en place
- Mathieu Audette a quitté après une période
- Il y avait plusieurs gradins vides à la Place Banque Scotia
- Cédric Vincent-Rocan veut aller voir les Canadiens !
L'excitation était à son comble et les élèves ont vécu une soirée haute en couleurs grâce à une victoire de 2-0 des Sénateurs. Malgré cette victoire des favoris locaux, plusieurs étaient plutôt déçus de la défaite de 2-1 des Canadiens face aux Devils du New Jersey.
Forts d'un plan de route rapide pour se rendre à l'aréna des Sénateurs, quelques étudiants étaient arrivés tôt pour se tremper dans une ambiance de la Ligue Nationale et pour être aux premières loges pendant le réchauffement d'avant-match. Certains voulaient même pousser l'audace jusqu'à conserver leur place près de la patinoire, un peu comme dans le film Pour toujours les Canadiens. Toutefois, ils sont revenus bredouilles quand les placiers les ont renvoyés à leur place, parmi leurs semblables. Que voulez-vous, on ne peut pas vivre comme des riches très longtemps.
Côté match, les Sénateurs ont joué un solide match et la performance du gardien des Sabres, Ryan Miller, les a empêchés de prendre les devants par un gros pointage dès la première période. Toutefois, le Gatinois Alexandre Picard a ouvert la marque à 18:23. On a eu quand même droit à de belles pièces de jeu malgré le faible nombre de buts, mais les Sabres ont été incapables de profiter de 6 avantages numériques, dont un 5 minutes en 2ème période. Ils ont même écopé d'une pénalité pendant cet avantage numérique qui aurait dû les favoriser. Finalement, Mike Fisher a scellé l'issue du match avec 1:36 à faire en troisième.
Chacun est rentré à la maison heureux et espère qu'il y aura une autre activité du genre prochainement. Qui sait ? Peut-être qu'après les Fêtes, les Sénateurs ouvriront encore leurs portes aux gens de l'Escale.
Voici quelques petites informations pertinentes autour du match:
- Jason Spezza manquera de 6 à 8 semaines chez les Sénateurs. Mais plusieurs pensent que ça fait déjà une bout qu'il manque
- Quelques étudiants de l'Escale arboreront les couleurs du Canadien
- On suivra la partie des Canadiens sur notre cellulaire
- Cédric Vincent-Rocan, Phillipe Leblond et Mathieu Audette sont partis de l'Escale à 14h30, ils ne pouvaient plus tenir en place
- Mathieu Audette a quitté après une période
- Il y avait plusieurs gradins vides à la Place Banque Scotia
- Cédric Vincent-Rocan veut aller voir les Canadiens !
mardi 15 décembre 2009
Noël et l'oubli des vraies valeurs
La fête de la naissance du Christ est dans dix jours et la belle neige blanche est là pour nous rappeler d'investir dans cette frénésie festive. Mais cette folle frénésie est présente dans les magasins depuis le 1er novembre, soit le lendemain de l'Halloween. L'aspect commercial a littérallement bouffé l'aspect spirituel, religieux et familial des fêtes. Voici mon propre regard sur Noël.
Mon plus récent billet était dédié à ma chanson favorite de Noël, Minuit Chrétien. Dans les paroles, il est clairement dit que Noël, c'est la fête du Christ, du Rédempteur. Mais aujourd'hui, les gens s'en moquent et désirent recevoir le plus gros des cadeaux, un geste complètement égoïste. Et si l'on veut le plus gros des cadeaux, on ne veut pas trop en donner, de peur d'avoir une carte de crédit complètement bourrée au début janvier. Mais en bout de ligne, notre carte de crédit sera quand même bourrée, car on se sera payé le cadeau que l'on a pas eu, ou bien on aura été tellement influencé par les commerçants qu'on aura finalement payé pour des pacotilles.
Il me semble que l'essence même de Noël, ce sont les rencontres familiales, les rires entre amis, le «mononcle» bien chaud à la fin de la soirée, les rigodons, la danse ou la messe de minuit et sa chorale. Je discute avec des gens qui ont vécu une enfance plutôt difficile, car leurs parents étaient pauvres. Mais même si leur unique cadeau de Noël était petit, ils étaient heureux et n'oublieront jamais ces soirées où tout le monde se réunissait et s'amusait. Ces personnes connaissent les vraies valeurs de Noël, car elles n'ont pas tout eu cuit dans le bec et elles n'ont pas pleuré sur leur sort parce que la poupée et le soldat G.I. Joe n'étaient pas sous l'arbre.
Je ne suis peut-être pas le meilleur exemple dans tout ça. J'ai pas mal eu les cadeaux que je voulais et même à 33 ans, j'ai horreur d'aller à la messe, trouvant cela répétitif et très peu imaginatif. J'achète tout plein de cadeaux (n'atteignant jamais ma limite de crédit par contre) et je veux des beaux cadeaux. Mais lorsque je fais la tournée des magasins, je songe à être généreux, sachant que le partage est très important. Mais contrairement à certains, je ne cherche pas à donner un cadeau à 300$ pour faire comme les autres et m'enfoncer encore plus solidement dans mes dettes déjà titanesques.
Avouons que les magasins sont assez évoqueurs dans leurs publicités pour vendre. Je pense à cette publicité de voiture. On voit un couple à la fenêtre qui regarde une femme exploser de joie suite à un cadeau de son mari: une voiture. Offusquée, la femme regardant à la fenêtre redonne le robot culinaire qu'elle a eu pour Noël à son mari. Wow !!! Quel type est assez cinglé pour offrir une voiture à sa femme pour Noël ? À moins d'être millionnaire, j'en connais pas gros. Le message est clair: achetez une voiture à votre femme pour Noël sinon elle va être en tab...
On est loin du temps où la famille allait à la messe de minuit en carriole et en chantant toutes les chansons connues de Noël. Parlant de famille, si Noël est l'occasion idéale pour se retrouver en famille, certains trouvent le moyen de briser cette soirée spéciale et critiquant et en jalousant les autres. Pas moyen une seule seconde de faire la paix avec les autres, de pardonner et d'oublier les tracas.
Noël, c'est l'amour. Noël, c'est la famille. Noël, c'est les amis. Noël, c'est le petit Jésus. Pensez-y avant de dévaliser tous les magasins de bébelles coûteuses et sans valeur. Au fait, j'aimerais bien avoir Rock Band sous le sapin.
Mon plus récent billet était dédié à ma chanson favorite de Noël, Minuit Chrétien. Dans les paroles, il est clairement dit que Noël, c'est la fête du Christ, du Rédempteur. Mais aujourd'hui, les gens s'en moquent et désirent recevoir le plus gros des cadeaux, un geste complètement égoïste. Et si l'on veut le plus gros des cadeaux, on ne veut pas trop en donner, de peur d'avoir une carte de crédit complètement bourrée au début janvier. Mais en bout de ligne, notre carte de crédit sera quand même bourrée, car on se sera payé le cadeau que l'on a pas eu, ou bien on aura été tellement influencé par les commerçants qu'on aura finalement payé pour des pacotilles.
Il me semble que l'essence même de Noël, ce sont les rencontres familiales, les rires entre amis, le «mononcle» bien chaud à la fin de la soirée, les rigodons, la danse ou la messe de minuit et sa chorale. Je discute avec des gens qui ont vécu une enfance plutôt difficile, car leurs parents étaient pauvres. Mais même si leur unique cadeau de Noël était petit, ils étaient heureux et n'oublieront jamais ces soirées où tout le monde se réunissait et s'amusait. Ces personnes connaissent les vraies valeurs de Noël, car elles n'ont pas tout eu cuit dans le bec et elles n'ont pas pleuré sur leur sort parce que la poupée et le soldat G.I. Joe n'étaient pas sous l'arbre.
Je ne suis peut-être pas le meilleur exemple dans tout ça. J'ai pas mal eu les cadeaux que je voulais et même à 33 ans, j'ai horreur d'aller à la messe, trouvant cela répétitif et très peu imaginatif. J'achète tout plein de cadeaux (n'atteignant jamais ma limite de crédit par contre) et je veux des beaux cadeaux. Mais lorsque je fais la tournée des magasins, je songe à être généreux, sachant que le partage est très important. Mais contrairement à certains, je ne cherche pas à donner un cadeau à 300$ pour faire comme les autres et m'enfoncer encore plus solidement dans mes dettes déjà titanesques.
Avouons que les magasins sont assez évoqueurs dans leurs publicités pour vendre. Je pense à cette publicité de voiture. On voit un couple à la fenêtre qui regarde une femme exploser de joie suite à un cadeau de son mari: une voiture. Offusquée, la femme regardant à la fenêtre redonne le robot culinaire qu'elle a eu pour Noël à son mari. Wow !!! Quel type est assez cinglé pour offrir une voiture à sa femme pour Noël ? À moins d'être millionnaire, j'en connais pas gros. Le message est clair: achetez une voiture à votre femme pour Noël sinon elle va être en tab...
On est loin du temps où la famille allait à la messe de minuit en carriole et en chantant toutes les chansons connues de Noël. Parlant de famille, si Noël est l'occasion idéale pour se retrouver en famille, certains trouvent le moyen de briser cette soirée spéciale et critiquant et en jalousant les autres. Pas moyen une seule seconde de faire la paix avec les autres, de pardonner et d'oublier les tracas.
Noël, c'est l'amour. Noël, c'est la famille. Noël, c'est les amis. Noël, c'est le petit Jésus. Pensez-y avant de dévaliser tous les magasins de bébelles coûteuses et sans valeur. Au fait, j'aimerais bien avoir Rock Band sous le sapin.
Minuit chrétien
Ce sera Noël dans dix jours et pour l'occasion, je vous offre les paroles de ma chanson de Noël favorite en français. On l'appelle Minuit chrétien.
Minuit ! Chrétiens, c'est l'heure solennelle
Où l'homme Dieu descendit jusqu'à nous,
Pour effacer la tache originelle
Et de son père arrêter le courroux :
Le monde entier tressaille d'espérance
A cette nuit qui lui donne un sauveur
Peuple, à genoux attends ta délivrance,
Noël ! Noël ! Voici le Rédempteur !
Noël ! Noël ! Voici le Rédempteur !
De notre foi que la lumière ardente
Nous guide tous au berceau de l'enfant
Comme autrefois, une étoile brillante
Y conduisit les chefs de l'Orient
Le Roi des Rois naît dans une humble crèche,
Puissants du jour fiers de votre grandeur,
A votre orgueil c'est de là qu'un Dieu prêche,
Courbez vos fronts devant le Rédempteur !
Courbez vos fronts devant le Rédempteur !
Le Rédempteur a brisé toute entrave,
La terre est libre et le ciel est ouvert
Il voit un frère ou n'était qu'un esclave
L'amour unit ceux qu'enchaînait le fer,
Qui lui dira notre reconnaissance ?
C'est pour nous tous qu'il naît, qu'il souffre et meurt :
Peuple, debout ! chante ta délivrance,
Noël ! Noël ! chantons le Rédempteur !
Noël ! Noël ! chantons le Rédempteur !
Certains diront que je suis peu inspiré ? Au contraire, je suis l'inspiration incarnée.
Minuit ! Chrétiens, c'est l'heure solennelle
Où l'homme Dieu descendit jusqu'à nous,
Pour effacer la tache originelle
Et de son père arrêter le courroux :
Le monde entier tressaille d'espérance
A cette nuit qui lui donne un sauveur
Peuple, à genoux attends ta délivrance,
Noël ! Noël ! Voici le Rédempteur !
Noël ! Noël ! Voici le Rédempteur !
De notre foi que la lumière ardente
Nous guide tous au berceau de l'enfant
Comme autrefois, une étoile brillante
Y conduisit les chefs de l'Orient
Le Roi des Rois naît dans une humble crèche,
Puissants du jour fiers de votre grandeur,
A votre orgueil c'est de là qu'un Dieu prêche,
Courbez vos fronts devant le Rédempteur !
Courbez vos fronts devant le Rédempteur !
Le Rédempteur a brisé toute entrave,
La terre est libre et le ciel est ouvert
Il voit un frère ou n'était qu'un esclave
L'amour unit ceux qu'enchaînait le fer,
Qui lui dira notre reconnaissance ?
C'est pour nous tous qu'il naît, qu'il souffre et meurt :
Peuple, debout ! chante ta délivrance,
Noël ! Noël ! chantons le Rédempteur !
Noël ! Noël ! chantons le Rédempteur !
Certains diront que je suis peu inspiré ? Au contraire, je suis l'inspiration incarnée.
mercredi 9 décembre 2009
Rares billets
Si vous remarquez que les billets ajoutés sont rares dernièrement, c'est simplement que mon accès à Internet est plutôt réduit. Un déménagement dans un nouveau quartier encore en développement fait en sorte que les délais pour recevoir Internet sont plus longs que prévu et que malheureusement, je n'ai pas encore le web chez moi. Néanmoins, je trouverai du temps pour vous divertir depuis mon travail.
Christian
Christian
La critique Pour Toujours les Canadiens !
159 élèves du Centre l'Escale s'étaient donné rendez-vous mardi le 8 décembre au Cinéma 9 de Gatineau pour voir la projection du film de l'heure; Pour toujours les Canadiens. Ravis par cette projection, ils ont salué la réalisation de Sylvain Archambault avec une salve d'applaudissements. Voici quelques commentaires des étudiants:
«Je trouve qu'il y a trois petites histoires et qu'elles ne sont pas assez élaborées. Celà fait en sorte que le film ne dure pas assez longtemps, mais tout de même apprécié», disait Josué-Micaël Drouin.
«Ceux qui attendent un rein vivent des moments très difficiles et même frustrants. J'ai reconnu des gens dans ce film et je m'y suis identifié», racontait Nadjia Derouin-Barbeau
«Je rêvais depuis des nuits à ce film au point de ne pas avoir dormi la veille. C'était formidable de voir cela, j'en ai même pleuré», affirmait le lecteur le plus assidu du blog, Cédric Vincent Rocan.
Pour ma part, je crois que le film véhicule de belles valeurs comme la persévérance, le courage, l'espoir, l'esprit d'équipe, la famille et le sport. Il est vrai que la présence des joueurs des Canadiens de l'an dernier semble bizarre, mais il ne faut pas oublier que le film a été tourné à l'automne 2008. Plusieurs journalistes, spécialistes en critique cinématographique, oublient cela.
Ce n'est pas le film de l'année, mais je crois que les gens devraient plus se déplacer pour voir ce film traitant de leurs favoris que d'aller perdre leur temps dans des interminables histoires romantiques entre deux êtres drabes.
«Je trouve qu'il y a trois petites histoires et qu'elles ne sont pas assez élaborées. Celà fait en sorte que le film ne dure pas assez longtemps, mais tout de même apprécié», disait Josué-Micaël Drouin.
«Ceux qui attendent un rein vivent des moments très difficiles et même frustrants. J'ai reconnu des gens dans ce film et je m'y suis identifié», racontait Nadjia Derouin-Barbeau
«Je rêvais depuis des nuits à ce film au point de ne pas avoir dormi la veille. C'était formidable de voir cela, j'en ai même pleuré», affirmait le lecteur le plus assidu du blog, Cédric Vincent Rocan.
Pour ma part, je crois que le film véhicule de belles valeurs comme la persévérance, le courage, l'espoir, l'esprit d'équipe, la famille et le sport. Il est vrai que la présence des joueurs des Canadiens de l'an dernier semble bizarre, mais il ne faut pas oublier que le film a été tourné à l'automne 2008. Plusieurs journalistes, spécialistes en critique cinématographique, oublient cela.
Ce n'est pas le film de l'année, mais je crois que les gens devraient plus se déplacer pour voir ce film traitant de leurs favoris que d'aller perdre leur temps dans des interminables histoires romantiques entre deux êtres drabes.
mardi 1 décembre 2009
Le réveil de Price
Carey Price a remporté le titre de joueur du mois de novembre chez le Canadien de Montréal. Un honneur pleinement mérité dans ce mois où il a été phénoménal à plusieurs reprises. Il s'agit ici d'un contraste avec le mois d'octobre où, même avec sa fiche de 2 victoires et 6 défaites, on lui avait gracieusement offert le titre.
Le réveil s'est fait à quel moment ? Plusieurs que lorsque Price a regardé plusieurs parties sur le bout banc cette saison, et que son auxiliaire Jaroslav Halak était excellent, il s'est posé des questions sur ses performances et son attitude plutôt ordinaire. Il a décidé de travailler fort avec l'entraîneur des gardiens de but Pierre Groulx afin de peaufiner sa technique.
Soudainement, il s'est mis à arrêter les rondelles, à garder son équipe dans le match à des moments importants et il a gagné des parties. Mais c'est sûrement le soir du 14 novembre où les Canadiens se faisaient dominer par les Predators de Nashville que Price a définitivement prouvé sa valeur. Face à des prédateurs complètement enragés, il a repoussé 53 des 55 lancers vers lui. Ses coéquipiers dormaient, mais pas lui.
Depuis ce fameux match, il est concentré, dominant et il fait des arrêts spectaculaires qui gardent son équipe dans le match. L'entraîneur Jacques Martin se voit dans l'obligation de l'utiliser plus souvent qu'à son tour. Une situation décevante pour son auxiliaire Jaroslav Halak qui est lui aussi très efficace.
Si Jaroslav Halak voit sa valeur augmenter, il intéressera sûrement d'autres équipes de la LNH. Peut-être que Bob Gainey pourrait mettre la main sur un joueur efficace en retour du gardien Slovaque. Cependant, n'allez pas croire que Los Angeles, par exemple, donnerait Anze Kopitar en retour.
Le réveil s'est fait à quel moment ? Plusieurs que lorsque Price a regardé plusieurs parties sur le bout banc cette saison, et que son auxiliaire Jaroslav Halak était excellent, il s'est posé des questions sur ses performances et son attitude plutôt ordinaire. Il a décidé de travailler fort avec l'entraîneur des gardiens de but Pierre Groulx afin de peaufiner sa technique.
Soudainement, il s'est mis à arrêter les rondelles, à garder son équipe dans le match à des moments importants et il a gagné des parties. Mais c'est sûrement le soir du 14 novembre où les Canadiens se faisaient dominer par les Predators de Nashville que Price a définitivement prouvé sa valeur. Face à des prédateurs complètement enragés, il a repoussé 53 des 55 lancers vers lui. Ses coéquipiers dormaient, mais pas lui.
Depuis ce fameux match, il est concentré, dominant et il fait des arrêts spectaculaires qui gardent son équipe dans le match. L'entraîneur Jacques Martin se voit dans l'obligation de l'utiliser plus souvent qu'à son tour. Une situation décevante pour son auxiliaire Jaroslav Halak qui est lui aussi très efficace.
Si Jaroslav Halak voit sa valeur augmenter, il intéressera sûrement d'autres équipes de la LNH. Peut-être que Bob Gainey pourrait mettre la main sur un joueur efficace en retour du gardien Slovaque. Cependant, n'allez pas croire que Los Angeles, par exemple, donnerait Anze Kopitar en retour.
Pour toujours, les Canadiens !
La plus grande équipe de hockey de l'histoire fêtera son 100ème anniversaire vendredi prochain. On nous rabat les oreilles depuis un an (peut-être même plus) avec ces festivités, mais elles atteindront leur point culminant vendredi avec la partie du centenaire. D'ailleurs, ce sont les ennemis jurés de la Flanelle qui seront les visiteurs, soit les Bruins de Boston. Cette soirée, ces célébrations, ce match, cette journée promettent d'être mémorables. En plus de cela, le Canadien s'est payé un petit film sympathique nommé Pour toujours, les Canadiens ! Wowwwwwww !
Hier (lundi le 30 novembre), j'étais à la Cage aux Sports de Gatineau avec une collègue, une directrice et six étudiants afin de rencontrer les principaux acteurs de ce long métrage. Étaient présents: Christian Bégin, Dhanaé Audet-Beaulieu, Sylvain Archambault (réalisateur) et Jacques Savoie (scénariste). Tous nous ont parlé de leur passion et de ce que les Canadiens représentaient pour eux.
Ce qui m'a le plus frappé, ce sont les paroles de ces gens en rapport avec le légendaire Jean Béliveau, cet homme qui représente le Canadien avec toute sa grandeur, sa classe et son charisme qui renverseraient n'importe qui. «Je ne peux pas imaginer quelqu'un qui lui a déjà dit une bêtise tellement il impose le respect», faisait remarquer l'un des artistes présent. Vraiment, sa légende traverse le temps et les époques.
On sentait aussi la passion d'un homme comme Sylvain Archambault qui a décidé de foncer dans ce projet avec plaisir. Il mentionnait même que plusieurs réalisateurs avaient refusé de réaliser ce film tant la controverse pourrait être vive. Force est d'admettre que c'est la passion qui l'a traîné. Même chose pour le scénariste et écrivain Jacques Savoie. Les deux étaient derrière la série primée Les Lavigueur: la vraie histoire.
Les étudiants présents étaient admiratifs devant ces artistes venus leur raconter leur expérience cinématographique. Yves Leblanc, Francine St-Jean, Marie-Christel Fournier, Matthieu St-Amour, Phillipe Leblond et Cédric Vincent Rocan (un lecteur assidu) auront vécu un événement dont ils vont se souvenir pendant le restant de leur vie. Peut-être que certains commenceront à regarder l'émission Curieux Bégin animée par Christian Bégin. Qui sait ?
Quant au film, les critiques sont de très bonnes à plutôt moyennes. Cependant, la passion du hockey et des Canadiens ainsi que l'amour du cinéma surpasseront tous les commentaires des pseudo-connaisseurs de cinéma.
Pour toujours, les Canadiens !!!
Hier (lundi le 30 novembre), j'étais à la Cage aux Sports de Gatineau avec une collègue, une directrice et six étudiants afin de rencontrer les principaux acteurs de ce long métrage. Étaient présents: Christian Bégin, Dhanaé Audet-Beaulieu, Sylvain Archambault (réalisateur) et Jacques Savoie (scénariste). Tous nous ont parlé de leur passion et de ce que les Canadiens représentaient pour eux.
Ce qui m'a le plus frappé, ce sont les paroles de ces gens en rapport avec le légendaire Jean Béliveau, cet homme qui représente le Canadien avec toute sa grandeur, sa classe et son charisme qui renverseraient n'importe qui. «Je ne peux pas imaginer quelqu'un qui lui a déjà dit une bêtise tellement il impose le respect», faisait remarquer l'un des artistes présent. Vraiment, sa légende traverse le temps et les époques.
On sentait aussi la passion d'un homme comme Sylvain Archambault qui a décidé de foncer dans ce projet avec plaisir. Il mentionnait même que plusieurs réalisateurs avaient refusé de réaliser ce film tant la controverse pourrait être vive. Force est d'admettre que c'est la passion qui l'a traîné. Même chose pour le scénariste et écrivain Jacques Savoie. Les deux étaient derrière la série primée Les Lavigueur: la vraie histoire.
Les étudiants présents étaient admiratifs devant ces artistes venus leur raconter leur expérience cinématographique. Yves Leblanc, Francine St-Jean, Marie-Christel Fournier, Matthieu St-Amour, Phillipe Leblond et Cédric Vincent Rocan (un lecteur assidu) auront vécu un événement dont ils vont se souvenir pendant le restant de leur vie. Peut-être que certains commenceront à regarder l'émission Curieux Bégin animée par Christian Bégin. Qui sait ?
Quant au film, les critiques sont de très bonnes à plutôt moyennes. Cependant, la passion du hockey et des Canadiens ainsi que l'amour du cinéma surpasseront tous les commentaires des pseudo-connaisseurs de cinéma.
Pour toujours, les Canadiens !!!
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